Salut KOPO
Lors de ma formation en menuiserie (écourtée hélas), nous avions deux Classic X de chez Lamllo. L'une neuve, l'autre utilisée depuis un moment.
Avec l'ancienne machine, les lamellos étaient trop serrant au point où nous devions les poncer au gros grain pour les affiner.
Le problème était dû à l'usure de la lame suite aux affûtages successifs. La lame perdait de son épaisseur petit à petit.
Ta lame a-t-elle été affûtée ?
Hello vincentetienne15
Lors de ma formation j'ai utilisé pendant plusieurs mois des panneauteuses avec inciseur. La profondeur de l'entaille devait être autour du millimètre. Juste de quoi entailler le méla et gratter légèrement la matière qui est en-dessous.
On ne travaillait que du MDF et de l'agglo (méla et stratifié). Pour les autres matières je ne sais pas. Et ce n'était pas une fraise réglable.
Si tu es assez attentif au bruits de ta machine, si tu prends trop de matière avec l'inciseur, tu l'entends !
Hello JPM
La seule réponse pertinente trouvée est la suivante. Si ça peut aider ...
"... j'ai été fabricant d'abat jour en vessie pendant 20 ans... Effectivement il faut le nourrir, tout comme on le fait pour le cuir, ne pas oublier que c'est un peau. Mais avant de remettre de l'huile, il faut le laver, pour éliminer la poussière et l'ancienne huile, autrement votre abat jour va se transformer en papier tue-mouche! Il faut donc prendre de l'eau tiède avec un peu de produit vaisselle. Ensuite avec une éponge humide et propre le laver à l'intérieur et à l'extérieur, il risque de ramollir mais c'est normal, puisque la peau est mouillée pour pouvoir être montée sur la carcasse. Attendre au moins 24 h avant de le huiler avec un chiffon doux, genre morceau de drap, éviter le coton qui va plucher et accrocher aux coutures. Il est conseillé de faire ça tous les ans."
Salut Lithium
J'ai acquis récemment un combiné Kity. Dans les accessoires il y a un manchon en caoutchouc sur lequel s'enfile un cylindre de papier abrasif. Tu installes le manchon sur l'axe de la toupie et tu as une ponceuse pour tes chants.
Peut-être une solution provisoirement définitive pour toi ? Voici un exemple à +/- 30€. J'en ai vu à plus de 100€.
Une autre solution, "maison" cette fois, en utilisant une colonne de perçage comme support du cylindre de ponçage.Voir ici
Re bonjour à tous,
Me revoilà avec d'autres informations aussi déroutantes que positives.
1 - J'ai recontacter le vendeur qui m'apprend que les machines n'ont pas tourné depuis près de 15 ans !
Sachant cela et puisqu'il n'est pas possible de les faire tourner chez lui, je lui ai proposé de mettre une clause à la vente : je paye les machines, les emporte et vérifie que le moteur fonctionne ainsi que les outils. S'il s'avère que ce n'est pas le cas, il me rembourse. Je m'occupe du transport aller et retour si nécessaire.
Sa réponse est un "non" catégorique.
2 - A ma grande surprise, je viens d'apprendre par mon frère qu'à la maison familiale où je vais installer mon atelier, existe une arrivée en triphasé 380V ! Le seul inconvénient est qu'il faut tirer un câble d'environ 100m en XVB 5G2,5. Donc, un coût d'environ 300€-350€ câble, gaines et fixations compris.
En conclusion :
- Je dois faire confiance à un parfait inconnu qui n'a aucune confiance en moi. Investir tout mon budget pour des machines alors que je ne sais même pas si elles fonctionnent me semble risqué. Si je perds cette somme, je peux dire adieu à mon projet d'atelier.
Je prends sur moi et me fait une raison. Je préfère jouer la carte de la sécurité et attendre d'autres occasion.
Merci à tous pour vos commentaires. Il m'auront enrichi dans un domaine obscure pour moi: l'électricité.
Les amalgames qui se forment au ponçage est un phénomène classique. Pour avoir décapé des kilomètres de meubles et deux trois planchers, le mieux est de réduire au maximum la couche de protection comme le suggère Bonbonveronbi avant de poncer. En grattant (peintures), dé-cirant (cire). Pour le vitrificateur je ne sais pas comment on pourrait procéder.
Cela dit, des amalgames se formeront quand même, mais nettement moins. Je nettoyais les abrasifs avec un brosse en fer pour évacuer les amalgames.
Autre point, il me semble que tu n'as pas chassé les clous du parquet. Les bandes abrasives (si en papier) risquent de se déchirer en lambeaux à leur contact.
Bonjour les boiseux,
Me revoilà avec quelques informations complémentaires.
Le parrain du voisin du copain de mon collègue était bien un ébéniste (le parrain).
L'entaille dans l'outil à moulures est une modification.
On voit clairement les traits de scie laissé sur le corps de l'outil lors de l'adaptation. L'évidage des traits de scie est assez grossier.J'ai découvert, en faisant les photos, que l'outil est signé. Signature de l'ébéniste ? Du fabriquant ? Je pencherais pour la réponse n°1.
Donc, l'outil à probablement été modifié pour un travail particulier que l'ébéniste devait faire, et que seul lui connaissait. Le mystère restera entier puisqu'il a emporté la réponse avec lui, quelque part, là-bas dans l'au-delà.
Salut Adelinea
- Le point soulevé par ukinoki à propos du débit d'air restitué et non pas celui consommé est crucial.
Je me suis intéressé à la chose il y a peu. Voici les infos que j'avais trouvées.
En espérant faire avancer le chmilblik.
- A sec ou à huile ? Pour le bois le sec est préférable car celui à huile peut projeter de fines gouttelettes d'huile et ruiner tes efforts.
- Vérifier qu'il dispose d'une valve pour évacuer l'humidité (naturelle dans l'air comprimé) après chaque usage. Celle-ci peut colmater les canalisations et la buse (aérogommage ou sablage).
- Idéalement, un compresseur à débit réglable.
Cela dit, dans ton titre tu parles d'aérogommage puis, dans tes explications, de sablage. Ce sont des techniques similaires mais qui demandent du matériel et des abrasifs différents. Je n'ai pas souvenir que le sable soit indiqué pour l'aérogommage. A vérifier.
L'aérogommage est plutôt pour de petites pièces et/ou des matériaux délicats comme le bois, les pierres friables, ... car cette technique travail généralement à basse pression (+/- de 0 à 3bars).
Un gros avantage est l'aspect écologique (environnement + santé). Il existe une panoplie d'abrasifs naturels, selon leur destination, à granulométrie fine à très fine : noyaux et coques de fruits (abricots, pêches, olives,...); rafles de maïs; sciures de bois, etc
Comme cette technique préfère la basse pression, sur de grandes pièces et en continu, ton compresseur risque de ne pas suivre (mises en marche fréquentes). Et plus la buse est large, plus il consomme de l'air et donc active le compresseur.le sablage demande en général un compresseur plus imposant, donc plus coûteux aussi (entre 6 et 12 bars). Il est plutôt indiqué pour de gros travaux. A déconseiller sur le bois donc.
ATTENTION :: les abrasifs contenant plus de 1% (en poids) de silice libre sont proscrits pour les travaux de sablage, car nocifs. Le sable proprement dit ne convient donc pas.
Pour info, voici les débits d'air comprimé conseillés pour travailler à la pression de 7 bars, avec quelques diamètres de buse courants (buses neuves, donc non usées) :
Ø 2 mm : 300 litres/minute (à réserver aux très petits travaux).
Ø 3 mm : 600 litres/minute
Ø 4 mm : 900-950 litres/minute (pour surfaces moyennes telles que carrosserie, escalier, monument funéraire, ...)
Ø 5 mm : 2000 litres/minute (le minimum pour un rendement correct sur une façade)
Ø 6 mm : 3000 litres/minute
Ø 8 mm : 5000 litres/minute
Vois aussi du côté des magasins vendant du matériel pour musiciens ( cherche "patin pour flight case") ou d'appareils de sonorisation. Ce genre de pieds est courant dans ce milieu.
Par exemple : Patins pour flight case
Salut Pacalou
Je me suis posé la même question que toi concernant l'utilité de cette partie plus fine du guide (suis un novice).
La réponse trouvée est qu'il sert à passer des sections plus étroites sans être gêné par la cape d'aspiration. Ou, risquer de perdre quelques doigts si l'espace permet le passage de la main (positionnée à la verticale et peu de visibilité du mouvement).
La mauvaise solution serait de relever la cape.
Exemple :
- tu dois scier une latte de 30-40mm (mesures au hasard) mais ton guide vient buter contre la cape d'aspiration. Tu ne peux donc ni passer ta main ni un poussoir entre les deux. Tu retournes alors le guide, côté fin sur la table. Tu as alors un peu plus d'espace pour placer le poussoir.
Guide latéral à plat ?
Pour ce qui est de la lecture de la règle je n'ai pas de réponse sinon prendre la mesure entre la lame et le guide avant sciage. Peut-être y a-t-il un réglage à faire (as-tu le manuel ?).
Heureux de savoir que je ne suis pas seul dans mon coin.
Je suis une formation en menuiserie depuis un mois. Sur cette période nous avons rempli un conteneur entier de chutes (MDF et aglloméré) pour un atelier d'une douzaine de personnes. Et ça me fait mal au cœur de voir tout ça partir au rebut.
Effectivement, l'organisation pour revaloriser les chutes peut être complexe à l'échelle individuelle, mais je reste optimise quant à sa possible réalisation. A savoir que pour mener un projet ambitieux il faut toujours démarrer petit. Commencer par ce qu'il est possible de faire à notre échelle.
La prise de conscience quant aux déchets et recyclage à le vent en poupe. C'est en multipliant ce genre d'initiative que de plus grands projets peuvent voir le jour. Qui sait, peut-être que de cette idée proposée par delphinevarrel, sortira de terre une coopérative ou autre qui centralisera la gestion des chutes. Soyons fous !
Dans tous les cas, je suis partisan du "qui ne tente rien n'a rien". Et même si ça devait ne pas fonctionner, ce pourrait être une source d'inspiration pour d'autres qui, le cas échéant, aurait plus de temps et de moyens pour porter un tel projet.
Le plus intéressant à mes yeux est de montrer que faire autrement est possible. Que le jetable n'est pas une solution. De montrer que nous sommes de plus en plus nombreux à être sensible à l'équilibre de notre environnement et permettre à ceux qui n'osent pas ou ne savent pas par quel bout commencer, d'ouvrir, peut-être, des portes d'inspiration.
Je vote pour delphinevarrel à la présidence ! 
PS : si une telle initiative devait voir le jour en Belgique je suis preneur pour la récupération de chute.
Bonjour Tartalail
Pour la question des bêbêtes qui mangent ton bois, une solution naturelle est le sel de bore. Sur les conseils d'un ami ébéniste, j'avais testé cette popotte sur une table bien bien plus vermoulue que ton meuble. Super efficace.
Usage en dilution de 10gr de sel pour 90gr d'eau tiède à 20°-30°. Ou 100gr de sel pour 900gr d'eau, ... Quantité à préparer selon tes besoins.
Selon la température ambiante, après environ 15min, ton mélange sera translucide et non laiteux comme au départ.
A appliquer au pinceau. Au séchage, une fine pellicule de sel se forme sur le bois. Mon ami m'avait conseillé de passer une éponge humidifiée avec un mélange eau/vinaigre blanc (je doute qu'un balsamique convienne 
)
A répéter plusieurs fois.
Avantages : naturel, pas d'odeur, très économique, pas de substances chimiques, conservation indéfinie (le sel, pas la popotte). Il semblerait qu'il aurait des fonctions ignifuge aussi (à vérifier).
Inconvénients : pas prêt à l'emploi, la majorité du sel de bore vendu provient des USA (empreinte carbone = médiocre).
Les pros me corrigerons. Mais pas de fessée s'il vous plaît 
