en en parlant avec quelqu'un que je considère, il ressortait que les anciens immergeaient de grosses sections dans de l'eau courante. la structure du bois étant tubulaire, une fois immergé, le courant lessive la sève des fibres, rendant un bois mieux sêché, important pour la première année du séchage des bois destinés aux ouvrages d'art en massif
Dans son excellent roman "les pierres sauvages" Fernand Pouillon évoque la mare aux poutres. Poutres destinées à la construction de l'abbaye du Thoronet
Les champignons attaquent le mois quand le taux d'humidité est comprise entre 20 et 80 %. Donc pour préserver le bois, il faut soit el faire sécher (méthode la plus courante et surtout la plus pratique pour conserver un meuble en intérieur ^^). Au delà de 80 % d'humidité, en immersion donc, les champignons n'ont plus assez d'oxygène pour se développer.
dans ce cas, c'est "juste" pour la conservation des bois entre l'abattage et la scierie, maintenir le taux d'humidité au delà d'une certaine valeur permet d'éviter les attaques fongiques.
Discussions
en en parlant avec quelqu'un que je considère, il ressortait que les anciens immergeaient de grosses sections dans de l'eau courante.
la structure du bois étant tubulaire, une fois immergé, le courant lessive la sève des fibres, rendant un bois mieux sêché, important pour la première année du séchage des bois destinés aux ouvrages d'art en massif
mais donc dans une rivière, pas un étang
Dans son excellent roman "les pierres sauvages" Fernand Pouillon évoque la mare aux poutres.
Poutres destinées à la construction de l'abbaye du Thoronet
Les champignons attaquent le mois quand le taux d'humidité est comprise entre 20 et 80 %.
Donc pour préserver le bois, il faut soit el faire sécher (méthode la plus courante et surtout la plus pratique pour conserver un meuble en intérieur ^^). Au delà de 80 % d'humidité, en immersion donc, les champignons n'ont plus assez d'oxygène pour se développer.
Je me souviens d'avoir vu dans les Vosges des tas de grumes aspergées par des jets d'eau type irrigation… ça a un rapport ?
dans ce cas, c'est "juste" pour la conservation des bois entre l'abattage et la scierie, maintenir le taux d'humidité au delà d'une certaine valeur permet d'éviter les attaques fongiques.
et en plus d'éviter un séchage trop rapide qui entrainerait des fentes et des gerces.