J'ai acheté il y a 2 ou 3 ans une perceuse Metabo BE850-2, et j'en suis très content.
Perceuse achetée sur leroymerlin un jour de promo "tête de gondole" autour de 180€ avec une ODR complémentaire et une boite plastique offerte. Perceuse utilisée uniquement sur du bois (j'ai des perfos pour la pierre et le béton) et j'en suis très content.
chez metabo ICI
actuellement 149€ chez Castorama ICI
j'ai déjà eu besoin de percer de petites pièces de bois (ainsi que de métal). J'avais pratiqué ainsi :
prendre une pièce de bois suffisamment grande et carrée/rectangulaire pour tenir dans les mâchoires de l'étau
y percer un trou très légèrement inférieur au diamètre du tourillon
glisser le tourillon dans le trou
percer le trou dans le tourillon
retirer le tourillon
percer le tourillon suivant
Perceuse à colonne très fortement conseillée 
Suite à une décision de justice faisant jurisprudence, pour que le non respect d'un DTU soit opposable par une compagnie d'assurance, il faut que le DTU soit librement et gratuitement consultable.
Donc depuis quelques années il y a 2 solutions pour consulter un DT :
- acheter la version papier ou électronique
- créer un compte et les consulter sur le net
donc en accès gratuit mais en ligne, c'est sur batipedia : batipedia.com
il faut créer un compte
Ce n'est pas simple à trouver à partir du cstb, qui préfère mettre en avant ses offres payantes : boutique.cstb....fies/dtu-nf-dtu
si vous êtes qualibat (par exemple en étant RGE isolation) vous avez un accès aux DTU :
qualibat.com/a...ace-entreprise/
PS : quel DTU cherchez vous ?
Mais est ce que le haut du torii n'as pas une forme étudiée pour que l'eau s'égoutte ?
Je n'en connais qu'un (*), les poteaux étaient sur un soubassement en pierres, et le haut était couvert d'une feuille de zinc.
ajoutée afin de ne pas trop l'entretenir avec un couche de peinture régulière, mais le bois était taillé pour l'écoulement des précipitations. Par contre il avait souffert de la neige dans les années 80, et une casquette très discrète en zinc avait été ajoutée.
(*) dans un jardin privé à proximité de Lille, construit dans les années 30, puis rénové dans les années 70, jardin visité lors des journées du patrimoine à la fin des années 90.
pour prendre appui sur les briques il faut prévoir de répartir la charge avec une sablière sous la solive
Je n'ai pas sous la main une image parfaite, mais voici l'idée : il s'agit de la pose une ferme sur sablière lorsque l'on élève un mur en pisé.
source : Le Guide des Bonnes Pratiques de la Construction en Terre - Le Pisé
Pour l'humidité, il faut chercher d'où ça vient.
Les classiques :
- la végétation trop proche du mur
- l'absence de gouttières
- la modification de l'environnement avec des modifications du terrain (le comblement de fossés pas exemple), la création de trottoirs étanches ...
- la dalle béton intérieure sur film polyane qui envoie l'humidité dans le mur
- les joints refaits avec un mortier étanche
- l'enduit étanche (= ciment) sur toute ou partie du mur
...
Les solutions : - drainer autour du bâtiment (et pas au pied du bâtiment cf TiezBreiz)
- casser les enduits ciments
- remplacer les dalles sur polyane par une dalle sur hérisson ventilé
- vérifier les gouttières, et les plantations
Désolé du roman, mais c'est mon boulot 
drainage dans le bâti ancien :
drain sous le niveau des fondation, et à l'écart du pieds du mur
drain = drain de drainage, pas de drain agricole.
c'est pour une cuisine donc il faut que ce soit résistant
Il faut surtout que le produit de finition soit compatible avec les aliments.
Personnellement, j'ai toujours utilisé des huiles de la marque Auro, certaines ayant des certifications alimentaires. Il y avait aussi la marque Kreidezeit, mais elle n'est plus vraiment distribuée.
Il y a plus de 30 ans, Ikea distribuait des produits originaires du Danemark qui étaient un mélange d'huiles végétales, parfois pigmentées (j'avais un fond de vert que j'ai fini l'an passé), homologuées alimentaires et dont les déchets secs étaient compostables. Peut être qu ça existe encore.
A titre personnel, sur un plan de travail qui risque d'être en contact avec des aliments je choisirais une huile validée pour le contact alimentaire en premier choix, puis qu'il soit possible de composter les déchets, afin de ne pas être obligé d'aller en déchèterie pour m'en débarrasser.
j'ai récupéré des chutes de bois, dont des exotiques, dans les poubelles d'une entreprise réalisant des aménagement de jardins. en effet, quand cette entreprise vend une cabane de jardin, ou une terrasse il y a des chutes, qui sont stockées en attendant une hypothétique utilisation, et régulièrement jetées.
Depuis, je sais que je peux passer tous les ans en fin d'hiver, et récupérer ce que les salariés n'ont pas conservé. En théorie c'est gratuit, en réalité j'amène deux bouteilles de 75cl de bière.
Donc une piste, pour du bois exotique quasi gratuit : les poubelles des aménageurs d'espaces verts.
J'ai souvent vu les charpentiers amateurs de beaux outils les ranger dans des "pochettes" réalisées en jambes de jeans, fermées à un bout et repliées sur l'outil avec une ficelle pour la fermeture.
c'est le cas de scies manuelles qu'elles soient égoïnes comme japonaises, y compris les Katanaboy Silky. Pour les rabots, même système, mais avec des pièces de tissu plus petites.
Pour les rabots japonais qui existent en petites format j'ai déjà vu des pochettes en cuir souple avec des poches, et un rabot petit format dans chaque poche. La caisse de rangement contenant aussi les pierres à affuter dans une autre pochette en cuir, tout comme les ciseaux, eux aussi dans leur pochette.
Les rabots plus gros, européens comme japonais étant dans des sacs en tissu.
Mais je n'ai jamais vu d'outils de qualité dans des pochettes / sacs étanches. si les fabricants les proposent c'est qu'il doit y avoir une raison, mais laquelle ?
J'ai une lamelleuse Lidl, c'est de l'entrée de gamme, donc la fixation est à surveiller, la lame est d'entrée de gamme il faut la remplacer si on souhaite véritablement utiliser l'outil.
Mais je suis un amateur et cet achat, pas cher (30€) permet de comprendre l'usage de la lamelleuse et son intérêt.
En usage professionnel ou amateur éclairé, j'irais chercher un outil d'une gamme professionnelle, même si c'est 10 fois plus coûteux que le produit Lidl : Bosch, Dewalt, virutex ... Makita ...
Toujours pour un usage pro, plutôt en neuf sauf à connaître la provenance de l'occasion.
Par contre je n'irais pas, pour un produit demandant une précision d'assemblage, me frotter à une marque généraliste comme Einhell (la lamelleuse Lidl est de cette "marque".
Pour l'avoir utilisé pour du boulot pro d'assemblage d'un escalier à pas japonais, le domino Festool, c'était un super produit.
Je n'ai pas de réponse quand au métier de menuisier parce que je ne le suis pas. J'en connais plusieurs, des bons comme des carrément mauvais. Des passionnés par leur métier comme des "j'en ai marre, il faut que je fasse autre chose", alors qu'il n'est pourtant pas mauvais du tout.
Par contre ayant eu plusieurs vies professionnelles avec une reconversion en cours à plus de 50 ans, je peux vous assurer que si vous pouvez vous faire accompagner dans votre reconversion, n'hésitez surtout pas.
Un truc simple, si vous êtes inscrit à Pole emploi, depuis au moins 2 ans, vous pouvez bénéficier d'un suivi BGE : 4 sessions de 3h, en groupe / à distance, de formations et 11 heures en tête à tête avec un accompagnateur afin de vous aider à être prêt à vous lancer.
Pas besoins d'être indemnisé pour être inscrit à France Travail, et si vous y êtes avant la période de formation, la période de formation compte dans les 2 ans.
Cette aide peut permettre de bien préparer son installation, de trouver un financement, d'avoir des infos sur les aides locales, et, surtout, un oeil extérieur sur le projet d'installation, ce qui, à mon avis, diminue le potentiel stress de l'installation et de la recherche de chantiers/clients.
Le seul inconvénient : le délais, 3 mois de bge, c'est 3 mois pendant lequel vous ne vous installez pas.
J'ai une table de ferme, qui appartenait à la maman de la personne âgée qui m'a vendu mon habitation, donc fabrication avant la seconde guerre mondiale.
Fabrication avec le bois local => du chêne.
c'est de mémoire, parce qu'elle est rangée au sec, mais pas très accessible, et surtout avec un tissu de protection anti poussières. 5 planches 140x1700 mm épaisseur environ 35 mm
et deux "protections / raidisseurs" en bout de 50x700 mm, perpendiculaires aux "planches" de la table. Il est visible qu'elle a servi, beaucoup, souvent, qu'elle n'a pas toujours été bien traitée (de multiples tâches et traces de couteaux / coups) mais le plateau tient toujours, un peu moins les pieds.
Donc si vous avez des doutes quand au tuilage, peut être qu'en modifiant le principe constructif, vous le diminuerez.
Il y a aussi la solution de certaines tables de salle à manger, en particulier arts déco, sur lesquelles le plateau est encadré d'une bordure assez haute, ou posé sur la bordure en question.
ça c'est aussi pratiqué sur des tables des années 80 (70 ?) avec un cadre positionné sous le plateau à l'intérieur en retrait, et des fixations traversantes dans le cadre en question.
Sur une table en résineux d'origine autrichienne, fabrication fin 19ème, les "raidisseurs" étaient deux pièces de bois perpendiculaires au plateau, encastrées et collées à mi bois. Des initiales et une date étaient au fond d'une des rainures. De mémoire, parce que c'était avant 2010 que j'ai donné un coup de main au propriétaire de cette table familiale, plateau de moins de 70 cm, assemblage de lattes de 50x50, avec des rainures / languettes, collage qui ne tenait plus, et des pieds de biais sur un cadre fixé sur les traverses avec des boulons (pas d'époque mais pas tous jeunes non plus, avec une tête carrée, et un aspect forgé).
En conclusion, si vous avez ds doutes sur votre compétence à réaliser un plateau qui ne tuile pas, il faut adapter l'esthétique et/ou le principe constructif afin d'éviter le risque de tuilage.
un encastrement, afin d'obtenir une plaque de niveau
et collage avec une colle moderne et pas une néoprène qui a été une vraie saloperie pour les menuisiers des années 60, 70 et 80. ce sont des colles chargées en solvants et en COV.
Comme colle moderne et performante il y a les cyanoacrylates, qui polymérisent très rapidement. Donc, une fois le collage réalisé, il n'y a plus d'émanations de COV. Par contre comme toute polymérisation il est préférable de ventiler pendant le collage.
il y a aussi les colles epoxy qui ont ausssi moins de COV, même si le port du masque est vivement conseillé lors de la préparation du mélange, puis le collage.
Mon tonton, menuisier ébéniste avait une scie assez proche, mais avec un denture qui, à mon avis, était plus fine, assez proche d'une scie égoine ancienne, celle qui s'affute à la lime, avant l'invention de la scie jetable.
cette scie servait à réaliser les feuillures destinées à accueillir les morceaux d'isorel fonds de caissons des meubles en agglo & formica encore demandés à la fin des années 70.
J'avais le droit de l'utiliser pour me fabriquer des "trucs" pour mes GiJoe, ça permettait de réaliser une rainure dans un morceau de demi chevron, puis d'y glisser une chute de contreplaqué ou d'isorel afin de réaliser un mur de "maison".
solution simple : créer une association, dont les membres ont accès au matériel appartenant à l'association. Les cotisations permettent d'acheter et entretenir le matériel.
C'est une structure assez classique pour les fablab, ça peu fonctionner entre personnes se connaissant et aptes à entretenir le matos utilisé et à ne pas oublier de le rapporter après usage.
solution plus complexe : créer une coopérative artisanale
vous trouverez des infos sur la coopérative artisanale sur des sites comme BPI, mais aussi sur ceux de coopératives déjà existantes. Il existe même une fédération des coopératives d'artisans : FFCGA