Je réponds aussi tard que EstOuest et glaude ... puisque je vois que tu as posé ta question... il y a 9 mois !
Mais pour relativiser toutes les réponses très pertinentes qui t'on été faites, il faut aussi préciser qu'un tel cylindre ponceur ne s'utilise qu'à très faible vitesse. Certains conseillent des vitesse de rotation d'environs 1500 à 2000 tour/mn, suivant le diamètre et le grain utilisé... (sauf que beaucoup de toupies ne permettent, en plus faible vitesse que 3000 t/mm).
Tout ceci pour dire qu'une faible vitesse de rotation, telle qu'adaptée à un tel rouleau ponceur, limite significativement les risques, par rapport à un montage d'un "bouffe-tout" en bout d'arbre, par exemple.
glaude, les cylindres dont tu parles étaient sans doute des "FESTO" (qui est le nom d'origine de cette marque), avant que leur secteur électro-portatif ne devienne le Festool qu'on connait aujourd'hui (et que j'appelle aussi le "Apple" de l'électro-portatif ). Ils devaient d'ailleurs les faire en 2 diamètres, de mémoire... peut-être 80 et 150 (mais je ne suis plus très sûr)
Souvent difficile d'identifier des essences de bois sur quelques photos, alors que pièces en mains, en les regardant sous différents angles à la lumière, on y arriverait en quelques secondes !
Pour la première photo (qui doit être un des cotés du meuble, je suppose ?), il me semble y voir du noyer pour le cadre, et du châtaignier pour le panneau... mais ça pourrait aussi être du frêne, même si plus rarement utilisé pour du mobilier ancien.
Pour la seconde (la porte), je pencherais plus pour du merisier.
Mais sans certitude absolue !
Première réaction, effectivement (comme dit par DewhitYoussef), cela nécessiterait des traverses supplémentaires (de type 8), pour servir de support au sommier d'une part, mais aussi pour tenir l'écartement des traverses.
Autre point, qu'est-ce qui tient l'équerrage vertical et longitudinal de l'ensemble ? Hormis les deux seules traverses "1" en MDF de 150mm de haut assemblées avec les montants, je ne vois pas, et ça me semble sacrément faible. A fortiori en tenant compte du fait que les deux pans coupés de la "toiture" risquent de pousser les 2 extrémités.
Pour ce qui est de l'épaisseur des panneaux, tu peux partir sur des panneaux MDF en 19 pour les panneaux verticaux, tandis que pour la "toiture", du 10mm peut suffire.
Ben... tu sembles être suffisamment lucide pour reconnaitre être très maladroit, pas du tout manuel... Sois le tout autant pour choisir ce qui sera ta voie ou ton passe temps.
Pour ne pas prendre trop de risques, essaye toi aux travail du bois, d'abord avec quelques outils à main basiques, et puis restes toujours tout aussi lucide pour évaluer si ça vaut le coup de persister ou pas. Je ne vois pas vraiment que te dire d'autre.
Du placage (y compris du 6/10e qui est l'épaisseur la plus répandue et utilisée par les professionnels, à condition d'être correctement mis en œuvre, sur un support adéquat, bien collé, avec une colle appropriée à l'usage auquel il est destiné, ainsi qu'une pression adaptée et uniforme...etc) ne posera pas plus de problème de résistance que du massif dans une utilisation "véritable" d'un mobilier... A comprendre qu'on prend les quelques précautions normales qui vont avec.
*Je parle bien entendu ici que d'ouvrages réalisés de nos jours ou à venir, et non pas d'un mobilier ancien plaqué, qui, eu égard à certaines colles anciennes peuvent présenter certains problèmes aujourd'hui, bien sûr.
Quelque finition, vernis, vitrificateur que ce soit n'apporteront rien de plus sur 6/10e de placage que sur du massif de plusieurs (voire) dizaines de millimètre. L'usure, les rayures d'un usage "véritable" (ce qui suppose, comme déjà dit qu'on en prenne soin comme il se doit) n'auront pas plus d'impact sur l'un ou sur l'autre.
Et en cas de choc important (et accidentel, bien sûr), on aura un impact dans un cas comme dans l'autre. Et un choc encore plus fort fera un éclat dans le placage, ce qui ne sera pas moins vrai dans du massif, à la différence qu'on verra peut-être le support plutôt que du bois brut, dans le cas du placage. Mais si l'on tient à l'apparence de ses meubles, dans un cas comme dans l'autre, une réparation sera nécessaire.
Tiens ! :
mkdiamond.com/...onry/index.html
(Je ne vais pas chercher plus... c'est pas pour nous les boiseux )
Ben... la moindre des correction, c'est de demander si tu peux prendre, non ? Ça ne serait pas le plus simple ?
Sinon, un bois cassé et tombé suite à une tempête et de dimensions telles que celle que tu donnes, tu risques de ne pas en tirer grand chose.
Mieux vaut le laisser à l'entreprise d'élagage qui va le broyer. Ca ne vaut sans doute pas plus.
Concevoir des meubles sur téléphone ???
Et bien, déjà, ne serait-ce que du fait de la taille de l'écran, une conception sur téléphone ne pourra être que très limitée.
Bon, je sais bien pour les "djeuns d'aujourd'hui", plus rien ne peut se faire sans portable à la main, mais bon, des fois, faudrait arrêter de délirer et peut-être essayer de revenir aux fondamentaux. Sans conseiller de revenir aux méthodes avec lesquelles j'ai appris (planche à dessin, sur calque, au crayon ou à la pointe tubulaire. Ou à l'atelier, les épures ou plans sur règles, etc.), un crayon, une règle et du papier serait déjà une très bonne base pour dessiner quelque chose, non ?
Là, il est clair qu'il s'agit de placage. Pas contre, je dirais plutôt qu'il s'agit d'érable, et non de frêne. (Mais comme à chaque fois, il est souvent difficile d'avoir un avis définitif sur une essence de bois, à la seule vue de photos)
Ceci dit, rien ne t’empêche de les recouper pour autant (à moins que par le terme "retailler", tu penses plutôt à les recouper au niveau des joints, auquel cas, ça n'est effectivement pas le plus adapté).
Les marchands de bois... c'est comme les marchands de vaches !
Ils ont pour similarité de vendre un "produit" qui n'est pas un produit industriel, ni homogène, ni constant, ni standardisé, ni normé...
Chacun essaie donc de vendre ou d'acheter au mieux le dit produit. Ça se discute, ça se négocie, chacun essaie de s'en sortir au mieux (ou au moins mieux que l'autre). Pas de règle non plus concernant ces négociations... mais gare à celui qui ne sait pas tout ça.
Voilà.
Que chacun en retienne ce qu'il voudra, et se serve au mieux de ces quelques réflexions.
Que veux tu qu'il te soit apporté ici comme réponse utile et objective ??? (hormis les inévitable réponses de certains qui ne te donneront que leur avis en regard de leur propre activité/besoins à eux)
Une scie de chantier d'un coté, et une d'atelier de l'autre, chacune avec ses avantages et inconvénients ou limites... Ne sachant pas ce que tu veux en faire, toi seul est à même de faire un comparatif de tout ça...
C'est quoi ta première crainte ? Que le plateau se déforme, si j'ai bien compris ? Et donc, tu compterais sur le pietement pour l'en empêcher ?
D'abord, toujours avoir à l'esprit que si le bois doit travailler, il travaillera. Peut importe la structure, les renforts... S'il doit travailler, il les emportera avec.
Ça dépend aussi de l'essence du bois (que tu ne nous dis pas)
Mais il est aussi possible d'anticiper, et de faire en sorte que le bois ne veuille pas (trop) travailler justement, avec quelques précautions :
Du bois bien sec (et quand je dis "bien sec", ça n'est pas "extrêmement sec", mais à une hygrométrie adaptée au lieu où il servira), constitué d'éléments pas trop larges, dont les sens des cernes sont alternés, sans cœur, le tout bien assemblé et collé. Si tu respectes ça, pas grand chose à craindre.
Pas vraiment d'utilité aux alaises perpendiculaires en bout non plus, d'ailleurs... Et hormis si c'est à but esthétique, celle-ci t'apporteront plus de soucis que de tenue à ton plateau, dans le temps. Elle travailleront différemment du plateau principal et tu peux t'attendre à quelques désafleurs et joints craqués, très rapidement après l'avoir mise en service.
Pour ce qui est du piétement, pourquoi chercher des complications ? De bons assemblages tenons/mortaises seront bien plus solides et fiables dans le temps que tes queues d'arondes débouchantes.
Pour le chariot, il y a une partie coulissante, ainsi qu'une partie fixée sur le bâti de la machine. Sous cette partie et de chaque extrémité, il y a plusieurs boulons avec contre-écrous (normalement 2 à chaque extrémité) qui te permettent de faire monter ou déverser d'une coté ou de l'autre. Pour vérifier tout cela, il faut placer une règle bien droite perpendiculairement sur le chariot et sur la table, et aligner le tout progressivement, en agissant de chaque extrémité. Une fois le bon réglage obtenu, bloquer tout cela.
Pour le parallélisme, ces mêmes boulons sont généralement serrés dans des perçage de plus grand diamètre ou alors des trous oblongs qui permettent donc un réglage latéral.
Après avoir procédé à cette première phase, il se peut qu'il y ait aussi un problème de planéité de l'extension. Si c'est le cas, il y a aussi un système qui permet d'agir sur sa hauteur au niveau du bras de support, et donc d'en régler sur la planéité.