On se refait une beauté !

Je suis du même avis elle sont toute top sauf le Home ... faudrait rajouter un toit en décalé ou truc du genre

Haha et si ça avait été l'inverse ? S'il y avait eu cette icône en premier et qu'elle avait été remplacée par celle avec un toit, est-ce qu'on aurait préféré la première quand même ?

Je dis ça parce que j'ai eu le même avis que vous. Et que j'ai hésité à insister pour qu'elle ressemble plus à une maison quand Kevin me l'a envoyé. Et ça fait bien 3 mois que je le vois sur la version de DEV et qu'avec le temps, je m'y suis fait au point de me dire qu'elle est mieux. C'est certes plus une maison au premier coup d'oeil. Mais le fait d'être moins ressemblant à une maison est pas plus mal. A part la traduction anglaise, home = maison n'a pas vraiment de sens pour définir retour à la page d'accueil. C'est nos habitudes du web des années 2000 qui font ça.

Là, on peut y voir aussi une flèche vers le haut qui a également le sens de remonter à l'origine ... bref, je me dis que le changement il faut l'oser. Sinon on reste dans des habitudes qui peuvent perdre leur sens original

Boris Beaulant Peut être même qu'home vient de l'utilisation d'une flèche avec un corps moins épais ,qui ressemble à une maison alors qu'initialement ça signifiait "up"...

C’est quoi être eco responsable pour un graphiste sankarl ?<
Oui je suis intéressé aussi par la réponse.

Alors le sujet est vaste mais disons que l'idée principale est de diminuer le gaspillage, comme celui des consommables par exemple (encres, papiers...) en privilégiant une création graphique sans superflu. A cela on ajoute une règle d'or : le local ! Et pas de greenwashing, le travail est effectué par une personne engagée pour des personnes engagées. :)
Je dirais que ce sont les trois axes primordiaux mais comme je disais le sujet est très vaste.
Merci pour vos interrogations :)

C’est quoi être eco responsable pour un graphiste sankarl ?

perso, je pensais que c'était une vanne mais apparemment non, et c'est bien que tous les corps de métiers s'y mettent .
Au final, il s'agit sûrement juste de gens bien "aware" comme le disait un grand philosophe

en tout cas, merci de ton investissement pour le site, c'est sympa d'épauler Boris et tout ceux qui sont dans l'aventure.

sankarl merci pour ta réponse. Ce sont de belles valeurs, importantes. Le client engagé me paraissant le moins évident à trouver, ou plutôt donner l’exclusivité à des clients engagés. Je vois souvent ds graphistes ayant bcp de difficultés avec leur activité, j’ai du mal à concevoir qu’il soit possible de refuser des clients. Mais ma remarque est celle du quidam, je ne connais pas ce milieu plus que ça.

DocEmmettBrown Merci pour ton message. Ma contribution est relativement maigre au vue de l'investissement de Boris, mais à l'image du colibri de Pierre Rabhi, chaque contribution mérite d'être réalisée.

DewhitYoussef Dans ma pratique, je n’œuvre pas pour une exclusivité pure, déjà parce que c'est très compliqué et aussi parce que chacun a son propre "niveau" d'engagement. Par contre, j'écarte tout projet qui n'a aucune dimension sociale et/ou écologique (je ne vais pas travailler pour l'industrie agro-alimentaire par exemple).
En tant qu'indépendant, le plus compliqué est justement d'arriver à refuser des clients, parce que même si on est dans le besoin, il arrive que l'on soit confronté à se poser la question et il n'y a aucune vanité là-dedans.
Sans parler de valeurs communes, on peut décider de s'écarter d'un client parce que ce dernier nous épuise énergétiquement (toujours négocier les tarifs, croire que l'on est à son service h24, toujours réaliser des projets pour hier, etc...).
Et c'est à ce moment-là que la décision est plus dure à prendre, car quand on a besoin de ses missions pour mettre du beurre dans les épinards, mais que cette collaboration est "nocive"... alors il faut y mettre un terme.
Je suis passé par là et je passe encore par là aujourd'hui, mais que ce soit dans n'importe corps de métier, il faut savoir s'écouter et se respecter soi. Quand le client dépasse trop nos limites, il faut arriver à couper les ponts pour notre bien-être mental et se consacrer à des clients bienveillants.
Enfin, c'est ma philosophie de travail et de vie :)

sankarl bien en effet ce que’ tu décris c’est ce que je voulais dire, pas évident pour un indépendant de faire le tri. Alors bravo en double d’y parvenir!

sankarl que ça fait du bien de lire çà !!!!!

En même temps c'est beaucoup plus compliqué pour un salarié d'envoyer chier un client.
En tant qu'indépendant, c'est plus facile mais il faut passer outre l'aspect économique et quand c'est pour remplir son frigo, forcément c'est plus compliqué. Il faut du courage et de l'abnégation. C'est forcément plus facile en période de vaches grasses que de vaches maigres.

trente six seb On a souvent peur de refuser un travail car on ne sait pas si il y aura autres chose. En fait comme on ne sait pas, on peut partir sur le principe qu'il y aura quelque chose de mieux et qu'on risque de se bloquer avec un boulot dont on ne veut pas. En fait c'est a nous de choisir mais on a pas été éduqué comme ça.

C'est l'avantage d'être indépendant, c'est à nous de choisir !
(bon c'est aussi le revers de la médaille, on est tout seul et il faut prendre nos responsabilités on n'a rien sans rien).

MikaMTB Merci pour ton commentaire. Oui, tu peux retrouver mon travail sur mon site : www.kevinfuret.com :)