Je parle peut-être en "sachant", mais mon expérience fait aussi que j'essaie surtout d'être rationnel et pragmatique... Et malgré mes années de métiers, je respecte totalement les amateurs. En l’occurrence ici, en ne lui donnant pas ce qui aurait été mon choix perso, évitant de le diriger vers un mauvais pour lui, pour sa pratique ou besoins, peut-être futurs projets aussi, que je ne peux pas connaître.
Il faut procéder au réglage du chariot en premier lieu. L'extension avec son bras (celui en jaune zébré noir) viendront une fois cette première phase réalisée. Tu peux même carrément enlever l'extension, au besoin.
D'après la photo avec la règle posée sur les tables, il semble qu'il faille d'abord descendre le coté extérieur du chariot, de manière à réduire le creux formé au milieu de la règle. Ensuite, il faudra sans doute affiner le reste.
Pour les réglages, c'est sur les vis "1" (sur ma photo annotée ci dessous) qu'il faut agir.
Si tu n'as plus assez de course avec ces vis, une possibilité serait d'ajouter une cale métallique entre les équerres de fixation et le support fixe en alu (voir repère "2"). Dans cette option, il faut rajouter 4 cales d'épaisseur identique aux 4 points d'appui, bien sûr !
Tu parlais du parallélisme du chariot par rapport à la table principale. Pour le régler, c'est au niveau de la fixation centrale sous le profil alu, ou alors au niveau des 2 boulons de l'équerre que ça se passe. (repère "3"). L'une de ces fixations présente sans doute un jeu de réglage.
Clairement, en diamètre 216, une lame 60 dents n'est pas le meilleur choix ni le plus polyvalent. En un tel diamètre, 48 (ou 44) dents est bien suffisant. Par contre, une lame à angle négatif est à conseiller pour "des coupes nettes et sans bavures".
Pour ce qui est des lames Festool... clairement peu de vendeurs nous les proposent à nous, professionnels. Je préfère payer une lame de qualité correcte à un prix correct... qu'une marque ! Et en cas de mauvaise rencontre de la lame avec une pointe/vis... on a moins de regrets !
Concernant les marques, Jean Galmot en a cité un certain nombre, même s'il en existe bien d'autres. Pour l'endroit où les acheter, je plussoie également et déconseille les lames en GSB ou Mano-Mano, généralement bas de gamme... ou alors très chères genre Festool.
Oups... désolé rapabois; je répondais surtout à Dywoo, j'ai posté au mauvais endroit... Même si la réponse peut t'intéresser aussi
Pour ce qui est des lames "multicut", c'est toujours une histoire de compromis. Ou on prend un truc qui soi-disant sait tout faire, mais n'est parfait nulle part, ou on prend une lame adaptée pour un type de travail précis, et qui dans cette utilisation sera parfaite.
+1 pour l'idée de fausse table !
Pour ce qui est de "tuer" le lamello... combien de fois j'ai vu des anciens jouer à ce type de conneries pour en réduire l'épaisseur... Ce que ça pouvait m'énerver ! 
Et combien j'en ai engueulé 
* (Tout ça pour les mêmes raisons que tu dis : Fraise qui du fait des affûtages perd en épaisseur, ou lamello qui ont pris l'humidité, etc.)
La solution est pourtant simple, pour compenser une fraise qui a diminué en épaisseur. Il suffit de la monter en oscillante!!! 2 morceaux de scotch (ou 2 fois 2, ou 2 fois 3), placés de façon diamétralement opposés, ainsi que sur les faces opposées de la fraise... et le mouvement d'oscillation fait qu'on en augmente l'épaisseur de quelques dixièmes !
- Maintenant que je suis moi même "ancien"... ce sont les jeunes que j'engueule !
Bah, aucun problème pour visser dans un médium de 19mm. Il faut juste ne pas rentrer la vis comme un bourrin. Éventuellement, tu peux renforcer la fixation par du double face ou de la colle mastic PU.
Il existe aussi différents inserts, mais dans du MDF, ça n'apporte pas grand chose de mieux.
Sinon, une proposition de solution simple : Tu peux marquer l'emplacement de tes vis (juste piquer la vis). Tu retire ta façade. Tu perces aux endroits marqué à 8mm... et avec une butée pour ne pas traverser, bien évidemment. Tu y colles un tourillon, puis tu affleures proprement le tout.
Pour le laquage, aucun souci... mais avec des méthodes, matériel et produits de professionnels, pour laquer ce genre de prise de main. Mais pour un bricoleur, c'est un peu moins accessible. Je ne sais pas quels sont tes capacités, moyens technique (et financiers) pour au besoin t'aquiper puis faire ce type de finition. A voir aussi si le jeu en vaut la chandelle, car tu n'auras peut-être pas besoin d'un tel équipement très souvent...
Sinon, essayer de trouver un agenceur équipé d'un atelier finition qui pourrait te le faire ?
Oh put... 
NON !
- 1) Il s'agit de fraises avec des pastilles carbure brasées. Impossible à affûter ni à la main ni avec quelque meule que tu puisses avoir, malheureux !
- Même des outils HSS (acier rapide), jamais d'affutage maison sur un outil de toupie. Un tel affûtage requiert de la précision pour préserver l'équilibrage, ne pas chauffer la coupe ce qui risquerait de la détremper, respecter les angles...
Ça semble être une fabrication artisanale. L'idée de la coupe fauchante n'est pas idiote... mais effectivement le fer (qu'on croit voir seulement maintenu par 2 vis ???) doit avoir tendance à se décaler, voire s'incliner, à l'usage.
En faire un coupe saucisson devrait permettre de lui trouver un usage plus en rapport avec ses capacités ! 
Ah ben, avoir des pièces toutes rabotées à la même cote est un préalable évident, bien évidemment. Tellement évident que je n'ai même pas jugé utile de le préciser, Etienne ! 
Bah, pour ce qui est de ne pas pousser, le MDF, c'est tout de même un peu plus que de la "poudre agglomérée" ! Et même si ça a moins de solidité que du massif ou du CP, c'est pas non plus de la choucroute, hein.
Autre argument, pour le type d'aspect uniformément blanc que semble rechercher Ducknown, c'est le matériau idéal.
Pour des longueurs d'étagères plus importantes, c'est vrai qu'un poids important peut faire fléchir des étagères... quel que soit le matériau, d'ailleurs. Ici, les casiers ne laissent qu'une portée minime à ces étagères. A fortiori, il y a sur le modèle dont il souhaite s'inspirer un dos, sur lequel peut donc se reporter une partie du poids.
A moins d'y mettre des lingots, peu de risque que ça fléchisse, donc.
Fof Tous les matériaux ont leurs intérêts propres, qualités, défauts... et ont des applications optimales respectives. Après, chacun peut préférer travailler l'un ou l'autre, mais la "haine" n'est jamais le meilleur des critères techniques pour faire le choix du matériau le plus adapté 
Tu hais le bois aussi, alors Folgansky ???
Oui, parce que les poussières de bois... de TOUS les bois sont classées comme cancérogène du groupe I (cancérogène avéré pour l'homme), pour info.
Concernant l'achat, c'est bien à cause des normes que s'imposent ou respectent les grossistes, que je les conseillais plutôt que les GSB. Les faibles émissions de COV, les normes NF E1, ça fait bien longtemps qu'elles font partie de leurs exigences, chartes ou normes
Dans mon atelier de bricoleur, (même si je suis professionnel, par ailleurs), il me reste toujours du ELU (mais je n'ai plus de EUGEN LUTZ 
), du FESTO aussi (oui, oui, j'ai bien écrit FESTO ! ), et même quelques autres machines d'usage peu fréquent de marques dites "premiers prix"...
*(Ne comprendront que les plus anciens professionnels ! )
Son "coût horaire de main d’œuvre" ? pour un bricoleur ?!?!? 
Tout l'intérêt de faire par soi même est justement de n'avoir aucun coût, au moins sur ce plan là !
Bah, je ne pense pas que les avis soient si divergents que ça. Chacun répond en fonction de ses expériences, de ses moyens, équipement, habitudes, etc. Mais personne ne te dis que c'est impossible. Même si sylvainlefrancomtois te répond en commerçant prudent (un aspect que ne doit pas négliger tout artisan ou chef d'entreprise. Qui quelle que soit sa spécialité, doit d'abord vendre ce qu'il produit... Mais il doit aussi en assurer le SAV, au besoin, et par voie de conséquence, les coûts induits). Mais si on peut préférer éviter certains risques si c'est pour des clients, il est moins risqué de les prendre pour soi même, d'autant plus que si des désordre apparaissaient, il serait plus aisé d'y remédier, moins couteux, et sans conséquence pour son entreprise.
D'autre part, plusieurs t'apportent différentes options de solutions, des conseils ou solutions possible, ou encore t'indiquent certaines erreurs à ne pas commettre.
Il n'a pas dit "polir", Etienne... Mais "comme neuve" (ce qui parait difficile aussi )
Par contre du grain 100 me parait un peu trop agressif. Il m'est arrivé de nettoyer des tables (fonte) avec de l'abrasif 180 ou plus, sur une cale de bois bien plane (surtout pas de mousse, liège ou autre matériaux souple sur la cale dans le cas présent), et en mouillant avec de l'essence ou du dégrippant.
Mais pour le reste tout-à fait d'accord.
Et + 1000 pour la bonne vielle paraffine 
Ah pardon... Je n'avais pas vu qu'il avait répondu ça à un autre commentaire (Bon, polir ou "polire", hormis la faute, c'est bien la même chose, à mon avis). Enfin, depuis 40 ans que je bosse dans le bois, j'ai encore jamais vu personne polir ses tables de machines !
Je vais rester poli aussi en te souhaitant une bonne soirée !
Très bonne solution, et sûrement la plus simple ! D'autant plus que sur le plan, l'angle de 7° se devine à peine.
C'est ça !
Dans les plateaux ou planches de bois, un retrait s'exerce, suivant une traction qui suit le sens des cernes. Elle ont tendance à "tuiler" (figure A et B). Cette déformation est plus ou moins importante suivant l'essence de bois, la différence d'hygrométrie du bois et de l'environnement dans lequel il se trouve...etc.
Si tu les assembles et colles tous dans le même sens sens, tu risque d'arriver à un résultat C, au bout de quelque temps.
Pour prévenir ce risque, on essaye d'alterner le sens de façon à ce que les éventuelles déformation soient limitées et se compensent entre elles.