Oliverte est dans l'allier. Essaie peut-être de le contacter si c'est pas trop loin. Il doit avoir du stock.
Cherche Olivier Verdier sur Google, tu le trouveras facilement 
Salut,
Une porte doit être chevillée tel que le montre ton premier schéma.
Je choisirais donc cette solution.
Maintenant, tu parles de charge... Avec un enfourchement tel que tu l'as fait, je te dirais bien que ton chevillage est nécessaire pour porter le poids propre de ton bois.
De quelle charge parles-tu ? À quoi sert cet ensemble ?
Tout dépend de l'esthétique recherchée.
Dans le cadre d'une pergola, on veut généralement un toit et le moins d'éléments verticaux possible. Il faut danc une structure adaptée. C'est assez cher et plus compliqué niveau manutention.
C'est également pour cette raison qu'on va faire une maison en poteaux poutres. Mais c'est cher.
Dans le cadre d'une cabane, on veut créer des murs. On va donc créer une ossature permettant de recevoir du bardage (et éventuellement d'autres éléments comme isolation, parement intérieur etc... avec des montants tous les 60 max.
C'est la technique utilisée pour la maison ossature bois qui est moins chère et plus facile niveau manutention.
Salut,
Tu demandes comment faire la jonction entre le nouveau et l'ancien pare pluie. J'en déduis que le but est de ne traiter que partiellement le problème aux endroits ayant des fuites. C'est juste ? (sinon, je ne comprends pas ta question).
Problème, Il semble y avoir de nombreux soucis de conception :
- la membrane d'étanchéité ne recouvre pas l'osb sur la tranche. Dans ton cas, pour faire simple, je ferais descendre la membrane sur la poutre et je cacherais la tranche par la pose d'une lame de terrasse entre les poteaux.
- les "lambourdes" sont directement posées sur le sol ce qu'il ne faut jamais faire. ça fait une rétention d'eau. Elles vont toutes pourrir à terme. Il faut au minimum les surélever de 5mm.
- Vue l'épaisseur des "lambourdes", je doute que les vis de fixation ne vienne pas percer l'étanchéité. Et dans ce cas, je ne vois pas l’intérêt de ne pas tout refaire. Il faudrait voir à quel niveau arrive la terrasse par rapport au seuil de la porte pour évaluer les possibilités.
C'est pourquoi, je referais toute la terrasse.
Salut,
Le collage est effectivement source de stress.
Dans tous les cas :
- Montage à blanc pour tout contrôler - Ça te permettra de laisser ta tenaille dans ta caisse à outils
- Prévoir à l'avance la technique de serrage appropriée
- Si le serrage est complexe, le répéter à blanc
- Ne pas utiliser de colle à prise rapide
S'il te manque un truc, ce n'est pas non plus dramatique. En général, tu dois positionner les premiers serre-joins qui permettent la mise en place du tout. Les serre-joins suivants servent à parfaire la pression exercée et ne nécessitent généralement pas de se presser.
Enfin, l'éponge et l'eau, j'ai arrêté (je suis passé à la bière). Mieux vaut doser correctement la colle (utilisation de pinceaux ou rouleaux pour l'appliquer) et nettoyer le surplus une fois que ça a commencé à sécher.
Bonjour,
Tu dis "en faux". Ça veut dire quoi. Plaqué ?
Si je regarde le bout de ton plan de travail, ça semble être ça.
J'ai du mal à voir mais, n'aurais tu pas plaqué qu'un seul côté ?
N'aurais tu pas apporté une finition que d'un seul côté ?
Dans ces cas, je ne suis pas sûr que ce soit rattrappable.
PS : si c'est bien plaqué, on n'appelle pas ça massif. C'est un plan de travail plaqué essence fine.
Salut,
J'ai été confronté à un problème similaire. Peut-être que les réponses que j'ai reçu te seront utiles.
Et tu as un résumé de ce que j'ai fait sur ce commentaire :
lairdubois.fr/...mentaires/67876
Il y a toujours eu une petite friction de temps en temps sur ce site, et c'est assez normal. On ne peut pas vraiment expliquer pourquoi, tout à coup, on va péter un câble sur un sujet en particulier.
Il n'en reste pas moins que ce qui caractérise l'air du bois, c'est bien le partage et la bienveillance, avec les quelques petits accrocs inhérents à la nature humaine 
, et ce, sans la moindre modération.
Salut,
Beaucoup de questions ici.
Bon, pour assembler du bois sur du béton, tu peux par exemple façonner un trou de 15 de diamètre sur 5mm de profond puis le percer au centre du trou avec du 8mm.
Tu as donc un trou par lequel faire passer un vis, une rondelle et attraper une cheville dans ton mur (dimensions à adapter au besoin).
Pour le sol, si c'est du plancher et non du parquet, vis à bois. Si c'est du parquet, tout dépend du parquet et du sol en dessous. Mais est-ce vraiment nécessaire ?
Pour l'assemblage du cadre, si tu fais arriver les montant sur les traverses, tu peux simplement utiliser des vis à bois qui seront invisibles.
Sinon, tenon mortaise.
Sinon, lamelles ou tourillon + colle.
Pour la colle : colle blanche (colle à bois) prise lente pour être tranquille.
Maintenant, attention :
Un bastaing est généralement utilisé pour de la charpente et est, normalement, pas assez sec pour être utilisé pour faire une sorte d'aménagement. Tu as des risques que ça bouge trop.
Salut,
Ton projet, ce sont en fait 2 meubles séparés. Tu ne devrais pas les présenter en situation, mais plutôt en séparés pour qu'on puisse mieux les voir.
Les placards et le dressing furent les projets qui m'ont lancé dans le bois. Après avoir fait un devis chez un spécialiste, je me suis dit que j'allais plutôt mettre le prix dans du matériel et le faire moi même. Je serais ainsi équipé pour faire bien d'autres choses.
Voilà ce que ça donne en mélaminé décor chêne.
Ce n'est ici qu'un des trois modules du dressing.
Je m'étais entraîné avant sur les placards des enfants en mélaminé blanc.
Pour les faire, l'achat aura été une scie plongeante sur rail. C'est essentiel pour avoir un bon confort d'utilisation : tu places le rail le long de ton trait, et tu scie.
J'avais acheté la scie festool, ainsi que l'établi mft. Le tout coûte très cher, mais est extrêmement pratique pour la découpe de panneaux.
Le premier placard a été fait avec des vis biaises. Ça marche pas mal et c'est très pratique pour un montage à blanc.
Tous les autres ont été faits avec des lamellos. Moins facile à mettre en œuvre, mais invisible.
Pour les matériaux, le mélaminé est pratique, mais il est difficile d'avoir des coupes nikel sur les deux faces. Il te faudra sans cesse penser à la face visible pour positionner ton plateaux à la découpe. L'avantage du décor bois, c'est que les éclats sont moins visibles.
Pas de chant à coller pour ton projet avec l'utilisation de tablettes de la bonne largeur.
Proposition un peu compliquée, mais fort intéressante :
Dans cette réalisation de BIBI, qui est largement inspirée de celle d'ishitani, tu peux voir un assemblage des étagères avec des clés en queue d’aronde. En faisant le même système arrêté, tu peux le rendre invisible.
oui, c'est pas le plus simple, mais c'est classe :)
Je n'ai jamais entendu parler de vernis pour une terrasse. A mon avis, si tu veux la gâcher et te générer de gros travaux d'entretien, tu peux y aller comme ça.
Pour ce qui est de la qualité mécanique du bois, le cumaru ne nécessite aucun entretien. Donc, si on accepte qu'il grise, il n'y a rien à faire dessus. éventuellement un petit brossage annuel (à l'eau, mais une brosse métallique :D ).
Si on veut garder l'aspect initial, là, c'est une autre paire de manche. Selon son degré d'acceptation de l'altération de la couleur, un traitement devra être fait de manière plus ou moins régulière. Généralement une fois par an.
Il te faudra nettoyer ton bois, appliquer du dégriseur (bienvenue dans le monde de la chimie) et appliquer un saturateur (et non un vernis).
Le saturateur va venir saturer ton bois (imprégner les ports). Je ne sais pas pour le camaru, mais pour ma terrasse ipe, bois dont l'imprégnabilité est à peu près nulle, le résultat n'a pas été concluant, mais peut-être ne suis-je pas doué.
Bon, en tout cas, pas de vernis :)
une question pour Antony RubioMonocoat :)
De mon côté, nettoyage immédiat à grande eau, mais ce n'est sûrement pas le plus efficace, et il faut bien nettoyer le lavabo derrière.