
Il est effectivement possible que l'outil ai été détourné, il y a la trace de deux vis plantées un peu n'importe comment dans la semelle pour y fixer un guide certainement.

C’est effectivement un rabot à crémaillère, merci pour vos propositions. J’ai trouvé des photos, mais le diagnostic est désastreux.

C’est effectivement un rabot à crémaillère, merci pour vos propositions, j’ai aussi trouvé des photos.
Malheureusement le diagnostic est désastreux, pièce rapportée vermoulue et mal remise en place à l’aide de vis, un clou dans la lumière du grain d’orge pour repousser le coin qui a fendu le bois du corps et impossible à retirer, un fer qui ne semble pas d’origine, certainement pas assez large et qui a nécessité le raccourcissement drastique du coin. Je pense que je laisse tomber la remise en état.

Merci sylvainlefrancomtois !
Et à tous pour vos contributions, demain je le sors du congélateur et je fais un essai, je vous tiendrai au courant.

Merci etiennedesthuilliers !
Merci d’élargir le champ des possibles …

Merci francoisB30 !Merci, j’aurais dû trouver tout seul!

Merci Amourdubois !
Merci, une fois qu’on l’a dit c’est évident !

Je fais aussi souvent le pain, l’envelopper dans un torchon ça aide effectivement à la conservation.

flonflon
Merci

Merci dependancesbois !

Merci Bonbonveronbi !
C’est bien vrai, une démonstration vaut bien mieux que toutes les explications.

Merci Corps et Bois !
En fait j’ai toujours fait mes mortaises aux ciseaux parce que je pensais que c’était plus précis. sylvainlefrancomtois m’a informé que ce n’était pas très pro alors je vais me mettre au bédane pour voir.
Je continue de penser que le bédane est utilisé parce que c’est plus rapide et on a plus de force et que pour des professionnels c’est évidemment important.
Ta réponse est intéressante, en fait je n’ai pas encore d’ébauchoir ni de bisaiguë alors mes débuts en charpente ont été aux ciseaux.

J’ai de beaux bédanes qui n’ont jamais servi! On va s’y mettre.
Je fais tout à la main alors il y a la théorie et la pratique, j’ai autant appris des théoriciens que des meubles 18ème que j’ai eu dans les mains. Quand on est amateur passionné on veut que tout soit à l’équerre et au dixième de millimètre, c’est vite très frustrant, chez les anciens le savoir faire c’est de prendre en compte qu’il y aura des imperfections et d’avoir des techniques qui les compensent. Alors depuis longtemps j’essaye de voler toutes ces techniques aux rares qui savent encore ou entre les lignes des écrits de Roubo et ses contemporains.
Au vu des dernières photos ça pourrait être un aulne.