Je vous présente ici les étapes de fabrication de 50 m2 de parquet.
Au départ je voulais faire un parquet en châtaigner. Je souhaitais un bois ayant de joli dessin et une couleur plutôt tirant sur le blond/miel.
Puis au détour d'une annonce "leboncoin" je vois qu'une personne vend 3m3 de châtaigné pour 150€ a moins de 10 km de chez moi ... bingo ... je fonce ...
Sauf qu'arrivé sur place le châtaigner se transforme en orme.
Il y a 3 gros plots avec des plateaux en 34mm, de 40 a 60 cm de larges et en moyenne 3 a 4 m de longueurs ...
Du coup j'embarque le tout avec deux poutres en chêne de 40cm/40cm ...
C'est la que démarre un an de travail, 300 heures de travail, entre les premiers coups de scies et la dernière couche de vitrification.
C'est la première et la dernière fois que je réalise un parquet. C'est énormément de travail. Je comprends maintenant pourquoi du parquet coûte aussi cher
Liste des articles
Le débit
Premières étapes,
récupération du bois et débit des plateaux pour un stockage pendant quelques semaines dans l'atelier histoire que le bois se stabilise.
Le bois à plus de 30 ans de séchages et il était stocké sous abris.
Débit avec ma TS55, deux rails de 140 abouté, et une lame Panthère 16 dents.
Les plateaux sont installés sur ma remorque pour pouvoir plus facilement les déplacer et être a hauteur.
J'arrive a faire des planches de 140mm de large bien droite et a peu près parallèle.
J'ai aussi quelques plateaux en 54 mm et 80 mm
A la TS55 ça ne passe pas et c'est dangereux, donc direction la SAF pour ça.
Le laser installé au dessus de la SAF aide beaucoup a l'optimisation de la coupe et a la mise en place du plateau
Utilisation d'une la lame "La Forezienne" en 24 dents qui dépote
Par contre les plateaux sont parfois bien tuilés , le stockage n'était pas optimal.
J'y passe un coup de Xylo (je sais ce n'est pas trés écolo, mais c'est efficace), avant que tout soit stocké dans l'atelier pendant quelques semaines.
Ensuite le moment du tronçonnage, le but est de limiter au maximum le tuilage en coupant aux bons endroits.
Ayant des plateaux en 54 et 80 mm, je me retrouve avec des carrelets qu'il est nécessaire de refendre
Donc mise en place d'une grosse lame sur la SAR et je refends a 30 mm.
Les lames qui ne seront pas assez épaisses seront recollée entre elles pour former des nouvelles lames
Le dégauchissage
C'est une étape qui m'a pris beaucoup de temps.
Pour se faire, j'ai voulu tester une technique que certains n'approuvent pas (ben oui, c'est pas comme ça qu'ils ont appris a l'école) mais qui pour mon utilisation a très bien fonctionné :
Dégauchir à l’entraîneur pour laquelle j'avais déjà réalisé un PAP.
Le rabotage
Surement l'étape qui m'a pris le plus de temps et qui a été la plus pénible car hyper répétitive.
Surtout que j'a du ramener de 34mm a 26mm, en limitant la passe a 2 mm et en faisant une passe de "finition" a 0.5 mm.
Travail grandement facilité par la motorisation de ma raboteuse par un contrôleur et un moteur fait par Christophe Alias LONU
ça commence a ressembler a quelques chose ...
Que faire des chutes et des lames moches
Ayant refendu des plateaux de 54 et de 80 pour faire des lames de 30mm, je me retrouve avec pas de mal de chutes.
Et étant très très juste au niveau de ma quantité de bois je dois optimiser.
J'ai donc passé un peu de temps à faire des sandwichs de chutes pour reformer des lames.
Pour cela passage des chutes a la raboteuse pour avoir un état de surface compatible avec le collage.
Certaines lames sont constituées de 5 ou 6 épaisseurs.
J'avais aussi quelques lames dont l'aspect n'était vraiment pas beau. J'ai donc refendu ces lames pour les dédoubler et les associer avec des belles chutes pour former des lames avec un coté "pile" pas beau et un coté face nickel ... ni vu n'y connu j'ai récupéré prés de 10m2 de plancher comme cela.
Mise en largeur des lames
Maintenant que mes lames ont 3 faces il s'agit de travailler la quatrième pour avoir une lame bien avec ces cotés bien parallèles et une largeur définitive.
C'est une étape délicate car il ne faut pas se louper sous peine de devoir recommencer.
Je n'ai pas voulu réaliser cette étape a la raboteuse et j'ai préféré la faire avec l'aide du chariot de ma SAF et une lame de semi finition (60 dents) pour avoir une coupe bien nette et propre.
L'avantage de cette technique est de faire cette étape en une seule passe (ce qui n'aurait pas été le cas a la raboteuse) et cela me permet de voir instantanément si certaines lames présentaient des défauts prononcés (comme le manque de matières).
En effet, j'étais très très juste au niveau de la matière première. Il m'était interdit tout gaspillage. L'orme étant un bois difficile a trouver et ne se vendant pas chez les fournisseurs de bois, j'ai pris le parti de très peu surcoté, pour parfois me retrouver a avoir des lames sur lesquelles il me manquait quelques millimètres. J'ai donc du "flipoter" et rallonger ...
La première étape est la création d'un gabarit permettant de garantir répétabilité et précision:
Une planche de CP vissée dans la rainure du chariot avec une butée qui réglée de façon précise.
Les sauterelles permettent de maintenir la planche et sauvegarder les doigts.
Pour l'occasion j'ai aussi fabriqué une nouvelle cape de scie, permettant de fortement améliorer la captation des poussières. J'ai fait un sujet complet sur le forum Métabricoleur
Les rainures : on passe a la toupie
Maintenant que j'ai des belles lames bien parallèles , on passe au rainurage:
1 - Des rainures de la de la face inférieure de la lame, permettant un meilleur collage (car on sera sur une pose collée / clouée) et évitant aussi a ce que les lames ne travaillent trop et ne se fendent (avec du bois sec de 30 ans je limite les risques)
Je souhaite avoir 4 rainures sous les lames. Pour cela utilisation de deux lames a rainurer montées sur l'arbre a toupie. En faisant deux passage par lame et en procédant par retournement j’obtiens mes 4 rainures.
L’entraîneur m'aide dans cette tache et me sécurise l'étape
C'est lors de cette étape que je choisis quel sera le parement et donc la face visible
2 - Les rainures latérales
Les lames seront assemblées par rainures et languette "rapportée".
Toujours en vue d'optimiser ma quantité de bois viables disponible, je choisis de ne pas usiner la languette dans la lame du parquet. Cet usinage qui m'aurait fait gagnée beaucoup de temps a la pose, me fait perdre 1/2 cm de bois, soit prés de 2m2 de bois. Je suis trop juste pour me le permettre.
Et au final bien m'en a pris ...
Sur la même passe je souhaite en plus de la rainure usiner un petit chanfrein a 45° sur la longueur pour donner un coté moderne au parquet.
Je superpose donc une fraise à rainurer extensible réglée sur 8 mm et un porte outil multi-pente pour le chanfrein.
Encore une fois l’entraîneur permet de bien sécuriser le passage des lames. Quand ce montage se met a tourner a 6000T/m ça fait du bruit et du vent, ça reste impressionnant.
J'ai un peu serré les fesses aux premiers passages ;). Le réglage m'a pris beaucoup de temps surtout au niveau du porte outil Multi-pente qu'il a fallu placer au 1/10 prés pour avoir le chanfrein voulu.
3 - la mise en longueur et les rainure en bout de lame.
Ces deux opérations sont faites en deux étapes par plusieurs séries de mini série mais quasi au même moment, avec une configuration des la Scie / Toupie fixe avec un réglage du chariot a tronçonner bien d'équerre et l'ajout d'un tasseau parfaitement raboté pour faire le pare-éclat.
Vous remarquerez que les deux guide à tronçonner sont mise en place. La première à l'avant pour le positionnement de la lame a usiner. La deuxième qui est derrière l'opérateur (moi en l'occurrence) et permet de faire reculer le chariot de la SAF d'un simple coup de rein (ça permet d'économiser le dos dans on fait le mouvement plus de 500 fois sur plusieurs heures ...)
Accessoires et fournitures liées a la pose
Une fois les lames de parquet formées, je passe a la pose et la fabrication de ce qui me sera nécessaire à cette pose.
1 - les languettes
Je déligne des languettes dans les plateaux de chênes qui sont de piètres qualités.
Le bois est abîme, fissuré, avec pas mal de nœuds ... donc inutilisable pour de la menuiserie.
Mais pour des languettes ça fera le job ... surtout qu'il en faut 400 mètres linéaires ...
2 - un seuil
J'ai une gosse différence de niveau avec la pièce adjacente.
J'ai besoin de faire un seuil de porte rattrapant cette différence. Mais forcement la différence n'est pas constante
Donc je prends quelques belles lames que j'avais préparées en prévision. J'usine a la toupie les différents niveaux à rattraper et finit par créer un gros chanfrein en utilisant un gabarit permettant les coupes a plus de 45°
3 - Création de 2 trappes d’accès et incrustation de la quincaillerie
J'ai deux trappes qui donnent accès a un petit local technique et a une cave.
Ce plancher est au dessus d'une ancienne piscine transformée en cave.
Pour fonctionner ces caves ont besoins de quincaillerie que j'ai trouvé sur un site d’accastillage et je souhaite l'intégration de cette quincaillerie la plus affleurante possible.
Pour cela j'ai utilisé la technique du fraisage d'inclusion via des bagues de copiages
La quincaillerie sert de modèle pour la création d'un gabarit qui me servira a défoncer le parquet pour un incruster la quincaillerie.
Cet article sur l'AdB est très bien fait et permet de calculer les diamètres des bagues en fonction du diamètre de la fraise de défonceuse.
ça fonctionne super bien. C'est d’ailleurs tellement bien ajusté qu'il faut parfois un peu forcer pour que ça rentre.
Cray Birkenwald a aussi fait une belle video explicative sur le sujet.
4 - Gabarit pour les coupes au trait permettant le délignage des lames de finition du parquet
Fabrication de deux gabarits assez simple, qui bloquent la lame à découper et qui sont affleurant à la lame de la scie. Cela permet un délignage très précis sur de grandes longueurs.
La pose et la finition
La pièce fait environ 50 m2.
La pose est collée / clouée. Cela permet d'éviter les grincements, et donne une meilleur stabilité dans le temps au plancher.
La pose a été assez sportive ... et trés longue. On est loin du temps mis pour clipser des lames de parquet ...
Mon process de pose pour un rang de lame:
Choisir et disposer les lames pour optimiser le rendu et les croisements de jonctions et optimiser les chutes
Déposer la colle
Étaler la colle
poser la lames de parquet
mettre en place la languette transversale
découpe de la lame en bout
mettre en place la languette longitudinale pour la prochaine rangée
clouer au pistolet
repasser sur chaque clou au chasse clou pour bien les enfoncer ...
1 heure pour une rangée de 8 mètres , il y a eu 45 a faire ... plus le reste que l'on a vu dans la section précédente
J'allais oublier la création des trappes et la finition en bout de lame de la baie vitrée.
Une fois les lames posée et les trappes bien repéré et tracés pendant la pose, j'ai coupé a la scie plongeante Festool ... Un vrai coup de flipp mais qui grace a la TS55 donne un super résultat ... tout est bien aligné et les trappes se fondent dans le plancher
La pose a elle seule m'a pris entre 70 et 80 heures de boulots ...
Pour la finition,
J'ai loué une ponceuse a rouleau pro (90 kg la bête), et une surfaceuse.
La ponceuse n'est pas été simple a manipuler et a la moindre erreur d'inattention on le paye cach par une belle marque incrustée dans la plancher.
La surfaceuse est bien plus maîtrisable et agréable a passer.
Donc un gros weekend de ponçage pour éliminer désaffleure, marque de rabotages (talons, arrachements ...).
J'ai commencé par deux passes au grain 36, puis 60, 80 a la ponceuse.
Ensuite surfaceuse au grain 80 et 120.
Les bord ont été fait a la Rotex / ponceuse a bande (tank makita) au grain 40, puis avec une ponceuse de finition au grain 80.
Passage de l'aspirateur entre chaque couche
J'ai rempli trois bidons et plusieurs sacs de poussières ...
Le week end suivant c'est vitrification en trois couches:
J'ai utilisé les produits Blanchon Aqua. Fond dure Aqua et vitrificateur SVP Aqua Bi composant.
Les étapes:
gros dépoussiérage de la pièce (murs, vitres, ...) et du plancher
1ere couche : fond dure
égrainage au 240 à la ponceuse excentrique
re dépoussiérage
2eme couche
3eme couche 6 heures après
Le résultat est top ... (enfin je trouve)
Pas simple de restituer le rendu , mais ça donne une idée du résultat
Discussions
Un parquet en orme, c'est gonflé ! Mais le résultat est à la hauteur du boulot accompli : il est magnifique ton parquet ! Et ton jardin, et ton atelier, et ta cape de scie... celle-là je vais te piquer l'idée ! D'ailleurs, tu aurais publié les plans par hasard ?
Merci, pour la cape j'ai des plans au format sketchup que je publierai. Si ça intéresse je pourrais aussi faire un petit PAP sur sa réalisation. En tout cas elle est super efficace
EricFd volontiers, merci !
Ara je viens de publier le plan et l'étude INRS qui m'a servie pour la conception
Et question technique : les traits de scie sous les lames, n'ont-ils pas tendance à les faire tuiler ? Je me méfie toujours d'avoir un contre parement différent du parement...
Les traits de scie sous la lame de parquet ne font que quelques mm (5 de mémoires) pour une lame qui en fait 26 mm. Donc c'est plutôt léger et ça n'a pas du fait tuiler les lames.
Bravo!
merci
sacré taf, qui part d'un belle surprise à la première étape : "cool j'ai un bon plan pour du châtaigner... à en fait non, c'est le plan du siècle pour de l'orme !"
Juste deux petites pistes (trop tard) pour gagner un peu de temps : tu dis que tu as raboté 8mm, en 5 passes si j'ai tout bien compris (4 passes d'approche puis une de finition)
Est-ce que tu n'aurais pas été plus vite à faire une refente à la SAR puis directement une passe de 1mm ? J'imagine que selon la qualité de la SAR et de la raboteuse ce n'est pas toujours le cas, mais perso dès que j'ai plus de 5mm à raboter je le fais, et je garde les plaquettes de 5mm pour d'autres projets.
Et sinon, plutôt que de poncer après la pose, tu aurais pu sous traiter un passage à la calibreuse à une menuiserie près de chez toi (ou carrément le faire toi même en échange d'une bonne bouteille pour l'utilisation de la machine). Au moins tu élimines le risque de faire un trou au ponçage, d'arracher une fibre sur un chanfrein alors que le parquet est déjà posé... et ça va carrément plus vite : avec une bonne calibreuse tu aurais pu sauter l'étape du rabotage de finition et amener directement une lame à 0.5mm de la côte finie pour repartir avec une lame poncée au 120 dans le sens des fibres (ce qui équivaut visuellement à une finition au 180 à la rotative d'après moi).
Oui comme tu dis , le coup du siècle ... surtout que c’était un bois qui était vendu comme bois de chauffage (d'où le prix).
Refendre a la SAR je ne l'avais pas imaginé. C'est vrais que c'est une bonne idée, et cela permet d'avoir des plaquettes de bois pour d'autre projets. Après il faut bien maîtriser la SAR ... Ma lame de refente fait de grosse marques de sciages et il faut être sure de son coup. Je ne maîtrise pas encore assez la SAR pour faire un travail propre avec cet outil. Je viens de commander une lame carbure pour justement faire du placage et de la refente propre.
La calibreuse j'y avait pensé, mais je ne pense pas que ça t'évite l'étape du ponçage après la pose. Tu auras toujours quelques petits désafleurs, des traces de colles, des rayures sur les lames ... qu'il sera nécessaire de poncer. C'est certains que tu n'auras plus les arrachements et les traces de talons par exemple et que le ponçage sera plus léger.
impressionnant ! effectivement, ça a l'air d'être un gros boulot de parqueter comme-ça. Mais quel résultat ! merci pour ce pap bien détaillé et plein de petites astuces...
merci
Mais qu'il sait bosser le petit diablotin
on commence en tout cas ce projet m'a permis de commencer a bien prendre en main mes machines
Super affaire, et super boulot !
Merci
Superbe ! Quel boulot, mais quel résultat ! Merci pour tous ces détails bien utiles.
Je suis aussi très intéressé par la cape de la SAF ...
PierrePoulizac Merci pour ton commentaire, je viens de publier le plan et l'étude INRS qui m'a servie pour la conception
Travail de ouf ! Félicitation.
merci
Magnifique résultat.
Va falloir mettre des patins pour rentrer chez toi :-)
je n’espère pas ... c'est pour cela que j'ai utilisé un vitrificateur bi composants qui est censé être plus résistant.
Très instructif, moi qui avait le projet... bon, on verra...
En tout cas BRAVOOOO
Tu peux en dire plus de ton laser sur la SAF
Une création, ou autre par exemple
Merci, C'est un laser de 100mv que j'ai positionné sur une poutre au dessus de la SAF
Laser ici
Avec 4 néons au dessus de la scie je vois très bien le trait laser, même s'il est un peu épais (3 mm environ) mais pas plus qu'un trait de scie.
Mais l'usage se n'est pas gênant car je m'en sert que pour du gros débit.
C'est super pratique a l'usage
Merci
Ha oui bien jouer j'aurais peur que l'orme travaille trop pour du parquet
Le bois doit avoir 30 ans de séchage, et ça fait plus d'un an qu'il est a l’intérieur dans mon atelier, avec différentes phases de stabilisations entre les opérations de fabrications. J'avait une inquiétude suite au dégauchissage et au rabotage que les lames bougent. Je n'ai rien observé de tel. Je pense qu'il est bien stabilisé.
Magnifique. Je voulais me lancer mais quand je vois les contraintes et surtout la nécessité d’avoir des machines que je n’ai pas, je recule. En tout cas grand bravo et merci pour le pap.
Oui il faut être équipé, mais un tel chantier rentabilise déjà une grosse partie de l'investissement
Je n'ai qu'une chose à dire: t'es un grand malade
J'ai fait le même exercice mais pour une toute petite surface de 1,70m2 et j'en suis arrivée à la même conclusion : même si je suis contente de l'expérience acquise, je ne le referai jamais .
Alors 50m2 Je te tire mon chapeau
Le résultat est vraiment superbe. et le pas-à-pas instructif.
Judicieux de terminer la largeur des lames à la SAF avec gabarit
Merci, oui c'est un sacré taf ... mais vu le prix au m2 d'un beau parquet ...
J'avais vu ton post ... très réussi, le luxe dans un chiotte j'adorre
Ce monstre de boulot ! Et en orme en plus... C'est limite du luxe là !
Chapeau en tout cas !
J'ai moi même un projet de 50m² de parquet a réaliser, mais pas pour tout de suite. La maison n'est pas encore construite ^^
Oui, c'est justement le luxe de le faire soit même ... inaccessible autrement
Quel fierté.
Respect et c est tres classe
Bravo
vi ... la fierté de l'avoir fait. Merci
Chapeau bas Eric, très beau parquet, très beau projet et belle réussite.
Merci du partage.
Jean-Séb.
merci Jean seb