Bravo ! Beau travail bien régulier
Ce serait intéressant de connaitre ta technique ? Tracé préalable ? Au couteau à sculpter, à la gouge ?
Bravo et merci les gars, je m'étais persuadé du contraire... oups!
Merci AtelierOSantal !
Tempé-RANCE et noyer pour ce maillet, il doit bien casser les vieilles noix 
Travail bien soigné, bravo
Tiens, notre RIRI212 national est de passage...
Et mon invitation à visiter l'atelier un de ces quatres...
T'es partant ?
RIRI212
Volontiers, mais ne je peux te recevoir que les jeudi après-midi ou les samedi (sauf le 26/01)
Préviens mois juste qques jours avant.
Thierry
Ah ja, Mein Her, das ist gute Mechanik Teutonic !!!
Chiche ! Ca paiera les binouzes pour partager avec les visiteurs passionnés et aussi intarissables que moi !
Puis, je te le confirme j'ai été moi-même ahuri, mais je tiens ça d'un rapport de la chambre des métiers des fabricants de meubles de cuisine de Paris. certainement qu'en province, le délai doit être un peu plus long, quoi que !
En France, durée moyenne de possession d'un bien immobilier : 7 ans
V'la une idée qu'elle est bonne !
ça pourrait bien se faire, mais si vous pouviez imaginer l'état du jardin pour l'instant !!!
bonjour Niouniou
Merci pour l'intérêt que tu portes au projet. Moi-même j’ai douté au début mais je t’apporte ici mes constatations. Le PLU nous impose des toits en ardoise absolument, soit environ 105 kg/m² avec charpente Douglas + isolant. Sinon, c’était un simple toit avec membrane EPDM + isolant soit 45 kg/m² avec charpente légère… mais interdit chez nous. Donc environ 10 tonnes obligatoirement sur la tête (96m² développé). Si construction intégrale en bois adaptée c-à-d poteaux + contreventements + bardage + isolation équivalente aux biobriques (R1,5) + parement intérieur minimaliste = 160% de l’équivalent prix par rapport aux biobriques avec enduit (évidemment hors isolation complémentaire dans les 2 cas). Le calcul est vite fait, et en plus il y a beaucoup d’inertie thermique avec une dalle de douze isolée et les briques que tu n'as pas avec le bois. En outre, la valorisation patrimoniale en cas de revente et la durabilité ne sont pas comparables. Alors pour moi c'était le meilleur choix.
Merci de t’intéresser à mon projet mais pardon de te sembler si pragmatique, Niouniou, l’argument du prix écrase tous les autres, la pérennité des matériaux n’est pas comparable, le comportement thermique d’une isolation extérieure pourrait paraître préférable dans la majorité des cas mais c’est dommage de faire un trou avec un coup de manche de pelle malheureux dans l’enduit (expérience connue sur maison en paille !)... Et encore, il semblerait selon mon architecte que le complexe bio brique avec ouate de cellulose avec frein vapeur hydro réglable Sd>18m est actuellement le meilleur compromis en efficacité/inconvénients.
OK Niouniou je suis lancé mais je regarderai de plus prêt ton idée.
Bonjour à toi, Laikeen
C'est vrai les anglicismes ont aussi plus de quarante ans d'existence et j'utiliserai dorénavant CHAPEAU BIOIONIQUE plutôt que JETCAP... c'est promis-juré !
La construction bois est intéressante en matière de durabilité et isolation si c'est en plein bois massif, mais je ne tiens pas particulièrement à vivre dans la cabane de Davy Crocket ou un chalet d'alpages, surtout en Bretagne. Sinon l'ossature bois est loin de faire l'unanimité en matière de durabilité, elle n'a pas que très peu d'inertie et de toute façon doit être autant isolée que les autres. Elle est en outre plus accessible à l'autoconstruction ce qui explique grandement sa progression mais majoritairement dans certains secteurs socio-économiques.
Je pense en outre que vous ne fassiez référence qu'à la brique MONOMUR qui a atteint depuis longtemps les limites de ses possibilités isolantes! Dans mon projet de maison, la brique multi-cloisonnée type BIOBRIC est étudiée spécialement pour être avec isolation intérieure, elle a une inertie peu élevée mais présente des avantages en durabilité, perspirance et déshumidifiante et bien sûr porteuse de structure bien plus solide que le bois en compression et sans besoin de contreventement utilisant l'OSB qui reste le point faible de la construction en matière de durabilité. Il est vrai qu'aujourd'hui la construction d'un maison ne se fait plus pour durer un siècle, mais pour coûter le moins cher possible, en bois comme encore en parpaings béton ! Ici, l'isolation se fait par de ouate de cellulose en couche épaisse + pare-vapeur hydro-variable. L'inertie nécessaire à ce type de maison bioclimatique est apportée en partie par la ouate 68 kg/m3 mais surtout par un radier entièrement isolé fait d'une dalle 15cm associé à 70-80 cm de granulat tassé de granite qui joue le rôle d'absorbeur régulateur par inertie thermique. Le sol du RdC doit être thermo-conducteur en grès cerame de teinte moyenne à foncée pour la captation solaire + 32 m² de triple vitrage pour le chauffage en hiver.
Le concepteur à l'origine de ce projet n'est pas un architecte pour lesquels vous semblez avoir une grande estime de compétence, mais un ingénieur thermicien venu à la construction bioclimatique depuis plus de 35 ans et dont les réalisations font référence dans le grand ouest. Je suis moi même scientifique de formation et j'ai aussi quelques petites notions de physique...
En conclusion, je pense que votre avis est intéressant mais que nous sommes tous aujourd'hui enfermés dans des chapelles de certitudes. Les miennes ne sont pas plus vraies que les votre, c'est certain et je les respecte sincèrement, mais les mêmes lois physiques régissent notre univers commun, même en thermodynamique et en construction. C'est donc l'observation ou les témoignages à propos des maisons à ossature bois qui ont très mal vieilli en peu d'années, qui craquent ou qui bougent, qui surchauffent au moindre rayon de lumière, ou pour lesquelles ont est obligé de concevoir un énorme poêle à accumulation pour l'inertie déficiente... qui a orienté notre préférence. Attention aux effet de mode "bio / écolo / a que c'est moi le plus fort / a que toi t'es nul..."
Heureux celui qui connait le juste secret des choses ...
A+
Consuetudinis vis magna est
Bon, Jean, trêve de latinistes guillerets... et si nous revenions à nos chers sujets du moment ?
sed perseverare diabolicum ...
FB510... non, N4400 Hammer c'est à peu près équivalent.
Ah la passion... n'est pas raison.
Connais-tu la différence entre un homme et un enfant ???
Le prix de ses jouets !
A+
Bonjour Cereus45
Je viens juste de refaire l’installation de mon poêle à bois dans l’atelier. L’hiver dernier, il était monté sommairement car j’avais trop peur d'avoir froid !
Dans la pratique, j’ai pas mal d’atouts de mon côté :
- d’abord, en Bretagne Sud, les hivers sont doux et la température est exceptionnellement négative.
- Ensuite, mon atelier a été construit comme la maison car il s’agit en fait de chambres inachevées, seul le toit est actuellement isolé aux normes RT2012, les murs sont encore nus mais en Biobriques R1,4… c’est déjà ça. Toutes les fenêtres sont en PVC double vitrage de chez Casto Merlin, et la surface totale vitrée de 7.8 m² plein sud/sud-est assure un chauffage solaire efficace.
- Enfin, j’ai au sol une dalle de 20 cm de béton avec 45 cm de gravier en granite assurant la partie inertielle calorique. L’ensemble de la maison et donc de type bioclimatique.
C’est pour cela que je pense que mon exemple n’est pas significatif car les conditions d’échange thermique sont optimisées au maximum ainsi que la maison.
Néanmoins, j’utilise un chauffage type DEOM n° 4 pour les 64 x 4.5=288 m3 de l’atelier et de la mezzanine. Au passage, le DEOM est bon de rendement et de pilotage, j’ai la chance d’avoir aussi un excellent tirage.
Les WE les plus froids, j’ai relevé dans l’atelier une température d’environ 9° (1° dehors) alors qu’il n’a pas été du tout chauffé de la semaine et une hygrométrie de 61° même en période de pluies (effet séchant des briques en terre cuite). Avant de prendre mon petit-déjeuner, je mets 2-3 bûches de feuillu et 3 seaux de copeaux tassés et zou le Turbo !.
Environ une bonne heure après, il fait déjà 15° ce qui est tout à fait confortable pour travailler le bois, au bout de trois heures, il fait 22° et je dois aérer.
L’avantage de l’absorption thermique par la dalle en béton, les machines, les murs fait que lors de l’utilisation de l’aspiration pendant environ un quart d’heure, la température descend peut-être de 3 à 5° car l’air est dilué par une entrée d’air froid, mais dès l’arrêt de l’aspiration celle-ci remonte rapidement en moins de 10 minutes à la température de départ. Seul l’air est refroidi et la dalle et tous les objets restituent la chaleur en quelques minutes.
Si je bricole le lendemain, je mets deux bûches dans le poêle avec un tirage modéré, le lendemain en me levant il fait encore 17° dans l’atelier.
J’ai un copain qui est dans les le Jura suisse et qui a un énorme garage pour bricoler ses voitures de collection. Il a un gros poêle industriel à bûches 22kw qui fait qu’en journée son garage de 250 m² est un véritable four à pain. Dès que le bois s’épuise ou le soir lorsqu’il quitte l’atelier, la température chute d'un coup et il fait 6° le matin quand il revient. Sur les conseils d’un architecte bioclimatique, il a fait un mur entier de fûts métalliques remplis d’eau et empilés soit un volume d’à-peu-près 6000 l. Ce simple élément inertiel, à l’instar des chauffages dits à accumulation, permet d’accumuler un maximum de calories excédentaires dans la journée et de le restituer la nuit. Résultat des courses pour exactement le même chauffage, il n’y a pratiquement plus d’effet étouffoir le jour et sa température nocturne est de 11°. Cela s’appelle l’inertie thermique. Voir ICI un exemple pour une serre sous la neige = idem pour atelier
Ce serait le même principe avec une aspiration de menuisier. À température égale, les calories contenues dans l’air chaud de l’atelier sont faibles par rapport au nombre de calories contenues dans les masses inertielles (dalle, machines, meubles, bois…). L’aspiration évacue l’air tempéré et fait rentrer de l’air glacé. Cet air glacé récupère rapidement des calories inertielles dans les objets pour se réchauffer à nouveau. Tout dépendra bien sûr de la durée de la ventilation par rapport au nombre de calories stockées.
Alors certes, j’ai un atelier construit comme une maison bioclimatique mais il reste encore l’isolation des murs envisager… quoi que cela climatise déjà très bien !
Voilà l’heureuse expérience que j’en ai, mais je doute que les conditions soient reproductibles dans vos ateliers, que vous soyez des pros ou des amateurs.
Enfin, l'utilisation alternative vers un by-pass en été et un filtre type M minimum en hiver et tout à fait faisable, mais il faut bien maîtriser son sujet et changer fréquemment les filtres pour éviter les pertes de charges importantes.
Excellent, mais on voudrait bien le voir en place et en action (LEDs) !
Non, ils passent tous dans la cloison !
C'est bien du cedrus atlantica qui a le veinage et le rendu plutôt doré que rouge
Monsieur est un connaisseur !!!
Ouaip... mais t'as pas vu la serre en projet !
nous rendrons là dans le domaine de Madame, je reste néophyte, mais étagère aussi.
Bonjour Pierre
C'est beau le progrès... et le cerveau en compote à la fraise qui va avec, ça existe ?
A+
En fait, pas de plans, juste une côte de longueur maximale à 3 m et un intervalle entre deux étagères minimal pour insérer l'ampli vidéo. Le reste au feeling et selon l'inspiration du moment, plus trois encoches en arrière d'étagère pour faire passer les câblages. Les pieds ne sont que des plaquages de 10mm cèdre sur des noix en Douglas que j'avais récupérées de la construction de la maison. Ponçage, mouillage, séchage, re-ponçage fin au 240, huile de Tung ou bien Danoise en trois passe de gavage ! Voilà.
Oui, étonnant en effet. Cependant la croissance des arbres en Bretagne Sud est tellement rapide que la plupart des boissons est bien plus tendre que la moyenne. Pour la construction de la maison et de l'atelier, la charpente et l'ossature du plancher d'étage ont été faites en Douglas importé des Cévennes, alors qu'il en pousse À 25 km de chez moi! Il est très beau, mais bien moins résistant. idem pour le châtaignier.
Que nenni Messieurs... ce sont des Avisos, Mais bien de chez Cabasse ! 
bonjour Niouniou,
-les plateaux sont deux planches assemblées par fausse languette inapparente en CP10 + colle vinylique
-les pieds sont collés au mastic sous les plateaux (d'ailleurs, ils sont un peu de travers, il faudra que je les reprenne). C'est suffisamment stable et solide compte tenu de leur surface de contact et leur faible hauteur.
-le placage de cèdre sur les pieds est fait par collage vinylique sous presse a vide uniquement sur les faces visibles.
Voilà, c'est on ne peut plus simple !
Pardon mais les autres, c'est pas nous. Jeudi, je suis allé chercher du frene. Le scieur me l'a vendu à très bon prix et en fil parfait et bien sec, je me suis précipité chez mon pote pour lui faire profiter du "coup"... c'est ainsi que je vois les choses, et lui aussi apparemment !....
Pardon, Sébastien, mais je ne comprends pas le sens de ta suggestion...
Parles-tu de compromission par intérêt personnel ?
Les codes affichés sur les vignettes fournisseurs sont bien mais j'ai une autre expérience:
J'ai acheté ma rabot/dégau autrichienne avec une réduction d'environ 19% après négo serrée. Pensez vous qu'un simple code promo "AdBPromo19" sur un rubrique fournisseur permettra la chose ? En revanche, si je prends contact avec le responsable local qui est resté mon interlocuteur, il faudra un autre type de "patte blanche" pour approcher ce type de négo et cela ne se négociera qu"en toute discrétion mais avec le terrain défriché ! Tout ce qui est négo serrée ne doit jamais apparaitre en plein jour pour un vendeur, ne serait-ce que vis à vis des ses collègues régionaux.
LJVS, j'ai pas bien compris... c'est le plaisir de partager une expérience ? ou bien sa propre mise en scène pour masturber son égo ?
Je trouve çà bien lourd et gonflant ce onemanshow à la mode YouTube, comme on en voit partout d'ailleurs !
Bonjour Bricolo36 et merci pour l'intérêt que vous accordez à ce tableur. Si vous confirmez bien un perçage en 9 mm (9?) sans lubrifiant, je confirme bien mes abaques avec:
- acier doux 1061 tr/mn
- acier inox 318 tr/mn
- acier allié 283 tr/mn
Qu'y a-t-il d'étonnant ? Le tableur Excel fonctionne-t-il bien sur votre PC (bug de millésime) ? qu'en pensez-vous ?
N'hésitez pas à me dire si ma présentation n'est pas facile à interpréter, merci.
Refait un affûtage de tous tes outils, forets et ustensiles de cuisine ou de jardin, 1 à 2 fois par an, tu amortis le TORMEK et ses accessoires même pour un amateur en moins de 6 ans ! Garanti vérifié ! Ou bien tu fais comme beaucoup, tu "bricoles" avec des barreaux de chaise, le bois est bien tolérant !
Si tu veux du prix cassé > Par ICI le T4 Tormek
Bricolo36, vous avez raison, les tableaux étaient faux car les avances n'avaient pas été adaptées après avoir recopié les colonnes pour faire le calculateur... Mille excuses et bien vu !
Livraison en France sans problème !
Bonjour, Michel22440
Vous avez raison, mais j'ai déjà pas mal bataillé pour réunir des valeurs d’avance de coupe pour les différents matériaux en farfouillant sur le net. Si par votre compétence, vous vouliez apporter une pierre à l’édifice, n’hésitez pas à me communiquer les vitesse d’avance de coupe et les angles de pointe et de dépouille des forets. Je les modifierai sur mes tableaux et rechargerai une nouvelle édition. Je vous remercie par avance pour votre aide.
Mig
Bonjour PLab,
avec deux poulies, dans l'onglet POULIES, tu saisis tes valeurs constructeur pour tes différentes vitesse sde machine et en 2éme et 3éme colone, les combinaisons données par le fabricant pour y parvenir...
Tu auras un joli tas de poulies intermédiaires inutiles au milieu de ton schéma...
Dis-moi si cela marche - Merci à toi
Bof, le MDF ce n'est que du carton compressé à 200 bars au séchage. Comme dit du mon voisin menuisier pro, c'est pour les c..s pressés 
Je ne suis pas convaincu qu'il y ait trop de bois, d'abord parce que ce style « costaud » s'accorde très bien avec la rusticité du bâtiment, ensuite parce que la double croix casse le côté disproportionné de la hauteur par rapport à la largeur des portes (Chaque portion de croix ne doit pas être très loin du nombre d'or)... et enfin pour la durabilité grâce au mélèze et le principe de la croix de Saint-André qui est beaucoup moins susceptible de se déformer avec les variations hydrométriques ou la fin de séchage d'un bois encore un peu humide. Ton client sera très heureux d'avoir une porte solide, bien balancée et durables, qui ne coincera pas dès qu'il fait sec, ou s'il pleut, ou avec la durée... problèmes fréquemment présents avec les portes lourdes avec écharpes en Z !
Bravo encore, mais tout le village a du venir là pour mise en place dans les gonds, non ? +/- 120 kg/porte, non ?
Zeloko, notre maison t'est ouverte pour le gîte, le couvert et le plaisir de te rencontrer dans le pays de Vannes 56000 - Bretagne Sud ! Ici, de sacrés établissements formateur et le goût du bien faire + tout le secteur de la menuise et charpente de marine.
Le timelaps montre des instantanés successifs par principe, je trouve que cela ne permet pas toujours de comprendre un geste ou une approche car certaines actions sont trop espacées voire "esquivées"... Une vidéo est parfois lourdingue avec des lenteurs et un son souvent hystérique... sauf si on sait faire du concentré sur l'essentiel ou manier l'accéléré par endroits. Attention à la bande son en général très "pilonante" en rock transcendant ou heavy métal hurlant qui donne envie de fuir, parfois une bande son de parole inaudible. Sinon je t'encourage à continuer, ton atelier est sympa, surtout la pause menthe à l'eau ?!
Bravo et prends ton plaisir là où tu le provoques !
Merci bernardrebout ! C'est clair et efficace !