
Merci Bernard.
La raison est connue : aération complètement foireuse dans une partie de la maison mal conçue adossée à un talu avec une seule entrée d'air (dans la cave) .
Je te laisse imaginer le cocktails. Et encore, ça a largement progressé !
Bon, les parents ont décidé de nettoyer le meuble, revoir rapidement l'aération et pendant leur absence de laisser le meuble complètement ouvert en maintenant au mieux les portes...
Advienne que pourra

God save the queen !
Dans un style british, je vote pour le style usé pour la prochaine !
Pour les proportions, Wikipedia est ton ami !

Je viens de finir un roman sur l’architecte Ottoman Sinan ("l’architecte du sultan", je vous le recommande).
Il y a une réplique qui s'applique bien ici et qui dit à peu près ça :
Pour bâtir, il faut penser à trois choses : la solidité, la praticité et l'esthétique.
Si, pour une construction, tu devais en sacrifier une, ce serait laquelle ?
Réponse : aucune des trois.
C'est ici le cas le plus flagrant, mais je trouve que de nombreux plans ne donnent pas les solutions techniques à mettre en œuvre pour que l'ouvrage tienne debout.

Très bel établi et très bel atelier
Par contre, j'ai lu quelque part que le hêtre était préfèré au chêne pour les établis car le chêne poserait des problèmes d'echardes...

oui, mais les tables en chêne ne sont pas faites pour supporter les mêmes contraintes qu'un établi. J'imagine que ce sont les coups pris qui feraient des échardes.
Maintenant, si tu dis que tu n'as pas de problème avec les tiens, c'est nikel : je vais du coup pourvoir regarder du côté du chêne déclassé que me propose ma scierie !

Je comprends ta réaction, mais le problème, c'est que tu poses une question assez triviale sur l'utilisation de l'un des outils les plus dangereux de l'atelier. Il faut bien avouer que c'est inquiétant pour tes doigts.
Vu ce que tu dis, cela peut montrer plus un manque de confiance que de l'ignorance.
Bref, cet outil se règle comme un porte outil classique : hauteur via le vérin, profondeur via le guide.
Le contre profile, comme tout contre profil se règle de la même façon avec des tests sur des chutes pour le réglage fin.

Désolé si tu n'es pas capable de voir que je réponds à une partie de ta question :
Tu fais ton réglage de profondeur qui dépend de la profondeur de coupe de ton outil.
Tu règles la hauteur pour faire le profilé.
Tu test sur une chute, tu corrige si nécessaire et recommence jusqu'à satisfaction.
Tu usine tous tes profiles.
Tu règle la hauteur pour faire le contre-profile.
Tu l'usine sur une chute. Tu test, tu corrige si nécessaire et recommence jusqu'à satisfaction.
Tu usine tous tes contre-profiles.
C'est un truc de fous, même Samuel fait comme ça !
Un Schéma est tout aussi efficace qu'un mode d'emploi.
Pour le reste, on sais pas ce que tu sais faire vu que tu ne partage rien. On ne peut donc pas connaître ton niveau de connaissances. Devoir tout t'expliquer impliquant à priori un niveau de connaissances théorique faible autant t'orienter vers la littérature avant toutes choses.

Très intéressante cette technique, merci. On gagne largement en temps de réglage de toupie.
Par contre, on s'impose un rabotage du plateau, ce qui ne pose pas forcément de problème si on dispose d'une rabo de 500,sinon,c'est à la main.

J'ai finalement tenté le coup vissé par le dessous.
Si ça ne tient pas ainsi, je reprendrais avec des fixations apparantes.

Y'a pas mal d'autres choses à faire pour madame (banc intérieur, meuble salle de bain, placard...).
Elle se contentera de notre banc de chez botanic en teck

Merci à toi.
Effectivement, j'ai opté pour ces options sachant qu'il serait certes dehors, mais abrité.
Je suivrai son évolution à chaque fois que j'irais chez eux de toutes façons, ce qui me permettra d'agir rapidement s'il y a un problème, et le cas échéant, d'apprendre de mes erreurs. Parce que soit on réussi, soit on apprend

Smaug oui, merci, c'est prévu
Très beau rendu. Décidément, j'adore le châtaignier.
Tu as utilisé quelle lazure ? As-tu mis un fixateur de tanins ?