Ce pas à pas présente un projet en cours de réalisation.
Notre couloir avait besoin d'un porte manteau.
Initialement il était prévu de faire un porte manteau type piano (j'ai d’ailleurs déjà reçu les aimants (ça sera pour un autre projet)).
Puis ma femme a doutée et est allée faire les magasins style suédois en quête d'inspiration et elle a trouvée ce qui lui plaisait.
Verdict ce sera un porte manteau tronc d'arbre!!!
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L'implementation
Le porte manteau sera donc positionné fixé dans un coin de l’entrée et dois être utilisable par enfants et adultes.
Cet emplacement va donc restreindre les choix possibilités.
- Entre 1m50 et 2m30 (plus serait de la chute)
- Entre 50cm et 73cm de large (dimensions lie au mur existant et la présence d'un interrupteur qui se doit d’être encastrer dedans)
Choix du bois
C'est bien sur la partie la plus dur mais après plusieurs semaine de recherche sur un site d'annonce on trouve un contact qui semble avoir ce que l'on cherche :
- Répond aux dimensions impose par l'emplacement
- Ayant une forme de tronc d'arbre (c-a-d pas une planche droite mais ou l'on vois la naissance de branche(s))
RDV pris je me rend sur place et grâce a la visio avec ma femme nous nous mettons d'accords.
Résultat : deux planches de cerisiers a abouter en porte feuille pour obtenir la largueur souhaité.
Écorçage
Outils : Une petite hache et un ciseau a bois .
Inspecteur du travail : mes 2 grands et la chienne !
Coup de bol c'est plus un épluchage qu'un écorçage .
Reste les petits recoins que je fignole au ciseau.
Brouillon de l'assemblage final
Les deux planches n’étant pas rectiligne au niveau de la jonction, il y avait donc plusieurs options pour les assembler (plus ou moins de jours entre elles)...
Un peu fou fou j'ai pris l'une d'elle pour la présenter a son futur emplacement... MAIS ... elle est lourde la brindille ou j'ai un gros besoin de faire de la muscu dans tout les cas la méthode n'est pas bonne.
Du coup j'ai tracer les contours de chaque planches sur du carton afin de se faire une idée sur place.
Bonus du carton ça tient avec du scotch donc on a pu le laisser plusieurs jours pour valider le choix final.
Choix final :
Pas de jour et retour du "surplus" sur le coin du mur
Surfacage
Étant hors capacité de ma dégauchisseuse il a fallut faire un surfaçage a l'aide d'un router sled (chariot de surface).
J'ai la chance d'avoir un chariot a chute plus que rempli en panneau donc je commence a m’intéresser au support (lit) pour le bois. J'ai deux panneaux de MDF qui sont plane donc je les assemble avec lamelle pour faire la première partie.
Je contrôle le MDF a la règle et bonne surprise, il est plan.
Le Chariot en lui même n'a rien de particulier.
La ou je m’écarte de ce que la majorité aurait faite c'est pour les skis.
Ayant une planche de forme non rectiligne je me content de petit ski qu'il faudra déplacer en même temps que le chariot.
Les ski sont donc dégauchit et raboter.
(photo juste pour illustration)
Tout est prêt : YAPUKAFOKON
Les planches sont surface une par une jusqu’à surfacer la totalité du bois.
Ça en fait du chantier... Heureusement l’évacuation des copeaux se fait contre un mur et ça évite d'en mettre partout.
Au tout début la planche est cale afin de limiter les pertes.
Une fois la dernière passe faite sur la dernière planche je garde la profondeur sur la défonceuse et place les deux planche en vis a vis.
Coup de chance la dernière planche est la plus fine donc je repasse sur la première (ayant garder la profondeur) afin que les deux aient la même épaisseur.
Assemblage des deux planches
Comment découper le cote des planches sans cote de référence?
Au final c'est pas complique.
Les deux planche sont mise face a face et les points ou elles se touche sont considéré comme décrivant la mediane.
Après a l'aide d'une règle et de cales d’épaisseur il est possible de tracer (plus ou moins directement) le trait de coupe.
Bien sur même si le choix final était sans jour, madame m'a demander de faire un essaye avec.
Et honnêtement il es plus facile de recouper que de rajouter le bois
Finalement on reste bien sur un assemblage sans jours entre les planches.
Les deux planches sont assemble par faux tenons (dominos).
Je prend un point de repère initiale est grâce au bute de report pour faire les suivantes.
Je n'arrive pas a avoir la précision voulue et du coup je dois repasser avec des mortaises élargie pour que çà s’emboîte.
Puis c'est l'heure du ponçage.
D'abord ponceuse a bande avec un gros grain (60) pour enlever les marques de passage de la friase a surfacer, puis orbital jusqu'au 220 et ce sur les 2 cotes.
Les cotes (tranches) sont d'abord dégrossi avec un disque a lamelle sur ma petite meuleuse.
Ensuite ponçage ou cela est possible avec l'orbital et bien sur les petits recoins a la main...
(photo prise sur ce qui sera l’arrière)
Ce pas à pas présente un projet en cours de réalisation.
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