Pour éviter les taches de gras ou de sauce il FAUT protéger.
Pour éviter d'éventuelles émanations (bien qu'une fois sec il ne devrait plus y avoir grand chose (par acquis de conscience les mettre au four (de récup hein, pas celui de la cuisine) à 60°c 1-2h lèverait tout doute)
Sinon huile tung, shellac ou lin pour rester naturel.
Perso j'ai des serre-joints Piher pour lesquels il se vend des protections adaptées (qui tiennent très bien, difficiles à enlever, faut vouloir le faire exprès) très larges (de mémoire 65x45mm pour les gros modèles) : machines-a-boi...2473240141.html , et les petites modèles (pour plus petites serre-joints) : machines-a-boi...2473300234.html
Sinon les meilleurs matériaux pour ne pas marquer le bois sont le liège et le cuir, par contre pour les solidariser à ton serre-joint, c'est pas forcément le plus pratique (ou coudre le cuir comme un capuchon directement sur les têtes…
De manière générale tu extrairas bien plus de choses en chauffant (quelque soit la matière) .
Pour le brou de noix j'étais parti des noix vertes récoltées au mois de juin, broyées et mises à chauffer, puis pressées, le jus obtenu était très (trop) concentré et je l'avais dilué avec un peu d'eau et d'alcool( pour mieux pénétrer dans le bois)
A noter que le jus est jaune au départ et qu'il ne prend sa teinte brune que bien plus tard (quand je fais la liqueur de noix vertes ça met plusieurs mois, je ne me souviens plus pour le brou, ni si l'alcool a un effet retardant le processus ou si c'est du à l'exposition à la lumière)
Salut,
En général on peut considérer qu'il ne reste plus de boutique physique pour acheter des outils de qualité (à part Bordet et Gaignard-Milon pour les parisiens) donc sur le net, soit les deux que je viens de citer, soit en Germanie : Dictum et Feine Werzeuge qui ne vendent que de bons produits dans une large gamme de prix (faire une "bonne" commande pour optimiser les 10€ de port ;) ) avec même des outils en marque propre mais de qualité (série Dick ou Juuma par exemple)
Je te laisse explorer les catalogues et comparer les tarifs 
J'ai prévu d'en réaliser.
Pourquoi un plan ?
Ce n'est pas un "bijoux de technologie" , ça reste un instrument très simple réalisable "au couteau au coin du feu"avec chacun qui fait la sienne à sa façon, y a pas de "design" imposé …
Tu as le choix entre un exemplaire monoxyle ou en deux parties collées, prends 25-26cm de long en moyenne tu es sûr de pas te tromper ;)
Même les pierres naturelles étaient utilisées à l'eau, souvenez-vous des rémouleurs avec leur grosse meule à eau
Une chose est certaine : utiliser à l'eau est parfaitement réversible , si on remarque que ça ne donne rien (je vois pas pourquoi mais bon) on peut toujours changer d'avis et mettre de l'huile (une fois sec évidemment)
Je dirai aussi que la pénétration de l'huile ajoute une "profondeur" esthétique selon les bois.
Pour ce qui est de la saturation en huile, je pars du principe qu'une goutte d'huile déposée en surface va être absorbée et quelques temps après la surface apparaitra comme "sèche" et si on redépose une goutte, le même phénomène se produira (c'est encore plus flagrant en bois de bout).
Donc pour moi une bonne imprégnation en profondeur au départ me parait plus satisfaisante. En général je cire après ressuyage en réchauffant la pièce et essuyant ce qui perle…
Pour les huiles siccatives certains disent qu'il ne convient pas d'avoir mis une huile non-siccative avant, d'autres disent que ça n'a aucune importance…
J'aurai tendance à penser que la première huile (non-siccative) aura pénétré puis laissé une surface "semblant sèche" qui ne posera guère de problème pour la réticulation (on n'est pas dans le cas d'un vernis hein) , tout n'est qu'une question de temps (on ne peut pas faire tout ça en qques jours évidemment)
Je considère une huile non-siccative comme ayant le comportement montré à gauche, et une siccative celui de droite (c'est l'illustration de ce qu'on appelle les "huiles dures" ou "huiles pour parquet")
Suis-je dans l'erreur ?
Je l'ignore…
Réponse bien intéressant :)
Mais en effet pas exactement celle attendue 
Je lis souvent que le modèle Stanley 151 et ses clones aurait une lumière trop large et donc serait plus à l'aise pour du dégrossissage que du travail fin… mais je ne me rend pas compte de combien elle est "grosse" justement : est-ce 1mm ? 2mm ? Plus ?
La Veritas est vantée pour la finesse de sa lumière, et même fournie avec des cales pour en faire varier l'épaisseur (en décalant le siège de la lame) pour autant j'imagine que l'on ne peut pas appliquer la même recette avec le même succès sur tout autre modèle, il y a forcément une limite dans le jeu entre l'angle du siège, l'épaisseur de la lame et la largeur totale de la lumière…
Quels sont donc ces 3 modèles à si fines lumières ?
Y a t'il vraiment une différence sensible entre les deux 0,8 et 1mm qui ne soit compensée par un réglage de hauteur de lame différent ? (j'imagine du coup qu'elles sont toutes les 3 réglées une fois pour toute non ? )