Bonjour,
Sur un chantier dans une belle et ancienne demeure, je suis amené à fermer une alcôve par des boiseries (en chêne). Celles-ci seront fixées sur des tasseaux, mais il va rester un jour entre le montant extérieur des boiseries et les parois de l'alcôve.
D'un côté, il y a une cloison en placo qui a été montée bien verticale donc je pense que ça ira. En revanche, de l'autre côté, il s'agit d'un mur en pierres de taille. Là aussi, il a été monté bien vertical, mais il restera certainement quelques aspérités, même après calepinage, qu'il va falloir combler.
Et pour respecter l'esprit de la demeure (XVIIIème), je me vois mal mettre du mastic silicone 
D'où mes questions :
- Comment faisaient les anciens pour avoir quelque chose d'estétique, qui soit suffisamment souple pour ne pas se fissurer au premier changement de saison ?
- Et comment feriez-vous ?
2 réponses
on met une baguette avec un congé que l'on traine proprement sur le coté du lambris que l' on fixe avec de la pointe de vitrier
le menuisier en lambris nommé aussi lambrisseur
Bonjour on pourrai ajuster un fileur qui serrai en retrait de l'epaisseur de la boiserie.Kenavo
? Tu aurais un schéma pour m'éclairer ?Licence
tabletage ! une photo et une description plus précise du projet serait bien venue !
Pas mieux.
Merci sylvainlefrancomtois et racmterrof ! J'ai fourché dans ma question en évoquant le calepinage : je pensais au tablettage... même très bien réalisé, ne resterait-il pas un petit espace disgracieux ?
Sur la photo ci-dessous, l'objectif est d'arriver à fleur de l'angle entouré en rouge. Évidemment, il reste toujours la possibilité d'"assumer" cette rupture entre la pierre et la boiserie, en se mettant légèrement en retrait ou en débordant légèrement. C'est peut-être ce que je finirai par faire, avec une moulure qui recouvrirait la jonction...
c'est du gâteau !! il faut travailler a recouvrement !
Effectivement, c’est tout simple et cela s’impose ! Merci sylvainlefrancomtois