Besoin
De nos jours, tous les emballages en bois sont réalisés de manière industrielle et l'on repousse sans cesse les limites de l'automatisation... Tous ? Non ! Car un petit département peuplé d'irréductibles Haut-Saonois résiste encore et toujours à l'envahisseur.
Plus sérieusement, une apicultrice professionnelle avait comme projet de moderniser sont atelier de transformation, notamment pour limiter les manutentions et permettre de travailler avec de plus gros contenant. Parmis les améliorations : un sol bien plat et un petit engins de manutention, seulement ensuite il faut aussi des palettes.
Des palettes c'est facile à trouver, mais quand on veut du solide, à des dimensions adaptés à chaque usage pour économiser de la place et en plus de ça sans traitement insecticide ça se complique déjà.
Alors on pars de quelques mesures & toujours d'un petit plan skecthup... et on démarre la scie !
Sciage
Pour optimiser un peu le travail, on a essayé d'harmoniser un peu les sections et de limiter au maximum le nombre d'assemblage.
Parfois un peu au détriment de la quantité de bois et du poids. Mais puisque l'on travail en direct de la grume et que les palettes seront manipulées au chariot cela semble un bon choix pour limiter le temps de vissage et le coup en quincaillerie.
Le tout étant scié plutot dans les cimes, en même temps qu'une charpente pour un autre client.
Montage
Ça fait bizarre de revoir ces photos car l'atelier à bien évolué depuis. Enfin, comme quoi quelques palettes peuvent aussi servir de table de montage
Ponçage
La c'est le moment de sortir le tank au grain 60 pour enlever le plus possible d'échardes . De ce coté là l'épicéa n'a pas que des bons cotés mais c'est toujours plus rapide que de passer tout ça en dégau/rabot.
Petit plus
En bonus, quelques chevrons en Douglas pour caler les ruches en extérieurs
Discussions
c'est tout bête mais ca va tout simplifier
et démonter /recouper /remonter des palettes c'est galère et jamais propre