Salut,
Les points que tu mentionne sont des bonnes bases.
Il n'est pas facile d'obtenir des coupes parfaites, même avec de la pratique, y a que sur youtube que ça fonctionne
Il ne faut pas hésiter à se servir de cales de guidage, autant pour amorcer le sciage, que pour appuyer ses ciseaux pour être bien d'aplomb. Cales-guide en équerre que tu appuie sur une face, ou bois fixé avec des serre-joints. Planche à recaler est un outil indispensable à mon avis aussi.
Perso suivant le niveau de finition recherché, je me garde une marge, reprise ensuite au rabot ou ciseaux. Faire une coupe parfaite sans avoir besoin de retouche ensuite n'est pas obligatoirement un but pour moi.
Prendre le temps et aussi un élément important.
Bon apprentissage
Salut,
je n'ai pas tout à fait le même, le mien la lumière et réglable. Cela dit, j'ai mis du temps à arriver à le régler, et encore. J'ai quand même l'habitude d'utiliser des rabots, mais ce modèle n'est pas pratique. Si tu sert trop le contre-fer, difficile de modifier l'avance du fer, si au contraire, tu ne le sert pas bien le fer se dérègle.
Je ne sais pas si cela vient des modèles Dictun, c'est le seul que j'ai, mais je trouve ce rabot difficile à régler. Par contre, une fois réglé il fait le job.
Bon tâtonnement.
Salut,
Si je comprend bien la mécanique de la porte (je regarde avec un œil de charpentier MOB), il y a un cadre, traverses et contreventement (écharpes), recouvert de lame de bois (qui doivent aussi servir à rigidifier l'ensemble.
Du coup l'idée de découper les lames de la partie haute, mais pas la structure, faire un cadre solide dans lequel on place le verre. Venir fixer ce cadre sur la structure en gardant les écharpes. Tu perds un peu de lumière, présence des écharpes, à voir (c'est le cas de le dire) si c'est une perte importante ou pas.
Bonne réflexion
Salut, Un bois qui va bien, c'est l'hévéa. C'est dans cette essence que son réalisé les plans de travail de cuisine, il y a aussi du chêne. Du coup, tu peux en trouver d'occase pas chère (bon coin) ou à la rue. L'avantage c'est d'avoir déjà un collage de plusieurs "carrelet", il te reste plus qu'à couper des bandes perpendiculaires, puis de les coller en bois debout.
Bonne réalisation
Salut,
Ta description ressemble au vernis gomme laque. C'est de l'alcool à 95 ou 99°. Par contre, pour un parquet, je ne sais pas. J'ai lu une recette de vernis pour parquet mélangeant gomme laque et huile de lin. Vue dans le bouquin "trucs et procédés du bois" de J.P. Coutrait.
Salut,
Ayant trainé depuis mon enfance dans des menuiseries ébénisteries, créer en 1956. Dans l'entreprise familiale (père puis frère), chez mon oncle puis cousins. Je n'ai jamais vu de testeur d'humidité dans leur entreprise. Les seules fois où j'ai vu ces appareils, c'était celui des scieurs et/ou vendeurs de bois.
Apparemment, pour avoir des résultats fiables, il faudrait y mettre le prix, et bien savoir s'en servir.
Je reste sceptique sur leur intérêt.
Comme il est dit, la finalité du bois définit son traitement par les scieurs.
Tout vouloir tout maitriser est une illusion. Laisse-toi surprendre et développe la bidouille, avoir l'orient...
Bonne continuation.
Salut,
Il te faudrait savoir la nature du liant utilisé dans ton produit de base. Si c'est une céruse à partir d'huile ou de cire, tu ne pourra pas mettre un vernis dessus. Si c'est un produit à base d'acrylique, tu pourras mettre un vernis, ou autre à base d'acrylique.
Ton produit de finition dépend donc du liant de ta base.
Bonne journée
Salut,
Avant la gestion en flux tendu, les menuisiers ébénistes stockés leur bois dehors, plusieurs années. Couvert avec des tôles, voir uniquement les dosses. Dans ma famille, le parc à bois faisait plus de 400m². Le bois était rentré la veille, puis travaillé. Certain bois plus sensible étaient stockés sous un hangar, ouvert à tous les vents.
Pas le souvenir d'avoir entendu parler de problème lié au stockage. Et ça depuis 1954 à nos jours (mon frère cessera l'activité cet hiver).
Salut,
Fais-toi plaisir si tu en as les moyens. Sans hésitation, des Kirschen c'est vraiment mieux. Autant débuter avec du bon matos, plus de chance de faire du bel ouvrage. C'est sûr que les outils ne font pas tout, mais quand même. Quant au guide d'affutage, c'est une mauvaise béquille qui ne te permet pas de prendre le coup de main.
Bon copeaux