Toutes les sources sont à exploiter, il faut aussi savoir reconnaître ce qui vaut le coup et se cultiver pour connaître les producteurs, leur histoire, dater les styles, les gravures, les médaillons.
Très bel établi. 
Lairdehugues super, j’ai fais le mien aussi … il y a une trentaine d’années.
Merci, j’adore ces vieux outils. 
Merci
Merci Sylvain
Merci Sylvain, mais regarde bien les photos, c’est pas fait avec un tiers-point.
Merci sylvainlefrancomtois, quand je l’aurai retapée je te fais un compte-rendu.
etiennedesthuilliers, peut-être bien 
Merci benjams ! Tu as raison pour la manière d’affûter, mais c’est pas un débutant qui a fait ça, c’est un pro il y a 100 ans!
En fait j’ai été surpris parce que même dans cet état elle coupe encore. Je pense que les dents ont été cassées bien plus tard par un bricoleur mais que ce type d’affûtage est en fait très efficace.
La lame n’est pratiquement pas rouillée, pour une scie qui a environ 150 ans elle est super, j’ai choisi de L’affûter normalement en cross-cut sans tout refaire, il manque encore quelques dents mais elle est déjà bien efficace.
A y regarder de plus près c’est fait au tiers-point avec la lime en biais dans les deux plans horizontal et vertical, ce qui donne ce type de dents.
Bien sûr il faut refaire la denture, la scie à 150 ans, c’est ce qui s’appelait une « carcasse saw », ça s’utilise pour scier des cadres en travers. Je la publierai quand je l’aurai retapée.
C’est mon portrait tout craché !
Merci 
Mon merisier présentant des fils/ contre fils, avec un rabot à moulure c’était arrachements assurés. J’ai dégrossi avec le Stanley 45 et son « spur » pour couper les fibres vers l’intérieur en veillant à limiter les arrachements puis j’ai continué avec le tarabiscot.
Pour les pieds j’ai scié les biais et les épaulements puis ciseau, gouge, rabot.
Très sympa la vidéo.
C’est un chasse-clou Stanley, tu trouveras facilement avec Google.
Ça fait toujours plaisir d’avoir inspiré quelqu’un, merci.
Superbe, j’en rêve!
Forestier de métier j’ai visité des scieries spécialisées en douglas qui vendaient une partie de leur production comme mélèze. Ces deux essences sont assez similaires une fois sciées.
C’est pour faire des moulures, notamment dans les courbes, c’est un peu l’ancêtre de la toupie. Ça dépanne pour les restaurations.
Ce modèle qui à l’air basique est en général celui qu’utilisent les ébénistes. Il existe des choses très sophistiquées qui ne sont pas forcément plus faciles à utiliser, le principe c’est de faire l’outil adapté à chaque situation.
Oui et non, sur un racloir faces et tranche sont lissées puis on crée un morfil. Sur le tarabiscot on lisse les deux côtés et la tranche est limée, du moins c’est ce que j’ai fait.
De toute façon je vais tester diverses méthodes et épaisseur de lame. Je ferai des retours d’expérience.
Francisco, oui au vu de ma première expérience je pense qu’il faut utiliser le tarabiscot comme un racloir, c’est à dire en finition car c’est long et il faut éviter de forcer.
Ivan Merci, très juste, ça marche bien sur les bois durs, sur le sapin c’est pas terrible!
J’adhère complètement à ce point de vue et aux arguments de Boris. Faut vivre avec son temps, et c’est pas si mal!
Généralement le Douglas reste assez droit au séchage.