Hier je tournais un objet et j’étais obligé de me positionner près du mandrin pour creuser un petit peu ce côté de la pièce. Je porte une espèce de vieux caban avec des manches larges. Je n’ai rien vu ou senti, mais en quittant l’atelier j’ai vu ma manche...
Je pense que j’ai eu beaucoup de chance que le vêtement n’ai pas été happé par le mors.
Je partage cet événement car je pense que cela peut être utile à d’autre.
6 réponses
Pareil avec perceuse à colonne.
Pas d'écharpe dans un atelier, mieux vaut investir sur du chauffage plutôt que sur une prestation SAMU.
Les cheveux longs attachés aussi, dans le lycée où j'étais dans les années 80, il y a eu un élève scalpé en utilisant une perceuse à colonne.
Bonjour même chose avec un touret de ponçage d'établi j'y ai laissé la moitié de la manche ce jour la j'ai eu très chaud.
Attention aussi au chiffon pour lustrer au tour 
Et oui ...
J'ai un paquet de fils dépassant de la manche longue de mon "sweet de travail" qui m'a rappelé à l'ordre une fois lors d'une session de dégauchissage.
Ben oui ... "sweet de travail" = sweet tout défoncé qu'on ne met plus ... 
et oui, il m'est arrivé la même chose avec une ponceuse à bande retournée sur le plan de travail qui m'a happée la manche de mon "pull de travail" (c'est la même chose qu'un sweet de travail)
Licence
Ah ça... Sur machine, jamais de vêtements amples, les manches retroussées, c'est encore mieux, pas de montre, pas de gants, de cheveux longs pas attaché etc... Sinon on se retrouve surpris un jour ou l'autre.
Fof C'est bien que tu précises "Pas de gants"...
J'ai aussi appris durant toute ma formation à travailler sans gants mais aujourd'hui je ne saurais pas m'en passer. En partie du fait d'avoir un atelier sans isolation ni chauffage. Aussi pour le confort de maintien des pièces lors des machinages. Pour toutes les autres recommandations je suis pleinement d'accord. N'ayant jamais eu de réponses vraiment convaincantes en formations je vous demande le pourquoi du comment aujourd’hui. Typiquement sur le tour je ponce avec des gants car la frictions chauffe vite selon les pièces tournées.
Noe Un gant, quand ça se prend dans une machine, c'est pas un doigt que ça te coupe, ça t'emmêne la main entière. De plus quand on a des gants, le cerveau pige pas qu'il y a une surépaisseur sur tes mains, du coup la position dans l'espace de tes doigts est faussée. Pour le froid, tu choppes une piquette 5 minutes et après ça passe
Bon, en dessous de -5, ça commence à piquer quand même, mais au dessus, ça reste quand même très supportable.
merci pour cette réponse elle me ''parle'' plus que ce que j'ai eu jusqu'à présent. Même sur la circulaire cela ne coupe pas? En été je n’imaginerais pas travailler avec des gants, mais à présent l'atelier est tout les jours entre 0 et -5. Bon si je prend tes mots à la lettre avant -5 degré je devrais pas me plaindre mais quand même ;-). typiquement les opérations sur la circulaire ou la dégau: là ou mes mains sont facilement en contact avec la fonte, je gèle sur place et très vite mes mains chopent des gelures ou craquellent.
Malgré ces menus détails je prend bien note de tes conseils, et merci d'avoir pris le temps de répondre :-)
Noe Alors niveau sécurité sur machine, j'ai une règle : jamais mes doigts ne touche la fonte de la machine quand j'usine, que ce soit dégau, circulaire ou ruban, là je suis sûr de ne pas toucher ce qu'il faut pas, surtout sur la dégau, les mains que sur le bois. Et quand c'est trop petit, poussoirs. Bon après le froid je charrie, on n'y est pas tous sensible de la même façon, et effectivement, la fonte froide, c'est pas très cool.
petit exemple pour plussoyer Fof concernant les gants : un collègue en intérim qui s'est retrouvé avec le gant happé par le mandrin d'une visseuse sans fil, résultat double fracture ouverte du petit doigt, opération, 2mois d'arret et le comble : maintenant son doigt est devenu hyper sensible au froid.
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