J’aimerais comme matériaux, du polymère avec mff comme corps.
Pour le "mff", j'ai bien compris que tu parlais de MDF, mais pour le "polymère", je me demande de quoi tu veux parler, parce que des matériaux qui répondent à cette définition, il y en des milliers. Peut-être faudrait-il préciser de quoi tu parles, un matériau plus précis, le nom commercial, ou la marque... Parce que là...
Mais sinon, un point m'interpelle. Tu es professionnel, et tu veux "fabriquer des armoires de cuisine".
Mais pourquoi ne pas partir sur un mode fabrication classique, mélaminé, stratifié, MDF vernis ou laqué... ou des tas d'autres matériaux et finitions utilisés de façon courante.
Tu as un besoin, des contraintes spécifiques, ou alors une demande particulière d'un client ???
Difficile de comprendre et d'appréhender exactement ton besoin, mais tel que je le comprends : Tu cherches une solution pour faire coulisser des cloisons verticales (ou séparations, cotes, joue, etc... plutôt que tablette qui comme son nom l'indique s'apparenterait plutôt à une petite table... qui est rarement à la verticale ).
Après, on ne sait pas de quelle profondeur tu veux qu'elles coulissent (sortie totale ou partielle), quel niveau de solidité est nécessaire, quelle facilité de glissement ?...
Comme ça, deux solutions possibles :
Une très simple qui consiste à réaliser et fixer une sorte de languette verticale, dans les parties fixes hautes et basses. Et une rainure dans chaque extrémité de tes cloisons, qui viennent coulisser sur ces languettes. Cela peut être réalisé en bois (relativement dur, de préférence), et le coulissement facilité par de la paraffine.
Autre solution, des coulisses à billes. Il en existe des fines, comme ici, en sortie simple (une sortie totale serait plus large), et en différentes longueurs. Celles ci ont une section de 17mm x 10mm.
Il faudrait, si tu ne vaux pas les laisser visibles, qu'elle soient encastrées dans les chants hauts et bas de ton panneau coulissant, et donc un panneau suffisamment épais pour ce faire, de façon à ne laisser qu'un jeu de fonctionnement minimum.
Après, si tu n'es pas suffisamment outillé et/ou pas trop exigeant sur l'esthétique, tu peux simplement déduire les épaisseurs de la hauteur de ton panneau, et les laisser visibles.
"Puissance admissible à la prise 1200W"
Ça veut dire exactement ce que ça dit. Je pense qu'il n'y a pas trop de question à se poser.
Mais si tu veux tout de même aspirer tout appareil d'un puissance supérieure à celle admissible, tu branches cet appareil directement à une prise, et tu mets ton aspi en marche forcée. De cette façon, tu ne prends aucun risque.
Déjà, ça manque un peu de précisions et de détails.
Quelle sera l'épaisseur finie de ton plateau ?
Ton frêne est-il sec, bien sec ? A quel taux d'hygrométrie, si tu le sais ?
Ton plateau sera t-il maintenu, fixé de quelle manière à un éventuel piétement ou ceinture ? Ou alors a un autre type de structure ?
…
Suivant les réponses, une recherche d'orientation des cernes du bois peut-être souhaitable, voire indispensable... ou alors à l'extrême inverse, totalement superflue.
Comme le disait Etienne plus tôt, des ouvrages soumis à des variations d'hygrométrie importantes sont plutôt à classer dans la catégorie des "indispensables".
Par contre, pour un ouvrage intérieur, et avec bien entendu du bois à une hygrométrie adaptée à cette utilisation, on privilégiera plutôt une recherche d'un appareillage esthétique, des grains, fils, veinages, couleurs qui se marient sans choquer l’œil, sans que les joints ne se voient de trop. C'est tout un travail d'établissement et d'appareillage que l'on fait souvent, dans le meuble, tandis que la recherche de parfaite alternance des cernes est ici superflue.
Tout ceci expliqué, et en supposant que ton croquis concerne un ouvrage pour lesquels ça serait indispensable je dirais que la succession 4-5-6-7 n'est pas idéale, car ces 4 orientations tireront vers le haut.
"La table se bloque à 30cm d'ouverture"...
Tu parles de la table de degau, qui une fois ouverte ne veux pas descendre ?
Si c'est bien ça, tu fois avoir un système de blocage de sécurité quelque part, pour l'empêcher de tomber. Il te faut trouver ce système anti chute, le débloquer, et tout devrait descendre normalement
On en a pour son argent...
Mais quelque fois, c'est suffisant, suivant le type d'outil, et l'usage qu'on en a.
J'ai depuis pas mal d'année, et à titre personnel, (et pas pro que je suis par ailleurs) une grosse meuleuse d'angle Works. Je ne voulais pas y mettre cher, car je savais que n'en aurais qu'un usage tres occasionnel
Résultat, ça doit faire pas loin de 10 ans qu'elle me sert les quelques fois où j'en ai besoin, et pas plus de quelques heures par an. Et pour une trentaine ou quarantaine d'euro, je suis satisfait de mon achat.
Bien sûr, tout ceci est mettre en perspective, par rapport à la machine envisagée, et l'usage qu'on pense en avoir. Mais pour une utilisation plus fréquente, mieux vaut sans doute chercher quel que chose de plus durable, mais qui sera certainement plus cher.
Tout dépend de ce dont tu disposes, comme moyen ou machine.
La façon la plus simple pour quelqu'un qui a une toupie, c'est à la fraise multipente, qui permet de réaliser n'importe quel angle.
Mais à te lire, j'imagine que tu voudrais faire ça à la defonceuse, ou affleureuse.
Dans ce cas, il suffit de faire un petit montage incliné, suivant l'angle choisi, que tu déplacera le long de ta courbe, et guidé contre le chant. La defonceuse vient se positionner au dessus de ce montage, travaillant avec le bout d'une fraise droite. Peut-être sera t-il nécessaire de faire plusieurs passes pour tout enlever, mais aussi pour atteindre tes 30 mm de pente. Il suffira alors de déplacer et refixer la machine sur le montage, suivant besoin.
Avec un tel montage, tu déplace simplement ta machine le long des courbes, et de façon rayonnante.
2 fois 385, c'est vraiment étroit, d'autant plus que ça ne laissera qu'une ouverture maxi de quelque chose comme 350, en comptant le recouvrement. Dans tous les cas, ça ne peut être que suspendu et juste guidé au pied.
Mais avec de telles dimension de vantaux (très hauts et très étroits), une configuration en "pliant coulissant" ne serait-elle pas plus adaptée, pour ne pas dire plus prudente ? Qui de plus, permettrait une ouverture bien plus large et une meilleure accessibilité.
Pour ce qui est de la position du guide, à plat ou "debout", d'autres ont déjà très bien expliqué. C'est bien pour pouvoir déligner des pièces étroites, sans être gêné par la cape de protection.
Pour la lecture de la mesure, tu dois avoir une déduction à faire. Du genre : lecture directe si le guide est vertical, et -50mm (à vérifier si c'est bien ça, bien sur) quand le guide est à plat.
Pour la graduation du guide, sur la partie gauche, on voit qu'elle est inversée. Elle doit donc servir dans une configuration de machine, avec ton guide à gauche de la lame, je suppose.
Si tu as une notice avec ta machine, elle explique peut-être toutes ces différentes configurations possibles.
Le dit "bois de fer" qui est une appellation qu'on donne souvent à du Gaïac, au moins en France, mais ça n'est pas le seul, est un bois très dur, très lourd à tel point que dans l'eau... il coule, bref, on pourrait en dire plein de chose, ses utilisations très particulières et étonnantes dans la construction navale, par exemple... mais rien à voir avec du Zébrano.
Sinon, c'est joli, mais en accompagnement d'autre chose, sous forme de moulure rapportées sur autre chose, pas forcément du bois, d'ailleurs... Parce qu'à "forte dose" ses lignes quasi parallèles sont "lassantes" pour les yeux.
Son petit nom... ben connecteur, boîtier de connexion, ou un truc dans le genre.
Mais après pour en connaître la référence, c'est une autre histoire.
Peut-être chercher du côté de chez Radio Spare (ou RS... je ne sais plus quoi, aujourd'hui)
Ici : fr.rs-online.c.../c/connecteurs/
Pour des petits tiroirs, pas trop chargés, ça peut marcher... quoi qu'au prix de recherche des bons réglages, d'une mise au point assez fastidieuse.
Mais dès que le tiroir est plus grand, lourd, ou tout simplement chargé, les réglages ne sont plus les mêmes.
Avec des coulisses avec "Tip-on" (ça c'est l'appellation de chez "Blum) intégré, ça fonctionne mieux et plus indépendamment du poids.
En tant que pro, et pour un certain nombre d'ouvrages nécessitant d'être alignés, je travaille sur socle réalisé en contreplaqué. Mais avec tout de même des verins "à griffes", contrairement à des callages. (Je n'ai pas regardé la vidéo, mais il me semble l'avoir déjà vue, et que c'est avec des calles de diverses épaisseurs qu'il procède)
Par contre, et justement pour les mêmes raisons d'accès que tu cites, en cas de fuite, ou de besoin de passer un câble ou pour des modifications d'appareil, etc... je réalise toujours les caissons de cuisine sur verins, avec plinthes rapportée et démontable.
Pour le protecteur, ne t'es t-il pas possible de le modifier, ou alors d'en refaire un de façon à ce que le capot supérieur soit basculant, un peu à la manière de celui d'une toupie ?
(A noter que j'en ai aussi vu beaucoup dans divers ateliers qui étaient réalisés "maison". En contreplaqué, souvent, mais aussi en métal. Et qui étaient donc adapté aux besoins des utilisateurs)
Concernant les plateaux, le premier réglage peut être un peu long, c'est vrai.
Mais il est possible de référencer ou numéroter ses différents outils de mortaisage. Un petit tableau, fixé sur le petit placard qu'on a souvent à côté pour ranger les différents outils, ou encore au mur, permet de noter les différents pointages au fur et a mesure qu'on en réalise de nouveaux. On y note la référence de l'outil de mortaisage, ainsi que l'empilement de bague mesuré au pied a coulisse à monter entre les plateaux, pour y correspondre.
A chaque nouveau tenonnage différent, il suffit ensuite d'y noter les données du réglage. Puis plus tard, ça permet d'avoir une base de réglage à laquelle se référer, suivant ce dont on a besoin. A partir de ce réglage de base, tu peux éventuellement y rajouter quelques dixièmes, si l'ouvrage du moment nécessite des assemblages plus serrés.
En procédant ainsi, ça permet, sinon d'éliminer cette fastidieuse phase de recherche du bon réglage, au moins d'en réduire les tentatives d'approche.
Pour "un support se sécurité pour mes pièces jusqu'à un mètre lors de mes toupillages arrêtés", plusieurs solutions sont possibles, mais ne sont souvent pas polyvalentes, de part la variété de formes, sections, dimensions des pièces, ou d'usinages à réaliser.
Une constante est qu'il est indispensable d'avoir, pour ces toupillages arrêtés, un arrêt de sécurité en avant et/ou arrière de la pièce, ce que le montage que tu présentes n'apporte pas.
Soit il faut un système de butées solidaires de ma machine, de façon classique, solidaire des guides, mais ça peut être aussi sur une rallonge de guides rajouté, et réalisé en une bande de panneau, ou pareillement, solidaire de la table ou d'une table rapportée.
Une autre alternative consiste à réaliser un gabarit avec des butées qui prennent appui sur la machine, en entrée et en sortie, et qu'on solidarise (fermement, et pas juste avec des butées de longueur comme ton dispositif) à la pièce. Avec ce genre de butée, on fait pivoter la pièce à usiner en entrée et sortie d'usinage, en minimisant les risque de recul.
Pour tes "coupes angulaires sur la scie a format", je ne comprend pas trop ce que ton gabarit pourrait apporter. Ou bien alors, peut-être veux tu veux parler de réalisation de pentes sur la longueur de pièces de bois ?
Dans tous les cas, il vaut mieux éviter les éléments métalliques (au maximum, en tout cas), souvent onéreux, qui risquent de rentrer en contact avec les outils, d'être abimés, d'abimer les outils, etc.
Tout ça peut très bien être valablement réalisé avec des éléments en bois ou panneaux, qui ne coutent souvent rien, car réalisés avec des chutes.