Mon intention n’est nullement la polémique. Je témoigne juste d’un élément du passé.
Est‑ce que c’est bien, est‑ce que c’est mal ? Je sais pas.
Je suis partagé entre la liberté d’expression c’est important (la censure c’est parfois n’importe quoi) et respectons les femmes (mollo sur la culture du viol (la dame n’a pas l’air d’accord ici (bordel, qu’est‑ce qui c’est passé avant d’en arriver là !? ))).
Les publicitaires ont surement pas réfléchi plus que cela. Une forme de légèreté qui témoigne vraiment d’un autre état d’esprit à l’époque.
Quoi qu’il en soit, le sexe et la violence restent présents partout dans notre culture même si les formes changent.
N’est‑ce pas anthropologique ? Sexe et violence, les psys parleraient probablement de pulsion de vie et de pulsion de mort.
dneis OK, on se calme.
Oui, c’est ironique. (Je rajoute un «?» au titre, c’est plus prudent.)
Oui, tu as raison. Misogynie, consentement et tout…
Mais la liberté d’expression est tout aussi important.
Si on interdit aux gens de dire de la merde alors on finira avec un tribunal de la pensée aux fesses.
Bon OK. Je m’arrête là. Je n’aurais peut‑être pas dû faire cette trouvaille. C’est trop dur de pas tomber dans la polémique.
Merci à tous.
«La fille» en l’occurence est un dessin. Donc non, elle ne dit rien.
Bon, on peut toujours jouer sur les mots… Oui en disant «personne». C’est une figure de style (exagération). Mais le fait est que cette objet n’a pas fait les unes des journeaux comme étant le grand scandale de l’année. Évidement, aujourd’hui avec les réseaux sociaux le moindre détail peut être monter en épingle.
Toutefois, je vous rassure. J’ai bien conscience que le mouvement féministe ne date pas hier. Voir cette chronologie.
Par ailleurs, j’ai bien dit plus haut dans le dialogue que «la dame n’a pas l’air très d’accord»…
Bricol girls, c’était super marrant. Et en même temps, il montrait des vrais trucs de bricolage. Du coup, c’était pas complètement du foutage de gueule.
Du reste, des bricol girls qui jouent de leur plastique, on en trouve encore quelques unes sur Youtube. Ce qui ne les empêchent pas de montrer également de montrer des vrais trucs de bricolage. Un exemple
Visionnaire le Chabat !
C’est fascinant de constater à quel point les arbres accompagnent l’humanité depuis toujours.
Je souviens d’une conférence de Francis Hallé (célèbre pour la canopée des cimes) qui nous rappelle que l’on trouve de la substance d’arbre dans les pneus. Car le caoutchouc reste indispensable par certain aspect de leur fabrication.
En temps qu’électronicien, je peux également rappeler qu’on trouve aussi de la substance d’arbre dans l’électronique. En effet, on utilise la colophane (un dérivé de la résine du sapin et autres résineux) pour la brasure des composants électroniques. Car la colophane est un excellent conducteur thermique.
Il faut respecter les arbres est les utilisés avec économie et bonne intelligence.
Oui, je me suis demandé la même chose pour le recalage. La lame doit probablement abîmer la boite à recaler. Mais je me suis dit qu’il doit être possible de mettre une cale à visser à la place du guide.
Je trouve dommage que Veritas ne propose pas plusieurs inclinaisons de lame pour ce rabot. Ou une lame dentée.
Dans de même genre, pour les paresseux comme moi, je conseille la BD «Le monde sans fin», texte de Jean‑Marc Jancovici et dessin de Christophe Blain (ISBN 978-2205-08816-8).
En gros, leur conclusion est qu’il n’y a pas d’énergie miracle. Que toutes les sources d’énergies se cumulent et sont complémentaires. Et que la transition énergétique, ben… C’est pas gagné.
Tu connais ce concessionnaire !? Et ben, il est allé au delà du centre de la France. Mon père avait sa boutique en Picardie.