hello
Cet ancêtre est très bien conçu , et il a fait son office .
toutefois, les marches et contremarches ont l'air bien usées et tout a bien séché (donc jeu), et a priori fabriquées en bois blancs (a priori on dirait du peuplier ou ? ).
Donc si tu refais des marches et cm, il faut utiliser du bois dur, et surtout les fabriquer et les poser en tension ! principe ici a partir de 14.00 mn environ
et ici lairdubois.fr/...s-traditionnels
vérifier aussi l'état des crémaillères !
Oui les marches de l'angle peuvent être longues ! on peut remédier a cela par une crémaillère secondaire posée a 45° depuis les crémaillères principales sur 3 marches (la plus longue au centre) !
hello , cherche sur ce forum questions, il y a pleins de conseils!
première chose a faire, c'est de vérifier si tous les serrages ne comportent pas de jeux (précision)
je le redit ici , si je ne devais garder qu'une machine, ce serait celle ci (un vrais couteau suisse) , mais il faut l’appréhender correctement !
si tu as d'autres questions, n’hésite pas !
"Bédane à fiches" (Pour fiches à larder) ! passion.bois.f...erie/fiches.htm
Merci de ce retour , c'est courageux
Aucun acte n'est anodin ! l’accident c'est toujours c...! qui aurait dit qu'une ponceuse a bande était dangereuse ?
comment aurait tu procéder maintenant avec réflexion pour cet usinage ?
Voilà ce que j'ai écrit sur atelier de zeus :
quand un accident se produit, la parole que j'ai entendu pratiquement chaque fois et dite 4 fois dans ma vie , c'est "putain mais quel con je suis !!!" (j'ai toujours mes dix doigts , juste un tiers de phalange du pouce en moins !)
Oui con !! car bien souvent l'accident et produit par l'habitude, le stress du toujours plus vite, la flemme de remettre la protection pour une pièce oubliée, un acte semblant anodin, etc etc ....
Donc un usinage c'est un peu comme le lancement d'un vol spatial en trois dimensions, c'est une check liste intellectuelle avant de pousser son bois .
Nous devons prendre l'habitude de décortiquer l'action et résultat (pointage, outil approprié, protection, comportement de l'essence du bois, anticipation des risques (éjection, retours, éclatement environnement , placement du praticien jamais dans la trajectoire des bois, étude du geste à l’arrêt, et j'en oublie etc)
Bref un automatisme qui s’acquière avec le temps et la pratique et une remise en cause permanente de ses capacité, car quand on ne doute plus , le véritable danger est là !
On gagne tous a perdre 2 minutes , cqfd !