Trusquin destiné à marquer les côtés des mortaises, en pommier.
La hampe (bloquée diagonalement « façon kebiki ») est constituée de deux tiges, l’une munie d’une rainure, l’autre d’une languette, qui coulissent le long l’une de l’autre. On règle d’abord l’écartement des couteaux (tirés d’une lame de scie) selon la largeur de la mortaise à marquer, puis on règle l’écartement entre le couteau le plus bas et la table. (La rainure-et-languette a assez de friction pour que l’écartement entre les couteaux ne se dérègle pas intempestivement.)
Les couteaux sont tenus en place par des petits coins.
Le bois bicolore des tiges et des coins provient de la partie périphérique de la même bûche dont j’ai tiré la table du trusquin.
Discussions
Il est hyper beau. Bravo