Bonjour
Je dois faire une (ou des) rallonges pour une table. Rien de bien compliqué. Mais j’ai qq questions, merci de m’aider.
- Pouvez vous confirmer qu’il s’agit de noyer? Car je trouve la table pas très lourde.
- Le client ne tient pas spécialement à acheter du noyer pour faire les rallonges et me propose de les faire en frêne. Cela me va bien mais j’ai peur que ce soit extrêmement lourd (il y a 80 cm d’écartement sur 75 de large, 2,2 épaisseur). Donc que me proposeriez vous comme bois à la place éventuellement.
- Je ne suis pas un grand spécialiste des rails et glissières de table, mais je suis surpris que les tenons sortent lorsque l’on écarte la table. Qu’en pensez vous?
Merci
Olivier
6 réponses
Réponse 3 : si ce sont de vrais tenons, ils font partie de la traverse, et quoi qu'il en soit, il faut bien qu'elle se désolidarise du pied...
Si ce sont des faux tenons, ils auraient pu être collés dans le pied plutôt que dans la traverse, cela aurait été plus esthétique pendant la manutention mais dès qu'on met les plateaux ça ne se voit plus.
tout passe, donc du 3 pli de 22 nickel, léger et stable, essence a déterminer en fct des gouts
le système d'ouverture, oui c'est comme ca a l'ancienne, il faut ouvrir la table a 2 personnes et vérifier que le pied central reste centré.
80 cm c'est peut être bcp, il faut un certain chevauchement pour que cela reste stable, je ferai plutôt 2 allonge de 40 que une de 80 (si 80)
Bonsoir,
j'ai une table du même type, 3 rallonges de 0.5 m et 2 de 0,25 la table fait 1,15 m de large
Leurs structure cadre en hêtre avec une traverse centrale et les panneaux rainurer en peuplier.
Autre possibilité des rallonges en latté, réalisation plus rapide, sur la largueur de la table d'un coté rainure et de l'autre fausse languette collé, sur le coté de la table reprise de la forme de la table.
Le frêne et le noyer ont a peu près la même densité, autour de 0,7.
Vu la conception du sytème de glissières, il est normal que la ceinture externe se démonte.
Ce genre de table n'est pas faite pour se démonter tous les jours. C'était pour les grandes occasions, quand on avait des Zinvités, à Pâques et à Noël.