Bonsoir à tous,
je viens de terminer la remise en état d’une wastringue porte racloir, vous pourrez voir l’état avant et après ; sauf pour la semelle que j'ai oublié de prendre en photo avant, elle était un peu abimée et avait dû servir à racler du plâtre.
J'ai cherché à la rendre fonctionnelle, à la nettoyer tout en la laissant dans son jus.
J’ai une question pour le fonctionnement pratique et deux par curiosité, dont je n'ai pas trouvé les réponses sur divers sites :
-j’ai affuté le racloir à 45° comme préconisé ici : lairdubois.fr/.../reponses/23621
et cela fonctionne mais il me semble qu'on peut faire mieux. Je me demande s'il faut rabattre le fil comme sur un racloir classique. Est-ce comme pour les raclettes dont E. Parmentier explique la fabrication. youtu.be/xjGlMEI9C-s?t=855
-du fait que la lame est un racloir, cela s’appelle t-il vraiment une wastringue ou un bien porte racloir, ou encore autrement ?
-elle porte doux prénom de N°180, quelqu'un connaitrait-il son nom de famille, le fabricant?
(Un modèle semblable chez Stanley porte le N°80 et chez Darex, N°8)
Quelques précisions pour les curieux, le racloir fait 1 mm d'épaisseur et la vis papillon à l'arrière n'est pas une vis de blocage comme il est dit sur certains sites, mais elle sert à cambrer le racloir.
Toute vos lumières sont bienvenues,
JP
Mis à jour2 réponses
bonjour, oui c'est bien une raclette,j'ai la même en stanley,la différence entre les deux outils vient de la lame ,pour la raclette c'est un racloir affuté avec un angle ,le wastringue a un fer qui ressemble un peu à une plane,ce fer peut être droit ou courbe.(voir photos,le 1er est un tarabiscot,le2 wastringue ,le3 raclette)
bonjour
il s'agit d'une raclette
le fer est affuté a 45 degrés ou diffèrent suivant les bois
le fil est agrandi et retourné comme un racloir
et la vis permet de cambrer le fer
paraffiner la semelle et l' on peut retourner le fil du fer sans démonter le fer c' est ce que je fait
outil indispensable pour certain travaux
le racleur en chef
outil fragile qui casse en cas de chute
etienne desthuilliers