Les canoës sont fabriqués en "Red Cedar" dans leur région d'origine car c'est le bois qu'on y trouvait, ça ne dit absolument pas que c'est LE bois idéal pour ça. (juste que c'était le bois idéal localement accessible) , on a fabriqué des embarcations sur tous les continents…
Si tu écoutes le web, y a que le bois d'oranger des Osages qui serait valable pour faire un arc… heureusement que les archers européens n'ont pas attendu la découverte de l'Amérique pour tirer 
A moins de vouloir faire une reproduction à l'identique d'un modèle particulier (ou d'avoir un budget en conséquence) tu es souvent obligé d'adapter ton projet au bois dispo en France (choix un peu pauvret comparé à d'autres pays il est vrai)
Pour le red cedar, notre bois local facilement accessible qui a l'air de s'en rapprocher mécaniquement le plus serait l'épicéa (un poil plus lourd et plus dur et résistant)
A ma connaissance il n'y a pas de résine époxy qui soit plus ou moins adaptée à ça (il y a peut être des fabricants qui ont investi dans une certification, ce qui ne veut pas dire que les produits concurrents sont différents)
La résine époxy n'est pas toxique une fois réticulée.
(attention, c'est tout le contraire quand elle est fraîche !)
A partir de là je pense que n'importe quelle référence fera l'affaire (juste que les "rapides" sont quasi tout le temps un peu moins solides que les "normales", mais dans ton application ça n'a pas d'importance, à moins que tu ne stockes une demi-meule de conté en porte-à-faux 
)
La première chose qui me vient à l'esprit serait un arbre qui produit de l'acide prussique, l'ancien nom de l'acide cyanhydrique (cyan , bleu de Prusse, vous voyez la relation quoi)
Donc un arbre dont les feuilles ou les fruits (les graines plus précisément) ont un fort goût/odeur d'amande amère.
Je pense par exemple à un alisier, un sorbier, un cormier (ou du moins un cousin de la famille des rosacées, tels l'amandier, prunier etc. donc les amandes produisent ce même composé)
Tiens, un pdf qui présente un peu ces arbres : environnement....er_francais.pdf
En tout cas, retournes le voir fin octobre, il devrait être magnifique.
Il te faut manipuler la matière "bois" pour faire connaissance avec, commencer par de petits projets accessibles (pour pas te dégoûter/décourager d'emblée) et variés pour que tu voies un peu ce qui te plait le plus (le contact avec la matière ou plutôt la maîtrise parfaite des côtes et la manipulation de grosses machines, l'art de la finition etc.)
Et si tu commençais par un tout petit truc simple faisable sur un coin de bureau ou de canapé ?
Genre
D'un point de vue légal, il te faudrait normalement être déclaré : economie.gouv....eclarer-revenus
Mais il me semble qu'il existe une tolérance, certainement dans un autre texte, ou jurisprudence (?) , et de mémoire ça retombait sur les 3000€ comme la vente d'objets d'occasion… faudrait retrouver pour être sur.
Ça c'est la théorie, dans la réalité, peu déclarent, et notamment pour débuter.
Il est évident que pour l'amateur qui débute et qui ne sait pas s'il va persister ou comme toi ne part pas dans le but vendre mais souhaite le faire de manière occasionnelle sur sollicitation, on n'est pas dans une situation d'entreprise et qu'en-dessous de quelques centaines d'euros c'est pas très tentant de suivre la "voie normale"
Ensuite quand tu vois que ça prend une tournure plus régulière il convient de régulariser la situation. (ça arrive qu'un amateur se lance pour le plaisir, que de premiers clients lui demandent des pièces au bout seulement de qques mois et qu'au final contre toute attente ça débouche sur une reconversion pro (ou au moins une activité complémentaire durable)
Pour le "juste prix" c'est très complexe.
Il y a le tarif qu'un pro demandera en appliquant une formule (prix de revient * x% de marge) , celui que tu trouves sur des nids à arnaques genre Etsy (objets venant de Chine, à peine retouchés en France (voire pas du tout) revendus avec une marge + la marge de la plateforme) , le prix que tu pense juste de demander… et le prix que le client pourra payer surtout !
Car pour le même objet, si un pro le vend 50€ qui convient au porte-monnaie du client Jacques Durand mais que le client Jean Dupond n'est pas prêt à mettre plus de 30€ , ben en lui vendant à ce prix tu n'auras pas "volé" le pro puisque M. Dupond ne lui aurait de toute façon pas acheté…
"Faire baisser le prix du marché" est aussi un point de vue… mais est-ce que le prix du marché n'a pas été augmenté par d'autres à un autre moment ? Et est-ce que c'est ceux qui montent le prix du marché qui ont plus raison que ceux qui le feraient baisser ? Difficile de répondre… y a des domaines où les prix sont tels que le client "moyen" se trouve exclus, le marché devient "de niche" (puis les pros se plaignent que les clients achettent des produits d'importation) , il peut y avoir des variations locales (tu vendras pas le même prix à St Tropez qu'à Roubaix car la clientèle n'a pas le même pouvoir d'achat ni les mêmes habitudes de consommation)
Tu as des gens qui se lancent avec des idées et des méthodes de fabrication qui leur permettent d'être bien plus rentables que des pros installés plus anciennement… du coup ils ne devraient pas vendre moins cher pour autant pour pas concurrencer les autres ? Certains sont de cet avis, d'autres non, il n'y a pas de réponse tranchée…
Si je comprends bien la question de base, tu souhaites autant que possible utiliser des matériaux naturels (sains, écologiques, éventuellement facilement réparables) pour ton projet.
Si on s'inspire des utilisations des époques précédant la notre, on voit que le plus léger consiste à tendre une peau sur une ossature en osier ou en baguettes de bois (comme les tentes ou les canoës) .
Difficile à concevoir aujourd'hui, je te le concède
Mais on peut bien imaginer remplacer la peau par des matériaux "modernes" (laine type yourte + capote polyester lors de pluie ? ) en gardant l'idée d'une ossature légère en osier et utiliser du rotin (en gros diamètres, genre 2,5-3cm) pour la structure générale qui a l'avantage de pouvoir être courbé aisément et donc limier les assemblages (on pourrait aussi penser au bambou, mais perso je craindrai la casse au niveau des jonctions avec les cahots du transport, mais peut-être pas, faudrait envisager les bonnes techniques d'assemblage en s'inspirant des charrettes asiatiques/malgaches)
Tout ça c'est je pense l'optimum du poids.
Il te faut cependant préciser tes autres besoins, comme la résistance à l'effraction (est-ce que tu dois pouvoir avoir une cellule fermée de manière à limiter le vol ? Ou est-ce qu'une sorte de conception avec un double-fond pour y sécuriser tes affaires suffirait ?)
Est-ce que tu as besoin d'installer une sorte de chaudière avec conduit de fumée ?
etc.
Au plus tu établiras de critères, au plus ça guidera la conception finale et ça dictera les choix techniques et de matériaux utilisables…
Enfin, je ne saurais trop te conseiller de faire un essai le plus basique possible en empruntant une remorque déjà existante et en la chargeant pour déterminer ton poids de traction de confort maximal, car c'est lui qui déterminera le reste (tu n'as pas précisé si tu utiliserais une assistance électrique pour ton vélo) : si ta limite de traction efficace est seulement de 20kg par exemple, tu seras limitée à une sorte de tente pop-up à poser sur un plateau !! 
Ta cuve sous le cyclone fait quelle hauteur à l'intérieur ?
Faut pas que le fond soit trop près du haut, et il me semble qu'il y a un rapport Ø/hauteur à pas dépasser (faut pas que ce soit trop bas du plafond quoi)
Egalement : si t'as trop de copeau/air tu n'as plus assez d'air pour créer le tourbillon séparateur dans le corps du cyclone et encore moins dans le haut de ton fût.
L'effet Venturi se prolonge dans le haut du fût en fonctionnement normal, c'est ce qui permet aux copeaux de ne pas être de suite ré-aspirés par le flux remontant, l'inertie des copeaux aidant (c'est aussi pour ça que les fines poussières à très faible inertie remontent)
J'ai fait une paire de baguettes en cumaru (photo en finition brut de ponçage puis polie) en approchant la forme au rabot (merdique 1er prix de brico machin) puis fini à la râpe et abrasif à la main (on pourrait aussi finir l'ébauche à l'abrasif en rotation genre lapidaire ou ponceuse rotative posée en stationnaire)
Ça se fait très bien, après faut pas vouloir obtenir un résultat "industriel" 100% identique d'une pièce à l'autre.
Pour ça faut se faire un gabarit mais pour seulement 3 paires tu passeras plus de temps sur le gabarit qu'à les faire "à main levée" ;)
Le bois ne sera pas consommé, de plus il n'est pas toxique, donc aucun souci de ce côté là. (il contient de la coumarine, à laquelle certaines personnes peuvent être allergiques, mais tout comme la cannelle, la fève tonka (dont il est l'arbre) , certains thés, épices, dentifrices ou encore la Żubrówka… et surtout les quantités contenues dans le cumaru font que c'est un non-sujet, sauf en matière d'inhalation des poussières lors de l'usinage qui est très dangereuse)
Pour l'aspect désaffutant, c'est lié aux grains de silice qu'il contient, je pense que si l'on ne pénètre pas sa matière ça ne désaffutera pas plus qu'un autre matériau de même dureté.
La balance entre planche durable ou moins désaffutante est toujours à évaluer en fonction de sa situation…
Là où je ne le conseillerai pas en bois de fil c'est au niveau de sa tendance aux échardes.
Par contre en bois de bout ceint d'une bordure dans une autre essence, pas de souci.
Attention de bien mettre des gants pour l'acide oxalique, pas seulement pour le pH mais aussi pour sa nocivité au contact cutané lors de l'application (pas d'inquiétude pour le contact avec le bois une fois lessivé)
Pour retrouver la teinte éclaircie par l'acide oxalique on peut tenter un peu de soude diluée, à tester localement d'abord… ça peut marcher ou donner des surprises en fonction des tanins et autres.