Comment fabriquer des portes de cuisine modernes en massif effet "sans cadre" ?
Je ne comprends pas trop l’idée d’avoir des essences de bois différentes puis de les dissimuler avec une teinte.
Bref, chacun ses goûts.
J’utilise intensivement de l’huile-cire OSMO depuis 3 ans. Après avoir abandonné les huiles classiques à base de lin. Je ne sais pas si ça vaut un vernis dans la durée, mais c’est incomparable.
Facile à appliquer, facile à raviver, économique (par rapport au Rubio), et surtout un toucher très naturel du bois.
Je pencherais aussi pour cette hypothèse : soit ce n’est pas un condensateur de démarrage (as-tu une photo du bestiau ?) soit il ne déconnecte pas mais cela serait une pure coïncidence pour ces trois pannes car le relais est intégré au condensateur (c’est pour cela qu’il comporte 4 broches de sortie), donc il était chaque fois renouvelé.
L’autre hypothèse serait une série défaillante (envisageable si c’est toujours le même technicien qui vient réparer) ou un modèle inadapté (par exemple 250V au lieu de 400V).
La chaleur excessive, je n’y crois pas une seconde.
Ma précédente réaction était erronée. En effet, j’ai lu la légende de la photo 1 qui indique un disjoncteur en tête de rangée. D’où ma conclusion que le fusible n’était pas concerné puisqu’en aval.
En fait, la légende est fausse : la tête de rangée est un interrupteur différentiel qui ne réagit pas aux surcharges des circuits individuels.
La proposition d’Atelier Eustache de changer le porte fusible par un disjoncteur courbe D est donc pertinente.
Pensez-vous qu'une table à manger peut être assez solide sans cadre et uniquement avec des pieds ?
Pensez-vous qu'une table à manger peut être assez solide sans cadre et uniquement avec des pieds ?
Le placo vissé sur rail est assez résistant en compression. Si le claustra est aussi vissé au plafond, aucun souci de poids.
En revanche, c’est la rigidité latérale du mur qui sera son point faible car il ne comporte pas de montant vertical du sol au plafond. Si le claustra n’est pas inséré entre deux murs latéraux (ce qui permettrait une fixation), ce serait bien d’ajouter en nez de mur un tel montant.
Ouais, je connais trop bien cette sensation de demander trop.
J’ai bouclé ma première année avec ce principal reproche de mon comptable : je ne suis pas assez cher.
Mon cas est différent du tien car je n’ai pas vraiment besoin de mon entreprise pour faire vivre ma famille, étant déjà retraité d’une longue carrière précédente. Et j’ai peu de frais fixes (aucun loyer, aucun crédit pour mes machines et véhicules).
J’avais cependant peur de démarrer trop cher et donc de ne pouvoir trouver de clients. Ou à l’inverse, d’être trop bon marché et de fausser la concurrence avec les artisans du coin. Pas facile de trouver un juste milieu.
C’est presque calé après quelques chantiers (mon volume de matériau a été de plus de 150 panneaux et 2 m3 de massif sur les 12 premiers mois). À présent, j’ai adopté une méthode rapide pour mes devis : je ne détaille plus le temps de travail à l’atelier. J’applique un coefficient 2 au tarif public des matériaux et quincaillerie et j’ajoute un forfait de 150€ pour chaque 1/2 journée d’installation chez le client.
Mes chantiers finis ont déjà été examinés par d’autres menuisiers qui ont validé la qualité. Le syndrome de l’imposteur est donc en train de disparaître. Les clients continuent de me demander donc mon tarif reste acceptable. Et je ne perds plus de temps à trop détailler mes devis.
Ceci dit, il y a un prix psychologique que certains clients ne peuvent dépasser. Il faut savoir refuser poliment.
Je suis aussi partisan de laisser s’exprimer les qualités du bois massif (qui plus est avec de belles essences) sans le faire ressembler à du panneau industriel.