Depuis longtemps je souhaitais réaliser ce trusquin qui figure dans le traité de menuiserie de Léon Caillet.
En fait je m’interrogeais sur la prise en main qui s’est avérée confortable et solide, ce qui ne me paraissait pas évident.
Je suis parti d’une planche de poirier bien sèche et prise radialement dans le pied de l’arbre.
Bois très dur et esthétique.
Je vais maintenant le tester avant de lui faire une belle finition.
Le plan associé comprend le texte de Léon Caillet et les illustrations.
Voilà le trusquin après sa finition: huile de lin puis gomme laque.
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Il est superbe !
Merci, félicitation aussi pour tes maillets et ton intérêt pour le travail aux outils à main, c’est ma passion.
En temps que menuisier "standard" qui utilise du chene, du hetre ou des bois classiques du genre,
bah c est beau le poirier :) !!!!
C’est bien vrai, à tous points de vue ça vaut l’acajou.
belle fabrication, félicitations, un objet simple mais dé plus efficaces.
Merci
Magnifique! Mais je m’interroges sur le sens du guide. Est-ce que la doucine ne servirait pas à loger la paume de la main et que l’outil soit plus ergonomique?
Roubo ne dit rien mais la prise en main est très agréable comme je le montre, dans l’autre sens ça ne va pas du tout.
Il ne te reste plus qu’à tenter l’aventure, tu verras que sous son aspect rustique c’est plusieurs siècles de culture artisanale, c’est Roubo!