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sylvainlefrancomtois

Compagnon charpentier 91 ans genre facteur cheval !


Fernand Vielle , plein de poésie ! ça fait du bien !😌


Discussions

sylvainlefrancomtois  a publié la trouvaille "Compagnon charpentier 91 ans genre facteur cheval !".
il y a 1 an
ourea

Très sympa, ça fait du bien en effet...

Merci Sylvain pour cette trouvaille !

Raspitef - Homemade TeleBass

Un personnage absolument merveilleux !

Erebor

Je le connais ! Mes beaux parents habitent pas loin. Quand on passe devant sa maison et qu'il est dehors il prend toujours du temps pour discuter ! Un vrai plaisir d'échanger avec lui !

marie-anne cochet
( Modifié )

merci pour cette balade qui fait tant de bien! au moins un joli petit coin de France qui ne sera pas vendu au plus offrant pour être détruit ou rapté.

sylvainlefrancomtois

😉

Kentaro

Génialissime!! Merci, Monsieur Fernand!

LouisH

Sa fille doit l'adorer. J'espère qu'elle a le permis de conduire.

olivier-inge-bricoleur

pareil, j'habite à côté de chez lui :)

MRemy

🙏

smcj

Un énÂÛrme MERCI, Sylvain, pour avoir posté ça ici. Cet homme vient de me tirer les larmes alors que son objet (Blanche-fesse et les sept mains) pourrait me porter à trouver ça gnan-gnan. Avec une conscience sur la nécessité de préservation de la Nature, finalement assez rare pour un homme de sa génération. Intéressant, pour moi, de constater à quel point les commentaires (plus nombreux forcément sur Youtube qu’ici-même) sont extrêmement élogieux dans cette quête du sens, justement bien au-delà de la simple chose « jolie » ou « poétique » (même si c’est, évidemment et à juste titre, souvent noté). Là, c’est de l’Amour-en-barre, mais de l’Amour conscient, ce truc qui ― ça n’est pas le moindre des paradoxes ― fait que cette Blanche-Neige-là relève plus d’une aspiration philosophique que du cinéma. Il n’a évidemment pas passé sa vie dans un environnement compagnonnique pour rien. Je suis fasciné par cet ancrage au RÉEL ; plus encore : je crois qu’on ne le souligne pas assez. Cette notion, aussi, conséquente de la première, que le plaisir ne peut pas être une jouissance sans fin ; car, quand on le fait tel, il s’anéantit aussitôt lui-même : « Pour apprécier un quart d’heure d’un feu de cheminée, il te faut te mouiller toute la journée ». Ça n’a RIEN de masochiste ou de judéo-cul dégoulinant de mièvrerie ; c’est juste réel, remettant, en une phrase, la place des écrans à ce qu’elle doit être : absolument pas une finalité.

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