Jolie porte, mais personnellement j'aurais cherché à amincir les croisillons du haut, je les trouve trop massifs par rapport à la surface vitrée.
Par contre je suis surpris du mur : les pierres sont visibles à l'extérieur et à l'intérieur. Il n'y a donc pas d'isolation ?
Et un mur en pierres c'est froid, la sensation de parois froide ne doit pas être très agréable à vivre.
Wannig
Je n'avais vu que vous étiez pro (ce n'est pas indiqué à coté de votre nom).
si c'est une commande de client, alors vous avez raison de respecter les choix du client
J'ai cru que c'était un travail perso chez vous.
il y a aussi la possibilité de trouver un accord avec l'artisan qui corrige, çà ses frais, les défauts les plus visibles : collage de la pièce qui devient invisible, et meilleure finition de la table.
Personnellement, un accord est toujours une meilleure solution, mais ça sous entend de pourvoir se mettre d'accord, ce qui n'est pas toujours possible.
On voit que tu n'es pas artisan...
Et alors ?
il en est des artisans comme des autres corps de métiers, il en existent des bons, des mauvais, des extraordinaires. Je ne vois pas pourquoi il devrait exister un esprit de corps, empêchant de venir chercher des informations sur la qualité qui semble moyenne d'après la description. Maintenant, avec quelques photos, il pourrait être possible de donner des conseils quand aux possibilités de corrections pouvant être demandées au professionnel.
effectivement, il manque des infos comme une copie du devis/bon de commande nécessaire avant toute réalisation et des photos des défauts.
et je suis d'accord, il faut commencer par essayer de trouver un accord avant de lancer l'assistance juridique.
y faire appel étant la solution ultime en cas de litige
masso Je n'ai pas tout lu, mais généralement, le fabricant du parepluie, qu'il s'agisse d'une membrane souple comme d'un panneau en fibres de bois, fournit une fiche techniques avec les conditions de pose.
Souvent l'épaisseur de la lame d'air dépend de la pente, de l'endroit de pose (à 1500 m en Savoie ce n'est pas comme à St Malo, qui sera encore différent d'Ajaccio). ensuite il existe des conseils locaux, par exemple, si on peut le faire, en montagne, où le soleil peut taper fort, il est possible de réaliser une double lame d'air, très ventilée, avec la membrane supérieure de type papier alu destinée à renvoyer la chaleur estivale vers le haut. Je n'ai pas trouvé où est situé le chantier, donc je ne sais pas si ce type de situation est courante chez toi.
J'ai du bac acier sur une extension, au nord, le lattage sous les bacs acier est réalisé en 63x40 à chant afin d'avoir la ventilation la plus importante possible. Bac acier avec film anti condensation, isolation en cellulose soufflée (40 ou 45 cm, je ne sais plus) sur le plafond de la pièce en question. Je suis dans les Cotes d'Armor, à proximité de St Malo.
Personnellement je ne poserais pas des solives en douglas, même purgé d'aubier, sur ce type de chantier, mais des solives en bois classe 4, parce que je pense que la ventilation va t être très limitée, et même trop limitée.
pour la classe 4 il existe des bois traités par la chimie ou par la chaleur.
A voir aussi la possibilité qu'il existe des poutres en I classe 4.
à l'extrême limite, en autoconstruction pure, après brûlage des solives (technique japonaise), pourquoi pas essayer, mais pas à titre pro, ni même chez moi. Je n'ai pas envie de devoir tout recommencer dans 5 ou 7 ans à cause d'un pourrissement ou d'une attaque de champignons lignivore des solives.
pierrotb dalle bois sur le même type de chantier ?
ou dalle bois sur construction neuve avec un vide sanitaire ventilé ?
Parce que là le problème, pour moi, ça va être la complexité de ventilation nécessaire au bois de la dalle.
je viens de bien regarder la photo, surtout qu'il y a une dalle existante sous le solivages.
Je ne comprends pas le désir su solivage en bois.
C'est bien une autoconstruction ?
A titre personnel, malgré ma détestation du ciment, je repartirais de la dalle ciment, ou d'une nouvelle dalle ciment si elle est en mauvais état ou d'une fondation complète minérale destinée à soutenir la structure bois du bâtiment.
A titre professionnel je ne le ferais pas, ce n'est pas mon métier, il existe des charpentier pour ce type de boulot.
Si tu souhaites vraiment du bois, alors il va falloir
- prendre du bois traité, si tu n'as pas envie de chimie alors ce sera du bois cuit (ça s'appelait thermo-traité, il y a 20 ans)
- avoir une ventilation performante et permanente, et forcée sous la construction si on conserve le vide d'air
En autoconstruction, ça peu fonctionner, ou pas, mais c'est en autoconstruction, donc on est responsable de ses erreurs et on assume.
Je crois me souvenir qu'il y a eu le même type de discussion sur l'ancien forum tiez breiz. Il faudrait vérifier si les archives ont été remises en ligne.
Sinon il faudrait que je trouve le temps de fouiller dans la sauvegarde du forum que j'avais réalisé avant que le site soit coupé.
De mémoire, la solution devait être : casser la dalle, faire un hérisson bien ventilé, réaliser des fondations périphériques afin de maçonner des parpaings pierres sur lesquels serait posée l'ossature bois. Sur le hérisson une couche d'isolant minéral en vrac (argile ou schiste expansé(e), pierre ponce, pouzzolane ...) tassée, puis des plots maçonnés destinés à accueillir des lambourdes en robinier, puis plancher en châtaigner.
et, 10 ans plus tard, toujours aucun problème d'après l'autoconstructeur de l'extension.
Merci cocoM !
Vous m'avez donné envie d'avoir des racloirs, et même de me les fabriquer à partir de chutes de matières et d'outils cassés / usés en acier. Pour les vieilles scies égoïnes il va falloir fouiller dans ce que j'ai ou attendre mercredi prochain pour aller fouiller chez Emmaüs, par contre j'ai, du plus fin au plus épais, des morceaux d'inox, mais aussi des spatules et des truelles.
J'ai trouvé une vidéo assez didactique sur l'affutage et l'usage des racloirs:
youtube.com/wa...h?v=ECMVRc5N3K0
Par contre il me manque l'affiloir, outil à commander.
sauf si un fusil de boucher peut servir d'affiloir ? mais il me semble qu'il s'agit d'outils bien différents.
et je n'ai pas de pierres à affuter aussi fines.
pas comme neuf, mais suffisant propre et éclairci pour pouvoir huiler le bois, au moins sur les tranches, ma femme souhaite retrouver le bois sous la peinture.
et c'est assez facile à obtenir, il n'y a qu'une couche de peinture n'étant pas d'une qualité exceptionnelle elle se détache facilement au grattage comme au ponçage. Et la teinture foncée originale s'efface suffisamment sous le papier abrasif pour envisager un huilage légèrement coloré avec un mélange de pigments terre de sienne / mexico clair.
Bonjour
Douglas purgé d'aubier ? donc classe 3
vide sanitaire bien ventilé ?
alors en théorie il n'a besoin de rien
Sinon il lui faut un traitement, mais le douglas est considéré comme non imprégnable par le cirad, donc traitement thermique, ou traitement lourd par imprégnation en vide d'air.
Ou traitement par badigeon d'un produit qui forme une croute superficielle :
par sécurité je protégerais en badigeonnant avec du sel de bore, mais c'est une matière qui semble difficile à se procurer si on a pas une usine de production d'isolant cellulose à proximité.
Mais d'après le Cirad - sur du douglas purgé d'aubier :
Contre les attaques d’insectes de bois sec. Ce bois ne nécessite pas de traitement de préservation
En cas d’humidification temporaire. Ce bois nécessite un traitement de préservation adapté
Mais il ne s'agit pas travailler ensemble, mais de partager du matériel.
Donc il ne faut pas chercher à réinventer la roue, mais utiliser ce qui existe déjà : soit en mode : un groupement d'artisans partage du matériel => coopérative artisanale
soit en mode mise en commun de matériel, avec une possibilité d'ouverture ouverture au monde extérieur => une association, sur le modèle de tiers lieux déjà existants. Je ne fréquente pas l'Air du Bois depuis longtemps, mais je suis certain que des Tiers Lieux y sont présents.
Dans tous les cas ça ne s'improvise pas, il faudrait commencer par évaluer le besoin, les évolutions possibles, et seulement à ce moment étudier les réponses et contacter les bonnes personnes.
Kentaro
la définition d'une coopérative d'artisans :
Une coopérative d’artisans regroupe des entrepreneurs qui ont décidé de se regrouper pour investir ensemble et développer leurs entreprises autour des valeurs coopératives d’équité, de responsabilité, d’indépendance, de démocratie et de transparence
Il existe des coopératives d'artisans qui sont des négoces de matériaux, d'autres gèrent des locaux, des ateliers ...
jetez un oeil au site de fédération des coopératives d'artisans, il y a un tas d'explications.
Kentaro
Mais bon, peut-être que je me pose trop de questions...
oui, sans doute
J'ai envoyé hier un devis de 19000€ ht / 22500€ ttc à une mairie, pour de la maçonnerie. Pour l'instant mon entreprise n'existe pas encore, je n'ai donc pas pu remplir la partie administrative du dossier avec mon kbis, ma décennale ... et j'ai indiqué que ce chantier serait sans doute réalisé à 3, avec 2 autres indépendants comme moi, mais avec une seule facture de ma part.ça ne le gêne absolument pas, le chantier serait pour le printemps, donc je devrai avoir une existence juridique et une assurance à cette date. Mais la mairie est aussi intéressée par ma capacité à encadrer un chantier avec des habitants, ainsi qu'avec des enfants des écoles, maternelles et primaires, donc un truc jamais assuré mais qui se pratique beaucoup, au plus grand intérêt des communes.
le chantier : maçonner des briques de terre crue dans le cadre de la rénovation de l'école primaire, et j'ai proposé de fabriquer les briques avec de la terre d'une excavation de la commune, et avec les enfants !
accessoirement créer une coopérative d'artisans est un moyen de se protéger face à un contrôle, puisque dans le cadre de la coopérative il n'est pas anormal d'être plusieurs dans le même local. C'est plutôt si 3 ou 4 membres de la même coopérative sont chez un client en train de bosser dans la même pièce que ça peut prêter à confusion en cas de contrôle.
Pour te rassurer, tu peux essayer de contacter la fédération.
Kentaro j'ai passé l'âge
Quand je vois comment fonctionnent certaines entreprises, certains indépendants, et certains patrons (j'ai passé quelques années avec une avocate) j'aurais tord de m'en poser beaucoup.
et puis, à titre professionnel j'ai eu droit à 3 contrôles fiscaux en 10 ans, et un contrôle URSSAF et un de l'inspection du travail ces deux derniers sur dénonciations, ça m'a un peu vacciné.
D'ailleurs cette avocate avait défendu une brave dame ayant balancé 2 cartouches de chevrotines (avec l'aide d'un fusil de chasse) dans la voiture d'un "constructeur" de maisons, qui, aidé d'un banquier et d'un notaire lui avait piqué plus de 100 000€. Et l'enquête avait permis de montrer qu'elle n'était pas la seule.
Le problème c'est le prix qui est souvent élevé par rapport à la qualité du produit. Quand je vois une entrée de gamme à 30€, par rapport à un outil pro à 250 ou 350€, je ne m'attends pas à un produit au top, et je sais que ce sera plus complexe à utiliser, mais parfois je suis agréablement surpris, comme, par exemple, avec la ponceuse à 10€ que j'utilise cet après midi en complément de ponceuses Bosch et Dewalt (2 diamètres, 3 grains).
Mais quand je vois une lamelleuse Einhell proposée à 100€, à coté d'un modèle Dewalt à 200€, il je ne poserai pas la question, du choix : la jaune et pas l'autre, le différentiel est trop faible pour me poser la question du choix.
C'est pour ça que j'ai un mélange d'outillages de plusieurs marques, avec aussi bien du Dewalt, Metabo, Hitachi, Bosch ou Ryobi Bleus, à coté de truc chinois sans marque mais aussi du Bosch vert, ou du Lidl.
quel usage : important ou pas, quel prix, quel besoin de précision ... ?