Salut, Un bois qui va bien, c'est l'hévéa. C'est dans cette essence que son réalisé les plans de travail de cuisine, il y a aussi du chêne. Du coup, tu peux en trouver d'occase pas chère (bon coin) ou à la rue. L'avantage c'est d'avoir déjà un collage de plusieurs "carrelet", il te reste plus qu'à couper des bandes perpendiculaires, puis de les coller en bois debout.
Bonne réalisation
Salut,
Ta description ressemble au vernis gomme laque. C'est de l'alcool à 95 ou 99°. Par contre, pour un parquet, je ne sais pas. J'ai lu une recette de vernis pour parquet mélangeant gomme laque et huile de lin. Vue dans le bouquin "trucs et procédés du bois" de J.P. Coutrait.
Salut,
Ayant trainé depuis mon enfance dans des menuiseries ébénisteries, créer en 1956. Dans l'entreprise familiale (père puis frère), chez mon oncle puis cousins. Je n'ai jamais vu de testeur d'humidité dans leur entreprise. Les seules fois où j'ai vu ces appareils, c'était celui des scieurs et/ou vendeurs de bois.
Apparemment, pour avoir des résultats fiables, il faudrait y mettre le prix, et bien savoir s'en servir.
Je reste sceptique sur leur intérêt.
Comme il est dit, la finalité du bois définit son traitement par les scieurs.
Tout vouloir tout maitriser est une illusion. Laisse-toi surprendre et développe la bidouille, avoir l'orient...
Bonne continuation.
Salut,
Il te faudrait savoir la nature du liant utilisé dans ton produit de base. Si c'est une céruse à partir d'huile ou de cire, tu ne pourra pas mettre un vernis dessus. Si c'est un produit à base d'acrylique, tu pourras mettre un vernis, ou autre à base d'acrylique.
Ton produit de finition dépend donc du liant de ta base.
Bonne journée
Salut,
Avant la gestion en flux tendu, les menuisiers ébénistes stockés leur bois dehors, plusieurs années. Couvert avec des tôles, voir uniquement les dosses. Dans ma famille, le parc à bois faisait plus de 400m². Le bois était rentré la veille, puis travaillé. Certain bois plus sensible étaient stockés sous un hangar, ouvert à tous les vents.
Pas le souvenir d'avoir entendu parler de problème lié au stockage. Et ça depuis 1954 à nos jours (mon frère cessera l'activité cet hiver).
Salut,
Fais-toi plaisir si tu en as les moyens. Sans hésitation, des Kirschen c'est vraiment mieux. Autant débuter avec du bon matos, plus de chance de faire du bel ouvrage. C'est sûr que les outils ne font pas tout, mais quand même. Quant au guide d'affutage, c'est une mauvaise béquille qui ne te permet pas de prendre le coup de main.
Bon copeaux
Salut,
Il me semble que l'on parle plutôt d'angle de corroyage. Mais peu importe le nom que l'on lui attribue, voici une explication du pourquoi et de sa recherche par le tracé.
[youtube.com/wa...?v=rwxKsjsqHVg](angle corroyage)
Bonne visualisation.
Salut
Je n'utilise plus de produit agressif pour une restauration, genre vinaigre. Ponçage à la main (cale), d'abord grossier, du 100, pour aller vers une finition au 400 de carrossier. Pour moi, c'est largement suffisant. Un coup d'huile de camélia et paraffine, ou directement paraffine, si tu n'a pas de camélia.
C'est un plateau de scie...
Bonne restauration
Salut,
Un peu léger comme introduction. Peut-être pourrais-tu commencer par voir un peu ce qui se partage sur ce site, en dix heures ça fait court... Tu pourrais aussi dire ce que tu as déjà réalisé pour te décider à te lancer. As-tu regardé autour de chez toi s'il existe un atelier partagé pour commencer à faire des copeaux, et affiner ton envie.
Murir un peu l'envie quoi !
Salut,
Pour le retrait tangentiel (dans l'épaisseur) c'est 12,3%, d'après "le guide des essences de bois", CTBA, édit: eyrolles.
La peinture en bout de plateau, évite un séchage (évaporation) plus rapide par les extrémités, influence donc la fente en bout. Sûrement pas besoin de mettre une peinture de grande qualité, puisque ce qui est recherché c'est "l'imperméabilité", des fonds de pots devraient faire l'affaire.
Belles grumes.