je suis sur d'ajonc, houx et cyprès (ou thuya). si ce n'est pas du laurier, peut être du daphnée. je suis assez d'accord avec le buis et le lierre
bonjour,
pour avoir démonter celui de ma mère rendu "au bout", je t'assure que ça ne bouge pas: dans le Finistère, au bout de 15 ans, toute les rainures languette étaient collées par la lasure et je n'ai pas récupéré une seule lame intacte. ceci dit, si tu est inquiet, pourquoi ne pas mettre un croisillon sur tes deux murs aveugles et tu visse une latte sur deux ou trois par l’extérieur. tu pourra en profiter pour y mettre une vrai isolation a l'intérieur genre laine de verre ou styrodur sans perdre une place folle.
bonjour,
d'après l'éclaté (par ex:https://www.outilpieces.fr/bosch/pof-1400-ace), il y a deux vis dessous pour démonter ce qui est confirmé ci dessus. soit le ressort est cassé, soit il y a quelque chose (poussière, copeaux, ...) qui bloque le retour de la pièce.
essaye de la débloquer en la mettant bouton vers le bas et en tapant pas trop fort avec un maillet caoutchouc sur le dessus. je pense que tu n'échappera pas au démontage.
bonjour,
je ne comprends pas la gestion de la première et dernière marche: en encastrant un nez de marche en haut, la première marche est plus petite et en bas avec le rajout, elle est forcement plus haute et 35-38mm, ce n'est pas rien.
ensuite, je ne comprends pas le choix de 35mm d'épaisseur: c'est ce que l'on prends quand la marche est porteuse mais la, c'est l'escalier béton qui est porteur, le chêne est juste un habillage. pourquoi ne pas avoir doubler en 20mm par exemple quitte a coller un doublage pour le nez de marche.
enfin, pour le nez de marche en haut, il existe des disqueuses avec aspiration intégrée au carter qui fonctionne (l'aspiration) très bien. j'en ai loué une il y a quelques années pour faire une découpe, ça a évité 3 jours de ménage.
en tout cas, joli projet qui ne peut que rendre bien à la fin.
bonsoir,
merci pour la réponse. j'ai de nouveau regardé tes nez de marche et en fait, ils ne sont pas débordants donc pas la peine de rapporter une épaisseur sous le nez sauf a vouloir se compliquer la vie. bon courage et donne nous des nouvelles avec photos évidement.
joli. en plus, on dirait qu'elles restent en creux sur la photo.
bonsoir,
si l'atelier est/reste froid, pourquoi ne pas faire un caisson isolé ou isolé/chauffé juste pour les collages quitte a le rendre démontable si besoin? des fois, une simple couverture dessus dessous peut suffire: les conditions de mise en œuvre de tout ses produits chimiques doivent être respectées sinon, ça ne marche pas
.
effectivement, très joli. et même question: tu as trouvé ou le mécanisme?
+1
sur beaucoup de navigateur, en faisant un "clic droit", on a une rubrique "traduire la page en francais". j'ai firefox et j'ai rajouté un traducteur en plus.
j'ai opté pour la même solution que Rêves de bois , il faut dévisser les 2 vis par dessous: elles sont bien visibles sur le schéma.
autre solution pour la différence de hauteur de gond dans la pierre, c'est de la pierre de ré emploi comme le faisait beaucoup nos anciens-anciens et les deux pierres du haut actuel (qui semble avoir les mêmes dimension si on en retourne une) étaient deux cotés identiques de deux fenêtres d'un édifice.
je n'avais pas pensé a déplacer l’œil de la penture pour s'adapter au gond. les retirer est tellement délicat sans éclater la pierre que cette solution aurait été préférable (même si tout s'est bien passé pour archemedia).
je ne veux pas jeter de l'huile sur le feux mais de tout temps, il y a eu des évolutions et si j'en crois un reportage ARTE vu récemment, les premiers qui ont commencer a standardiser en France sont les architectes constructeurs de notre dame pour les pierres des grandes rosaces. on ne peut pas dire qu'il ce soient loupés! en plus, il est heureux que l'on évolue: nous vivrions toujours dans des grottes si un jour quelqu'un n'avait pas décidé d'implanter une structure hideuse pour s'abriter qui défigure la plaine sur laquelle elle est construite. loin de moi l'idée de polémiquer mais il est vrai que la réaction et le verbe est un peu violent pour un simple gond déplacé. qu'en serait il si archemedia avait rasé le batiment pour faire du neuf.
ceci dit, j'apprécie depuis longtemps les interventions et le savoir de kentaro: d'une manière générale, je suis assez d'accord avec sa philosophie dans ce monde ou l'on rase, jette, normalise tout sans faire attention a notre environnement jusqu’à perdre des savoir faire ancestraux comme le martelage du cuivre à l'oreille ou la confection de verre mince à la feuille de fougère ou autre savoirs.
je suis désolé, généralement, ça se fait avec une scie a main:
sur un cote, celui qui sert de coté, on retire un triangle de 1cm d'épaisseur,
sur l'autre coté qui sert de plancher ou plafond, même chose et derrière, on retire une "baguette" aussi large que l'épaisseur du bois (éventuellement à la scie plongeante sur la plus grande longueur possible et on fini à la scie à main).
illustration avec une image blb-bois prise sur internet.
entièrement d'accord. en dernière solution, si tu n'arrive pas a retirer la tache, tu peux aussi faire un trou pour faciliter la saisie à la main: entre le trou et le quart de rond, tu devrais arriver à bien diminuer la tache.
une corniche qui fait le tour du poteau n'est pas a mon humble avis une traverse!
pas de soucis. je n'avais pas lu ça entre les lignes. donc effectivement, les autres solutions sont plus adaptée a une fixation invisible sans "artifices".
ajonc, houx, laurier rose, cyprès, eucalyptus et le reste, je sèche