Je confirme de mon expérience que "l'empilement"est le meilleur usage pour un cyclone "mobile". Ce n'est pas toujours possible selon l'aspirateur mais c'est beaucoup plus pratique qu'une cuve avec cyclone à part (en deux éléments on a tout à déplacer deux fois et on est limité par la longueur de tuyau + problèmes à monter démonter + encombrement).
Kentaro : pour moi "tuile de bois" c'est l'usage, "tavaillon" c'est le produit (parce qu'il y a des confusions fr.wikipedia.org/wiki/Bardeau)
Pour la part subjective des "tuiles de bois", j'en appel aux avis. Oui, on s'accorde sur la beauté du bardeau fendu et usé par le temps.
Mais sinon je pose ma question car j'ai besoin de recommandations techniques issues du terrain sur les tuiles sciées en général.
J'ai vu mais à mon avis c'est une technique industrielle qui présente un intérêt pour les pros, pour les grandes surfaces, quand on a des plan sur plusieurs années pour calculer le retour sur investissement et comparer pour rester ou changer de techno.
Désolé erreur de rédaction, je voulais répondre à dBPs
Merci AtelierArba ! Beaucoup de conseils de ta part, j'apprécie.
Parfait cette couverture ! C'est absolument le rendu que j'espère
Du coup, je sollicite plus de ta mémoire pour le détail (même si je peux estimer) : longueur (500), largeur (140), pureau (2/5), clouage (3 pointes réparties),
et surtout le faîtage + rive que je n'ai pas encore étudié.
Effectivement cela a l'air épais, c'est mieux pour le clouage mais plus cher et plus lourd. Prendre en compte la pose et la manutention est très important aussi. C'est inspirant, je pense à de la volige de pin que je vais utiliser en tuile.
Oui, je comprends ! L'intérêt d'écarter la fibre est de conserver les structures intactes et donc perméables. Elles sont détruites par l'usinage. On doit en conclure que du scié+raboté va vieillir mal et très vite
Ceci dit, chez moi le bardeau de mélèze est long. Il est rainuré en bordure de long pour l'écoulement de l'eau sans qu'elle n'atteigne le tranché du bord et qu'elle s’imprègne. Donc il y a un raisonnement ancestral à la prise d'eau dans le bois via cette rainure et à son évacuation. Je suppose que le bardeau est épais. J'en n'ai pas encore analysé in situ mais je continue les randos
Merci Medalegno ! Mais pour cet assemblage, je me demande comment faire sans encastrement dans le bois rond vertical (qui serait la poignée du bâton de maréchal). Usinage seulement de la pièce qui sert à déporter la poignée de la porte (entretoise ?). Et dans cette autre façon d'assembler, comment fixer cette pièce solidement autrement que par collage ?
Parce dans le cas de ce schéma, l'usinage est évident (plûtot simple à réaliser) et semble fort grâce à l'encastrement. De plus on envisage facilement de visser les deux pièces.
Donc ma question est comment faire autrement ?
Question annexe sur comment le tracer (règles géométriques & astuces) ?
Merci Nicoel ! Mais pour cet assemblage, je me demande comment faire sans encastrement.
Ara a une grande expérience de ces épreuves
A mon tour maintenant de vendre mon travail, et je vois déjà des catégories de comportements avant même de commencer :
- je lui parle de mon besoin et je prie pour qu'il ne me parle pas d'argent
- je ne lui parle jamais du moindre sujet en rapport avec la technique parce que sinon il va me faire un devis
J'évacue ça par des propos inventés pour leur faire comprendre qu'un pro est un pro, que je choisi mes intérêts, que mes intérêts sont variés.
Ce qui est sûr c'est la déconnexion incroyable des gens avec le prix d'un travail de menuisier. Prêts à payer 3 euros une canette de coca et 1€ une chaise. De là naît aussi cette problématique de devoir aider pour pas cher.
C'est mon atelier préféré ! Parce que 10,5 ou plus, ce n'est pas la taille qui compte, c'est ce qu'on en fait !
Ara au départ de je n'avais pas vu que c'était trente six seb
Alors maintenant qu'il est correctement installé,
il peut bien faire toute sorte de production alimentaire du moment que c'est avec ses 10 doigts
Très beau