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289 réponses
Xxxazerty
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Beau projet, qui pour ma part et en tant que professionnel ne me poserait aucun problème 😲😂.
Si tu n'en est qu'à ton premier projet de cette taille, en tant que bricoleur (même bon) peu équipé, c'est très ambitieux ! Mais t'inquiète, je vais te donner quelques conseils quand même. A toi d'être sûr d'arriver à le réaliser !😉

Si j'avais à le faire (Je parle de la photo que tu donnes en exemple), dans les conditions qui sont les tiennes, j'imaginerais cet ensemble en 4 colonnes verticales, 2 de chaque cotés, enserrant la partie centrale constituée d'un caisson haut, d'un caisson bas et d'un dos en partie centrale (ou pas de dos, si ton mur arrière est propre).
Si tu as des problèmes d'accessibilité, pour les colonnes (appartement, étage...), tu peux aussi les diviser en deux, sur la hauteur. Tu peux les prévoir en 2 modules, dont la jonction se ferait au niveau des joints de portes ou niches. Après, je peux aussi prévoir des meubles entièrement montés sur site, si c'est nécessaire. Mais ça nécessite l'emploi de quincailleries de montage, mais surtout d'usinages très précis peu accessibles à un bricoleur.
Le tout serait posé sur un socle réalisé d'un seul tenant (ou en 2 parties assemblées, étant donnée la longueur de 4 m), préalablement mis de niveau par des pieds vérins, et positionné à l'alignement désiré.
Une plinthe de finition laquée est ensuite traînée, fixée ou collée au socle.
D'une manière similaire, des fileurs et un bandeau sont disposés sur les parties verticales et horizontales, parfaitement ajustés pour fermer le tout.

En ce qui concerne les matériaux, le socle étant de faible hauteur, je le ferais en contreplaqué. Pour les caissons, du mélaminé tout comme du panneau replaqué de l'essence que tu voudras, en épaisseur 19 mm, peuvent tout à fait convenir. Pour les dos, tu pourras sans doute trouver des panneaux des mêmes finitions en épaisseurs plus faibles. Ces dos peuvent être en rainure, ou encore vissés ou même pointé à l'arrière des caissons. Et du MDF 19 mm pour les portes, puisque tu souhaites une finition laquée (ou apparentée).

Pour faire tout ça, et étant donné le peu d'outillage dont tu disposes, il faut établir un plan détaillé. Puis en tirer une fiche de débit précise et exhaustive.
Ensuite, tu peux peut-être demander des prix à différents négociants en panneaux. Ils peuvent en faire les débits de façon très précise, te plaquer les chants qui seront bien sûr précisés sur tes fiches de débit, et pour certains, te réaliser des usinages (perçages de quincailleries, pour des taquets d'étagères, pour les charnières sur les portes, et autres...). Mais il te faudra pour ça établir des fiches de débit très précises, sans oubli et sans erreur. Mais de la sorte, la tâche te serait facilitée, et garantirait un résultat correct et précis. Tu peux aussi demander à une entreprise d'agencement de te faire les débits et usinage. Dans la mienne, il nous arrive d'avoir de telles demandes (et d'y répondre) de la part d'artisans pas suffisamment équipés, et parfois de la part de particuliers.
Il ne te resterait qu'à assembler le tout... et aussi à réaliser la finition des portes et plinthe/fileurs.
Là encore, et pour un vrai laquage, il faut être un minimum équipé (compresseur, pistolet de qualité... et encore mieux, une cabine d'application qui garantisse un résultat sans poussière). Ceci dit, tu peux aussi obtenir un résultat très satisfaisant avec des peintures du commerce, et un minimum de savoir faire en le domaine, sans trop de problème. Ça ne sera pas d'une résistance similaire à une vraie laque, et la palette de finition sera plus limitée... mais avantage de l’inconvénient, une éventuelle reprise sera aussi plus facile, sans trop de différence.

Autre possibilité, tu peux te passer des usinages auprès de ton négociant (ou si celui-ci n'est pas équipé pour le faire), mais dans ce cas, je te conseillerais de t'équiper d'une lamello et de quelques serre joints pour procéder aux assemblages des caissons. Avec ta défonceuse, tu peux réaliser des rainures pour encastrer des crémaillères alu, par exemple.

Pour ce qui concerne ton charpentier, je ne doute pas qu'il soit sympa 🙂, mais cette corporation (que je respecte, ça n'est pas le problème), n'est souvent pas la mieux équipée pour une telle réalisation qui nécessite des débits et usinages d'une grande précision, et de travailler dans la propreté pour ne pas altérer des panneaux aux surface finies. Pour du travail de bois massif, il a peut-être un équipement plus adéquat, mais pour le projet que tu montres en exemple, pour ma part je n'en utiliserais pas. Pour le socle ou les fixations de fileurs, je privilégie le contreplaqué, et je réserve le bois massif pour ce qui le mérite (ou le nécessite) vraiment.

Je rajoute ci-dessous une image des différents modules, tel que je le ferais pour l'exemple que tu présentes. A adapter à ton projet réel, bien sur.
En noir, les limites des modules version toute hauteur. Si tu as des soucis d'accès, tu peux encore séparer les colonnes en deux comme le montrent les traits en orange.

Voilà, voilà, et bon courage à toi !😉

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par Olivier80 il y a 3 ans
Xxxazerty

J'imagine que ton but est de coller des pièces teintées dans la masse, de différentes couleurs, puis de les tourner ensuite.

J'ai connu un collègue menuisier ébéniste, qui à une époque avait fait des essais de teinte de bois massif à cœur, au moyen d'une cuve autoclave. Il y plaçait ses pièces plongées dans des litres de teintes, et mettait le tout sous haute pression, une fois hermétiquement fermé. Pas concluant du tout, car la teinte ne pénétrait que très partiellement, et que dans les couches superficielles des pièces. Et ceci, même avec des sections relativement faibles, et sur différentes essences.
Par contre, ce principe d'imprégnation à cœur fonctionnait bien mieux dans du placage... sauf que le problème était ensuite de sécher les feuilles de placages, sans qu'elles ne se déforment.

Je sais que des fabricants utilisent ce principe, pour du placage aujourd'hui. Mais avec un équipement industriel qui n'est pas à la portée de tous.
Pour du massif, sans doute que des essais ont été tentés aussi par des industriels, mais aucun produit n'en est jamais sorti, à ma connaissance.

Par contre, il m'est arrivé d'utiliser des bois reconstitués (à partir de feuilles de placage tentées, puis collées entre elles pour former une sorte de lamellé/collé), teintés de différentes couleur. Mais ça reste un produit standard (donc limité en choix de teinte), réalisé par des industriels, et qui n'a pas l'apparence d'un vrai bois massif teinté après coup.

Xxxazerty
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Ton escalier sera t-il constitué d'une même essence, pour ce qui concerne les limons et les marches ?
Peux tu t'assurer d'avoir ces bois à un même taux d'hygrométrie ? (ou en tout cas, suffisamment sec et d'une hygrométrie relativement proche)

Si les réponses sont oui dans les deux cas, ne te prends pas la tête pour rien !
Si tu veux le garder démontable, ta solution de rainures et de vissage en bouts de marches est parfait pour ça, et ne présente absolument aucun risque !
En effet, si tes marches se rétractaient, ce retrait resterait très limité, et les vis seraient capables d'absorber cet éventuel retrait (en se déformant elles même, ou en forçant légèrement dans le bois... Le bois permettant ce genre de déformation, le bois n'étant pas du métal !).
De plus, si un tel retrait en largeur se produisait sur les marches... un même retrait affecterait exactement dans le même sens et dans les mêmes proportions les limons !

Donc oublie les solutions capillotractées de tiges filetées, moches, bien plus compliquées à mettre en œuvre que les simples vissage, ou autres solutions de quincailleries délirantes vues plus haut dans d'autres commentaires, et vas-y, fonce !

Pour ma part, dans un même cas et avec les mêmes contraintes, je choisirais d'y mettre des vis à têtes larges, puisqu'elles resteront apparentes. De type "vis de penture" en 6X80, par exemple. Pour la finition, ça existe en noir ou en "zingué blanc".
Tu as aussi la solution de vis avec insert cylindrique, vue plus haut, mais qui à mon avis n'apporterait pas beaucoup plus qu'une solution de simple vissage par le bout. D'une part, le nombre de vis important, puisque présentes sur chaque marche, ne laisse aucune crainte quant-au risque d'arrachement (à moins d'y accrocher un bulldozer pour tenter de l'arracher 😲😂), et comme tu expliquais que les marches seraient aussi visibles du dessous, car posé sur un plan de travail, cela ferait une quincaillerie de plus d'apparente.

  • Par contre, j’émettrais tout de même une réserve sur tes épaisseurs de bois. 23mm, pour une marche droite ne me poserait pas de souci... Mais pour une marche de type "pas japonnais" et donc réduite à 100mm de large dans sa partie la plus étroite, je crains que ça ne soit un peu flexible et fragile. Pareil pour le limon qui aux endroits entaillés ne ferait plus que 13mm (si j'ai bien compris l'une de tes réponses sur ce point) !!!

  • Autre conseil: ne fais pas des angles trop prononcés, dans tes découpes de marches (au moins pour ce qui concerne les angles rentrants). Sur des marches qui auront à supporter le poids d'une personne (voire de gamins qui s'amusent à sauter, Il faut toujours imaginer le pire), un angle de découpe trop prononcé peut être une zone d'amorce de rupture ou de fente. Avec un angle plus arrondi, la zone critique est mieux répartie sur la profondeur de la découpe, et il y aura ainsi moins de risque. Voir exemple en photo ci dessous.

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Xxxazerty
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Hmmm, il semble y avoir plusieurs essences.
Certaines photos montrent un bois exotique. Peut-être Sipo ou Bossé.
D'autres pièces font penser à du noyer, d'autres a du châtaigner...
Pour la dernière photo, présentant des mailles fines et régulière, il doit s'agir, sans peu de doute, de platane.
Toujours difficile d'identifier avec précision a partir de photos, une ou des essences de bois, sur des ouvrages teintés, et qui ont vécu, qui plus est.
Mais cet escalier semble en tout cas, constitué de plusieurs bois différents.

Edit : J'avais regardé et répondu à cette question sur mon téléphone. Mais revoyant maintenant les photos sur ordi, l'orme pourrait être une autre possibilité, au moins concernant la dernière photo. Étonnant patchwork que cet escalier !

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Xxxazerty

Ça marchait parfaitement, avec les fers d'origine ?
Dans ce cas, et si tu n'as pas touché aux réglages des tables, ne cherches pas plus loin, ce sont très régleurs de fers, qui ne sont pas en correspondance avec ce qu'il faudrait pour ta machine, et qui permettent une sortie des fers trop importante par rapport au porte outil. D'autant que le symptôme que tu décris confirme cette hypothèse. (Décrochage sur environ 30mm, puis une seconde passe le fera sur 60, une troisième sur 90... 30mm étant approximativement la distance entre le point haut de ton arbre, et l'arrête de sortie de la table d'entrée).
Mais il semble, et comme beaucoup de machine, que tu aies une poignée de réglage de la table de sortie, sur ta machine. Si tu es au maximum, peut-être est-ce les régleurs... qu'il faut régler.
Je ne connais pas ce modèle de chez Elbé, mais beaucoup ont une vis de réglage, qu'on ne touche habituellement pas (normalement, on le règle une fois, et ensuite on y touche plus), vis souvent en laiton, pour ne pas abimer les fers, au contact de ceux ci. Les Elbé ne semblent pas en avoir, contrairement à ceux là, par exemple : manomano.fr/p/...olzmann-2340675

par lamalleencoin il y a 4 ans
Xxxazerty
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Bel objet technologique, et assez impressionnant, on ne peut que le reconnaitre. (Pour l'avoir vu en démonstration)
Ça reste tout de même d'un rapport intérêt/coût assez limité pour beaucoup d'applications. Mais surement que pour certaines autres, du genre gravure par exemple, répétitive ou variées, sur des surfaces pas trop importante, ça peut être intéressant.
Ne pas négliger qu'il faut en outre disposer et avoir une certaine maitrise de logiciels de dessin, pour l'utiliser.
A ne pas oublier non plus, cette machine ne fonctionne pas de manière autonome (comme peut le faire une défonceuse à CN ou un centre d'usinage. Et ne permet donc pas de faire autre chose pendant que la machine travaille). Elle nécessite de la préparation, appliquer les bandes de repérage, puis les scanner, puis guider (ou tout au moins accompagner) l'appareil, durant toute la phase d'usinage.
Mais c'est incontestablement une machine impressionnante !

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Xxxazerty

Ah les tourments et désillusions de l'équilibrage et du contre-balancement ! Qui n'ont manifestement pas été prises en compte ici, lors de la réalisation.
Il eut bien évidemment été nécessaire de contre-balancer, par le même bois (ou au moins un bois d'une densité équivalente), même épaisseur, et même finition. Ceci dit, on s'est tout fait avoir un jour ou l'autre.... mais de telles expériences aidant, on s'en préserve au mieux.
En l'état, peu de solution de ce que j'ai vu de proposé qui permettrait de ramener cette porte, non seulement à une rectitude parfaite, mais aussi à la stabilité dans le temps de cette rectitude.
La solution la moins risquée, à mon avis, et au stade où en est cette porte (hormis refaire complètement la porte avec des matériaux stabilisés avant réalisation et collage du complexe, et fait dans les règles respectant cette exigence de parfait équilibrage, bien sûr), l'utilisation de tendeurs encastrés en contre-face, par exemple de ce genre
Avec ce genre de tendeurs, au moins in restera possible de rattraper les futures éventuelles déformations dans un sens ou dans l'autre.

Xxxazerty

Tu as trouvé quoi, comme affûteuse chez ton voisin agriculteur ???
L'affûtage, à fortiori sur un arbre qui tourne à haute vitesse comme celui d'une dégau rabot, et qui nécessite d'être parfaitement équilibré, c'est quelque chose de sérieux ! Fais affuter tes fers chez un affuteur professionnel et qui lui, sait ce qu'il fait. Faut arrêter de "jouer", (dans tous les sens du terme) avec ce genre de choses. Trop dangereux, j'ai encore entendu parler d'un accident, il y a peu, avec ce genre de conneries !

par Noe il y a 3 ans
Xxxazerty
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Il est clair que celui (ceux) qui a réalisé cet escalier de la sorte prenait de gros risques, pour sa pérennité ! On me répondra que le client (ou décorateur, archi...) l'imposait peut-être. Dans ce cas, celui qui l'a réalisé n'a pas su le mettre suffisamment en garde*. Mais avec un tel mode d'assemblage (pourtant valable, mais dans d'autres configurations) allié à une telle portée et tenant compte du fait que les assemblages ne pouvaient que prendre du jeu dans le temps, c'était couru d'avance.

  • Pour ma part, il m'est arrivé de rédiger et de proposer de signer une lettre de décharge de responsabilité, à ceux qui imposaient des cas trop risqués et hors des règles. Souvent, ça faisait réfléchir, et revoir le projet pour revenir un peu plus dans les règles. Quelques uns ont tout de même signé. Un seul de ces derniers est revenu se plaindre, au sujet d'une grande table avec des pieds tels qu'ils ne garantissaient pas la stabilité de la table ! On avait répondu en y ajoutant des renforts... Facturés, bien évidemment ! 😜

Pour ce qui est des solutions possibles, et au vu des photos, rajouter différentes pattes de reprise sur la ferronnerie ne me semble pas suffisant, et viendrait trop "encombrer" et donc gâcher l'esthétique. (je pense qu'il en faudrait trop, trop grandes ou longues).
Un système de vissage ou de tiges filetées noyées au niveau des assemblages marches/contre-marches, nécessiterait d'en mettre un bon nombre, donc induirait une quantité importante de bouchons, et ne rattraperait plus les jeux déjà pris par les assemblages, aujourd'hui.

Sinon, pour récupérer tout ça au mieux, la solution du fer plat, ou tôle d'acier découpée et vissée proprement et régulièrement en bout que propose Bonbonverobi peut être une solution intéressante et sans trop d'impact esthétique.
Un limon central en chêne (ou alors en métal de la même couleur que la ferronnerie) vissé par dessous avec un système de cache pour les vissages, est aussi une solution envisageable.

Pour terminer, peut-être mettre un étai en bois provisoire sous l'escalier, histoire de rassurer et de sécuriser le propriétaire, le temps de trouver et monter une solution définitive, ne paraitrait pas superflu.

Mis à jour
par nicodu29 il y a 3 ans
Xxxazerty

Sans aucun à priori, c'est de l'orme !
(Pour une fois que les photos permettent une identification sans le moindre doute, c'est assez rare pour etre signalé ! 😉 )

Xxxazerty
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Pour de la chaiserie, Les assemblages ne peuvent être qu'à tenon/mortaise, et bien serrés dans le sens de l'épaisseur (Mais pas trop, pour ne pas risquer de faire fendre le montant), et très serré, pour ce qui est de la longueur ( en parlant de la longueur, si l'on regarde la mortaise). Bien evidemment, cela suppose des tenons avec epaulement, pour pouvoir etre serré sur la longueur. Le tout doit être monté "à force" (surtout pas d'assemblage qu' on emboîte et déboite à la main !), idealement,au moyen de serre-joints dormants. Et bien sûr collé. C'est ainsi que des assemblages réalisés de la sorte assureront l'equerrage et la tenue dans le temps de la chaise. Tout autre type d'assemblage est tout simplement à proscrire !!!
À plus forte raison les dominos qui sont des doubles assemblages, qui ont donc deux fois plus de risque de prendre du jeu!
Une chaise est en effet soumise à de très fortes contraintes, sans même parler de se balancer dessus.

Mis à jour
Xxxazerty

Ah ben tiens... Je viens de voir ça ce soir. C'est un youtubeur qui propose une vidéo (à voir depuis le début, si vous le souhaitez, donc) toute une procédure pour bien régler une dégauchisseuse. C'est pas exactement comme ça que je m'y serais pris, mais c'est tout de même une bonne méthode, d'autant plus qu'elle est adaptée aux combinées qu'on souvent les amateurs ici.

A propos des talonnages à la dégau ou raboteuse, voila ce qu'il en dit. Une fois bien réglées, il n'y a plus de problème.
youtu.be/uZG6XD5IK_w?t=1276 (cliquez sur le lien, et ça vous mènera directement au moment "pause café" où il parle de ce sujet du talonnage)

Xxxazerty
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Jamais vu non plus. Je suppose également que c'est dans un but d'éviter le glissement entre les lames, et ainsi permettre un semblant de maintient de l'equerrage... D'autant plus qu'il n'y a pas d'echarpe.
Sinon, une question : il y a un assemblage entre les lames ? De type rainure et languette ? Ou alors celui qui a fabriqué cette porte aurait là aussi trouvé un truc original à faire ? 😂

Mis à jour
Xxxazerty

"porte palière" (qui est une porte intérieure, généralement donnant accès à un appartement à partir d'un palier)...
Ou alors porte d'entrée, donnant sur l'extérieur, et qui expliquerait tes exigences en matière d'isolation ?

Xxxazerty

Pas beaucoup de réponses à ta question... mais peut-être n'est-elle pas suffisamment explicite et claire.
J'ai beau la lire et la relire, ce que je comprends... c'est qu'il te manque la table d'entrée de ta dégau ainsi que les pièces qui la supportent 🤔
Si c'est bien le cas, ça ne va pas être simple...
Si ça n'est pas de ça que tu parles, peut-être qu'avec une ou des photos, il sera plus facile de te répondre?