Bonjour à vous,
Je reviens à vous avec une question relative aux techniques et outils utilisés dans le monde du bois et appliqués à des process en transformation alimentaire artisanale.
Je suis producteur de miso (entre autre).
Pour certains types de miso, tels le shiro miso (miso jeune et blanc) nous savons besoins de casser le soja et d'enlever la pellicule. Il existe des techniques manuelles mais elles sont chronophages. Il en est de même pour la fabrication du tempeh.
Nous sommes plusieurs fermenteur (fermentiers?) à vouloir vanner nos graines obtenues auprès de paysans (nos voisins) qui ne sont pas équipés.
Nous avons tous des moulins qui nous permettent de casser nos grains (fèves), mais nous devons alors retirer manuellement les pellicules - ou téguments - des fèves de soja.
Après plusieurs années passées sur ce site, je sais que certains d'entre vous maitrisent les techniques d'aspiration et d'extraction.
Les images jointes jointes montrent un système d'aspiration conçue pour le vannage des fèves de cacao après torréfaction.
Que pensez-vous de ce système?
Que pensez-vous l'ajout d'un extracteur/séparateur cyclone à ce système?
À quel niveau placeriez vous le placeriez-vous?
À quel niveau placeriez vous une valve pour ajuster la dépression?
Merci à vous,
Anthony
1 réponse
Sans réponse à la question mais pour essayer de comprendre.
Avec un Tarare, cela ne fonctionne pas?
Salut,
J'en ai un. Je vais pouvoir le tester d'ici peu.
Le souci est que c'est assez volumineux et que même dans un lab spacieux ça reste principalement du bois. Les cuissons génèrent des températures et des taux d'humidité élevées qui plaisent au bactéries et moisissures du types de celles qu'on veut éviter en fermentation. Le bois n'aime pas et les services d'hygiène non plus.
J'ai la place pour le faire ailleurs, mais pas certains de mes collègues. Donc on recherche un système compact et lessivable.
Merci pour ta suggestion.
A-
Je comprends mieux. Merci.
Il faudra certainement quelques tâtonnements sur les grilles, le débit, ..., et la volumétrie à travailler.
En effet. Une fois optimisé, je pense que le tarare est la meilleure des solutions.
Les japonais en proposent en Afrique 100% métal. Le design est basé +/- sur les tarares que nous trouvons dans nos campagnes européennes depuis 1604 (brevet déposé au Pays-Bas).
Sigaut, F. (1989). La Chine, L’Europe et les Techniques Agricoles (Note critique). Annales. Histoire, Sciences Sociales, 44(1), p.212.
doi.org/10.340...ess.1989.283585
Alibaba, en propose aussi.
L'architecture de cet outil agricole est simple, sans difficulté particulière à realiser, y compris en réduction pour une volumétrie à travailler plus faible.
Sinon il y a aussi les séparateurs plan, facile à réaliser y compris avec une façade transparente pour visualiser le travail
fr.m.wikipedia...amp;wprov=rarw1
Licence
C'est tellement spécifique, peu de rapport avec le bois ou l'aspi de sciure
Spontanement on pense soufflerie plutôt qu aspi mais qui sait? (Il y a déjà énormément de pertes en soufflerie mais en aspi c'est monstrueux jusqu'à l'arrivée de l'informatique et impression 3d trop ingérable) Pourquoi les cacaotiers ont ils développé l'aspi? En quoi la fève de soja est elle différente de celle du cacao? Il y aurait bien moyen de simuler informatiquement plusieurs proto, mais faut des notions techniques et info , proposer de développer le projet a une école technique ?
Les moissonneuse batteuse c'est aussi soufflerie