Et bien je dirais que tu as "quelques" heures de travail de ponçage en perspective !
Plus sérieusement, tout ça est déjà posé, ou pas ?
Avant pose, tu peux te soulager de pas mal de travail, sinon en trouvant une entreprise qui dispose d'une ponceuse large bande, au moins en ponçant à plat avant que ça soit monté et donc à une hauteur de travail confortable, ou encore faisant en sorte que tout soit raboté le plus finement possible.
Une fois posé, par contre, reste la solution de location d'une ponceuse à parquet comme proposé par Maillien Michael. Et pour les autres ouvrages, un mix ponceuse à bande pour le plus gros, puis orbitale pour les finitions.
Mais si tu veux t'attaquer à tout ça à la seule orbitale, comme ta question le laisse supposer, il faudra aussi "t'équiper" de pas mal de patience et de courage.
Sur le principe, assez en accord avec l'esprit du texte, à quelques détails près, etc...
Mais tout de même étonné de n'y trouver nulle part mention de qui, de quel(s) organisme(s) est(sont) à l'initiative de cette pétition (Comme de beaucoup de pétition pour tout et pour rien dont certains site se sont fait spécialistes aujourd'hui, d'ailleurs), ou de n'y trouver la moindre mention légale.
Bref, assez surprenant, comme pétition, qui n'incite pas d'emblée à la confiance.
Concernant le système dit à "clefs passantes", c'est un procédé d'assemblage, mais en aucun cas de serrage.
Il est utilisé (encore parfois de nos jours) pour maintenir les différentes pièces entre elles, dans le cas d'un panneau de porte, par exemple, mais n'apportera pas de solution de serrage, dans le cas d'un plateau collé... Ou alors, il faudrait te servir de ces mortaises pour y passer un système de tiges filetées, de rondelles et écrous, au moment du serrage/collage. Et seulement ensuite et après avoir tout retiré, y monter ces clefs à la place. C'est une solution possible.
Tu peux sinon te fabriquer des dormants en bois, soit entièrement par toi même système de serrage avec tiges filetées compris, ou alors en achetant juste des têtes de serrage qui se montent sur des traverses de bois de ta fourniture, puisque tu souhaites fabriquer un maximum de choses à la main.
A ne pas négliger, tout de même, que des bois de forte section nécessitent un serrage à l'avenant, mais la solution la plus simple et la plus économique reste les "étreignoirs" à coins de dneis.
Pas de nécessité technique d'avoir des pièces parfaitement parallèles, c'est un choix esthétique, et ça n'est que le tient. Cela dépend aussi de la longueur de ton plateau. Un faux parallèle de quelques % passera mieux plus le plateau sera long, il ne faut bien sûr pas passer du simple au double d'un bout à l'autre.
Ensuite, si les pièces sont bien établies et appareillées (dans la mesure du possible, bien sûr), les joints peuvent être discrets.
Quant-à :
comme je ne possède pas de scie a format pour établir la quatrième face de ma planche....Est ce que je vais devoir calibrer ma raboteuse pour chaque planche....en + ça me paraît impossible d établir une 4 ème face ds une raboteuse si la pièce n à pas une largeur à peu près parrallele...?
... Ta question est un peu fouillie, je confirme , mais je suppose que tu parles de dégauchir le 4ème chant, puisque du fait du faux parallèle, tu ne pourras pas le raboter ?
Je viens de te donner la réponse, dans ma question :
Pour les faces (donc dans le sens de l'épaisseur), tu peux dégauchir puis raboter normalement.
Pour les chants, tu les passes tous les deux à la dégau.
Et pour info, dans notre métier quand on parle "d'établir", on parle de prévoir la dispositions des différentes pièces dans un ouvrage, après avoir corroyé et avant de passer au traçage (si nécessaire) et aux étapes suivantes.
Pour ce faire, on choisi les meilleures faces pour la meilleure disposition possible, on élimine ou on cache les éventuels défauts, et on identifie le tout à l'aide de signes d'établissements.
Mais "établir" ne signifie en aucun cas de déligner, dresser ou dégauchir une face. Voilà !
Une forme de "banane" ?
Mais cela ne viendrait-il tout simplement pas d'un mauvais réglage de la hauteur des fers, par rapport à la table de sortie ? L'as tu vérifié ?
Un mauvais réglage de cet ordre peut aussi causer des irrégularités de dégauchissage ou formes indésirables. C'est d'ailleurs souvent la première cause de soucis, sur la dégau, et c'est donc la première chose à vérifier.
Si tu as passé catte première étape de contrôle, là effectivement il faut vérifier la géométrie des tables.
Pour les éventuels réglages, ce genre de machines anciennes étaient parfois équipées d'un système par excentrique, en bout des arbres qui forment les parallélogrammes déformable qui permettent la montée et descentes des tables. (Ceci était valable pour les dégauchisseuse seule, et pas sur les raboteuse dégauchisseuse, qui sont elles montées sur un système de glissières permettant d'un coté, l'ouverture des tables).
Les rondelles qu'on aperçoit sous la table ne semblent pas être d'origine. Ce "bricolage" est-il judicieux et adapté ?
Habituellement, un réglage par calage en mécanique se fait avec de "l'acier clinquant", vendu sous forme de feuilles ou de rouleaux d'épaisseurs calibrées. Ainsi, on découpe et on rajoute suivant besoin, 10ème de millimètre par 10ème.
Avec un inciseur trapezoidal qui est le plus courant (Pour moi, en tout cas, contrairement à ce que dit Bonbonveronbi. J'ai vu ou eu l'occasion d'utiliser beaucoup de machines, scies à format ou centres de sciage avec ce type d'inciseur, mais jamais d'extensible, même si je sais que ça existe), il faut qu'il soit parfaitement centré sur la lame principale, puis ensuite réglé en hauteur jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'éclats.
Pour ce faire et en ce qui me concerne, je procède par essais successifs avec une chute de méla. Je fais des amorces de coupes, puis je vérifie le centrage, ainsi que la hauteur de l'inciseur, et rectifie progressivement le réglage suivant besoin.
/!\ ATTENTION à bien utiliser le protecteur prévu pour l'inciseur, ou alors ne pas hésiter à en fabriquer et rajouter un, s'il n'y en pas !!!
En effet, quand on se sert habituellement de la scie à format sans inciseur, on se fait très facilement piéger par ce dernier (qu'on ne voit pas) lorsqu'il est en fonction.
Tant que ça n'est qu'un panneau qui est mort, passe encore... mais attention aux doigts /!\ .
J'avoue avoir un peu peur de ce matériel... Mais bon, ce n'est pas le sujet.
Sauf que sans doute que si, c'est bien le sujet.
Utiliser une vitesse de rotation adaptée et une fraise de bonne qualité, d'abord. D'autres l'ont expliqué dans leurs commentaires, plus haut.
Adopter une vitesse d'avance suffisante, constante, et sans s'arrêter aussi.
Et c'est sans doute là que la peur, ou ton peu d'habitude de cette machine intervient, car tu dois y aller très lentement, une vitesse d'avance que tu juges prudente sans doute, mais trop lente et qui favorise les échauffements de la fraise et du bois.
Et quand les échauffement commencent, ça désaffûte ta fraise, on ne peut plus aller si vite, ça désaffûte et ça chauffe encore plus, on va encore moins vite. C'est le cercle vicieux, et c'est exponentiel.
C'est un meuble pour un usage professionnel ? Du mobilier de cuisine de restaurant, ou crêperie ?
En bons bretons, chez nous, nous avons quasiment tous une "Krampouz" a la maison, qui sert tres souvent, et ça ne pose pas de problème de chauffe particulier.
Maintenant, si c'est pour du mobilier professionnel, pas de bois ou dérivé dans les cuisines. Plan de travail inox, sur structure également inox. Pour de l'isolation thermique et protection contre les risques d'incendie : "Supalux" ou panneau fibre minérale équivalent.
Si vraiment tu n'as pas d'autre solution que d'avoir un meuble classique dessous, et que c'est vraiment si chaud (et si c'est pour toi ou un particulier), tu peux réaliser ton dessus en inox, et laisser une lame avec circulation d'air, entre l'inox et le panneau.
C'était quoi la technique que tu imaginais ?
Sinon, avec ce type de quincaillerie, ça peut peut-être répondre à ton problème : qama.fr/garnit...e-roll-22-p1456
L’ébène (encore que sous cette appellation, il y a plusieurs variétés) est un bois très dur (dans les plus durs, même), très désaffûtant, oui.
Alors partir avec une lame de scie à ruban qui ne soit pas bien affûtée n'est pas le meilleur gage de réussite, même si la scie à ruban permet un trait de coupe plus fin donc avec moins de perte.
Essayer avec une lame fraiche d'affût et correctement avoyée, d'abord.
Sinon, à la circulaire (selon ce dont tu disposes) avec une lame carbure.
Tout dépend de ton activité (amateur ou pro), des volumes que tu souhaiterais poncer, de ton équipement actuel...
Une ponceuse à bande portative (ou tank), fixée à chant sur une table et avec un panneau intercalaire, permet de poncer des petits rayons concaves. Celà peut permettre aussi de faire du poncage droit, en se servant de la semelle et avec des guides... Et en prime, cette ponceuse te permettra bien d'autres travaux, dans sa configuration portative.
Le rouleau ponceur, sur une toupie... Mais il faut en avoir une, bien sûr. Mais si tu envisages d'évoluer dans ton équipement, ça peut être l'occasion, la toupie permettant bien d'autres usinages également.
Une toupie qui permette une vitesse adaptée au poncage, bien évidemment !
Hormis les deux côtes de 16 mm, dont on ne sait trop où elles se situent exactement, ton crocquis est très sommaire et ne nous en dit pas beaucoup. Ouverture vers le haut, sinon dis tu.
Dans ce cas, peut-être une charnière à piano, pour peu que la feuillure soit suffisamment large et laisse assez de matière pour le vissage.
Quel esy le meilleur assemblage pour du bois ? le MEILLEUR, demandes tu...
Pour répondre de la façon la plus pragmatique à ta question, le meilleur assemblage bois est incontestablement le tenon/mortaise (et bien réalisé, bien sûr), cela pour des assemblages de piétements de table ou de cadres de meubles massifs.
Après, si les sections sont adaptées et suffisantes, si la conception de l'ouvrage le permet, si tes moyens ne te permettent pas mieux, on peut aussi utiliser des lamellos ou des dominos, même si ça ne vaudra pas un assemblage traditionnel pour du massif.
Rien.
Ton établi est un outil de travail, le principal, même. C'est ce que tu produiras dessus qui devra être beau, d'une parfaite finition. Un établi, ce seront les traces de son (futur) vécu qui le rendront beau.
De plus, quelque produit rapporté sur sa surface risque de poser des problèmes: le rendre glissant, ou encore provoquer des réactions indésirables en cas de contact avec d'autres produits qu'il t'arrivera d'utiliser, suivant ce que tu feras dessus.