L’adulte avec la pile de systaîners, ça devait être moi !
Au bilan, largement inutile je confirme.
En complément de cette réponse déjà complète, j’ai galéré sur :
- Machines outils que je n’avais jamais utilisées avant l’examen. Notamment les dispositifs de sécurité d’une toupie, le réglage du guide parallèle de la scie à format, travail à l’arbre sur la toupie, calibreuse, commandes numériques des machines, beaucoup de découvertes le jour J.
- le phasage d’une fabrication (c’est une page dans les manuels techno du bois, j’avais dû la rater…)
- le respect du chronomètre car la dernière épreuve pratique de 5h était difficile à finir proprement dans les temps (micro salle de bains). Sur 3 candidats libres et deux apprentis, j’avais été le seul à finir le chantier de fabrication et d’installation. De plus, aucune erreur n’était permise car ils fournissaient exactement la quantité de bois nécessaire donc pas possible de recommencer une pièce ratée.
Mais oui, super contact avec les profs, très à l’écoute et enthousiastes.
Bonne préparation !
Je ne suis pas expert du placage mais mon conseil en l’absence de pompe à vide et pour de petits projets est de faire des essais avec un simple aspirateur.
J’utilise des sacs pour ranger les couettes sous vide, qui disposent d’une valve. On est loin d’avoir le vide d’une vraie pompe mais la pression obtenue est très suffisante pour des collages.
Pour avoir les deux, ma scie à onglet est venue ensuite et sert bien moins : tronçonnage, pose de plinthes et parquets. Coupes spéciales grâce aux angles combinés.
En revanche, j’ai démarré en pro avec une scie sous table de chantier (Bosch GTS 10xc) qui fait encore des merveilles. Petit chariot certes mais tu peux allonger par des servantes devant et derrière.
Avec de bonnes lames, elle est précise et surtout tes coupes sont « répétables ».
Surtout, elle peut m’accompagner sur certains chantiers de rénovation grâce à son châssis sur roulettes.
Très polyvalent pour débuter.
Mon DX60 est rangé dans ma caisse à outils de chantier. Je l’emmène partout car il me sert souvent, pour retoucher des coupes à la scie, faire un petit chanfrein à main levée, ajuster des tiroirs traditionnels, etc.
Il est précis, facile à régler, tient la coupe très longtemps (lame dure), est assez lourd pour profiter de son inertie, tient bien dans la main.
Bref, inutile disent certains donc indispensable pour moi.
J’ai eu l’occasion de faire quelque chose de similaire : j’ai prolongé la rangée de caissons jusqu’au dessus de la porte, placé un meuble bas contre le mur et sous l’interrupteur et habillé le mur avec un panneau de bois en y déplaçant l’interrupteur