Amis tourneurs, non ces périodes turbulentes ne m'ont pas incité à fumer la moquette !
je suis étonné par le prix de vente des vestes de tournage proposées par les grands fabricants de gouge et autres magasins spécialisés... la confection est simplissime et les matériaux sont ordinaires. En outre pas moyen de trouver une grande taille pour moi( XXL)
Vous trouverez sur le site suivant ICI, une promotion à un prix qui défie toute concurrence d'une veste pour CHOCOLATIER !!! (9,95 € hors-taxes au lieu de 23.70 HT). Même au tarif plein, c'est encore une affaire.
Pour tout vous avouer, j'en ai acheté directement deux qui conviennent à merveille. Les copeaux ne collent pas, entretien facile et les mouvements amples sont aisés. Le col Mao protège bien l'entrée du cou et seuls les manches fendues à l'extrémité nécessiteront la pose d'un velcros par la couturière préférée qui partage ma vie.
Si cela peut vous intéresser
Discussions
Bonne trouvaille Thierry , ma couturière préférée m'en a faite une sur mesure dans le principe des blouses que tu as sans doute connues et qui se ferment à l'arrière avec grande bandes de velcro pour s'adapter au nombres de couches que l'on met en dessous!
A ce prix c'est cadeau et cette marque est une bonne marque de vêtements de travail.
Elle est en polyester donc , une patinoire à copeaux
belle affaire merci
Ce modèle traditionnel en velours conviendra parfaitement pour le travail aux outils manuels…
Bien vu
j'ai sauté le cap
on va pourvoir se reconnaitre entre nous car on va finir tous habillé de la même manière!!!
Le velour... c'est'y pas du Velcro à copeaux, çà ???
La chapenterie ne fait pas de fins copeaux me semble t-il et à besoin de protéger du froid sur les toits, non ?
Je suis bien d'accord avec toi, c'était pour la blague. J'ai trouvé amusant de trouver ce type de vêtement encore en vente.
Le prix a encore baissé : maintenant c'est 8.53 € TTC, et il en reste.
Comme je n'ai pas de couturière (ni préférée, ni tout court) j'ai mis un bouton pression sur chaque manche. Le résultat dépasse de loin mes espérances, et elles étaient pourtant grandes . . .
Merci Mig !