
Erebor
S'il s'enfuit c'est qu'il est très pressé

Les Urgences "générales" ne sont pas les plus à mêmes de traiter ce problème "épineux" , ce sont les cliniques de la main (ou les services "urgence main" de certains hôpitaux) qui sont les plus indiquées, avec des chirurgiens qui ne font que ça toute la journée ;)
J'ai pu en faire l'expérience, avec encore des séquelles 10 ans après, tellement nerfs, tendons et ligaments sont nombreux et finalement peu protégés dans la main. Mieux vaut un ultra-spécialiste pour aller farfouiller là-dedans, plutôt que le premier interne qui te prend ou bout de 20h de garde…

Oui, ça limiterait la survenue du blocage mais est-ce que ça l'éliminerait ?
Sinon un trou sur le flanc de la paroi, débouchant sur une fente dans la pièce mobile, pour permettre un déblocage à l'aide d'un simple tournevis plat…

Folgansky Ton idée fonctionnerait donc sur le seul poids de la partie la plus excentrée c'est ça ?
Pour mon design tu veux dire le risque que ça bascule avant ? oui, suffit là aussi d'excentrer l'axe mais au contraire, vers la partie la plus lourde pour éviter tout basculement indésiré et ne pivoter qu'au passage de l'ergot (et arrondir les angles pour pas que ça racle à la fermeture…
Réflexions intéressantes :)

GillouSpitzbuewe
Merci, ouaip c'était bien utile, mais je dois avouer qu'il est devenu de moins en moins amovible, au grand désespoir de ma femme
Depuis j'ai déménagé, et je n'ai plus du tout d'établis, j'i donc cessé tout bricolage, juste fait un peu de vannerie, en attendant de trouver la maison de nos rêve, et là, alors là… j'aurai un plus gros établis PERMANENT !!

Erebor > si la législation semble privilégier les industries tout les artisans doivent y également la respecter
Oui, en théorie.
En pratique, comme je l'avais déjà évoqué : si pour se mettre en conformité l'artisan doit payer le même prix que l'industriel (le prix du test de son modèle par un organisme compétent) et bien les choses deviennent tout simplement impossible à rentabiliser.
En théorie tout est possible.
En pratique si t'es petit t'es mal barré.
Le fait que le fonctionnaire demande un document qu'il est dans l'incapacité de nommer est symptomatique du capharnaüm administratif et juridique français.
Il se peut qu'un tel document existe (comme il se peut qu'il n'existe pas, mais qu'il soit exigé quand même) mais personne ne sait où le trouver, sans parler de savoir s'il concerne l'artisan ou pas, ni si une réglementation européenne se juxtapose (ou pas) …
Mais c'est à l'artisan de se démerder…

Lorsque je m'étais renseigné à l'époque il m'avait été communiqué les éléments suivants:
Pour apposer le marquage « CE » sur son produit, le fabricant doit réaliser, ou faire réaliser, des contrôles et essais qui assurent la conformité du produit aux exigences essentielles, notamment de santé et de sécurité, définies dans la ou les directives concernées.
La base normative concernant les luminaires que je voulais réaliser était EN 60 598-2-1
Il fallait notamment certifier les paramètres suivants :
- Protection contre les chocs électriques
- Protection contre la pénétration des corps solides et des poussières
- Protection contre l’humidité
- Protection contre les dommages mécaniques
- Comportement au feu
Personnellement j'étais bien incapable d'effectuer les essais calibrés me permettant de certifier ces différents paramètres, il me fallait donc passer par un laboratoire spécialisé.
Le coût était largement dissuasif.
Maintenant si on me dit que ça peut être fait sur une base purement déclarative théorique (sur l'honneur ?) ça me va très bien et je pourrai reconsidérer mon projet abandonné… :)
Il apparait que les chose ont évolué en 2016 : emitech.fr/fr/...ganisme-notifie
Deux grandes catégories de procédures d’évaluation de la conformité peuvent se présenter :
La procédure d’autocertification (Module A) : le fabricant est alors autorisé à effectuer le contrôle des produits sous sa propre responsabilité. Il peut effectuer les éventuels tests et essais au sein de son entreprise ou bien passer par le laboratoire de son choix.
L’obligation de recourir à un organisme tiers dit "notifié" qui analyse votre dossier technique et vos preuves de conformité en respectant une procédure particulière déterminée par la ou les directive(s) applicable(s).
Le cas A " suppose de faire référence aux normes européennes harmonisées et d’avoir les moyens techniques et humains nécessaires pour réaliser les essais permettant d’attester de la mise en conformité."
On n'est clairement pas dans le cadre de l'artisan qui produit à l'unité;
Ou alors je fais complètement fausse route depuis des années..?

Très bien tout ça
Le flux d'air n'est donc pas régulé en faisant varier la surface de la bouche d'entrée (ou de sortie) ?
Tu privilégies un mode ou l'autre en fonction de l'ensoleillement c'est ça ?

En ce qui concerne la stérilisation, c'est plus le temps de chauffe qui va garantir le bon fonctionnement.
Oui et non : c'est le couple t°c/durée qui compte. (et la pression, le pH et la taux d'humidite mais bon )
Faudra bcp plus de temps pour stériliser à 118°c qu'à 122°c.
Dans l'industrie on comptabilise même le temps de mise en chauffe et celui de refroidissement (la somme du temps passé à chaque t°c valide la stérilisation efficace)

Je m'étais renseigné là-dessus y a qques années, ma conclusion de l'époque : pour être parfaitement et indiscutablement dans les clous il faut faire certifier le modèle par un laboratoire (pas chaque unité hein, juste "valider le design, un étalon quoi, mais ça veut dire aucune variation pour les exemplaires produits par la suite) et ça coûtait dans les 12 000€… donc complètement irréaliste.
C'est comme pour bcp de domaines : les lois sont faites par et pour les gros industriels.
Pour les tout petits fabricants à l'unité, tout ceci est inapplicable, donc c'est le "pas vu - pas pris" qui prévaut, avec tout ce que cela peut comporter comme inconfort (peur de se faire prendre)
J'ai déjà eu des conversations ubuesques avec la dgccfr, les impôts et les chambres de commerce/industrie (je dis "les" car parfois les unes ne disent pas la même "loi" que les autres, tout ça car rien n'est clair, rien n'est prévu dans les détails et tout se règle par jurisprudence) où tout le monde se renvoie la balle et bute en touche…


Pour la solution il faut des ions, le plus facile c'est le sel de table, le bicarbonate, la lessive de soude… mais… le pH ainsi augmenté peut teinter le bois.
Rien n'empêche de compenser avec un peu de vinaigre, il n'y a ici pas de question d'annulation de l'un par l'autre : la quantité d'ions dissous (en fait la conductivité du mélange) ne fait qu'augmenter.
Faut tâtonner, essayer…
Les meilleurs résultats (le dessin le plus ramifié, détaillé et fin) sont obtenus avec les tensions les plus élevées (5000 V) des alimentations de néons d'enseignes. ensuite viennent les alims de µ-ondes (1500-2000V) , en dessous c'est pas assez, ça dure trop longtemps, le "front de chauffe" avance trop lentement et du coup le bois brûle en profondeur et le dessin est trop incrusté, large et baveux (et ramifie peu)
Toutes les précautions s'imposent évidemment.
Ma méthode sûre : tu positionnes tes électrodes fixement, tu t'éloignes de plusieurs mètres puis tu enclenches un interrupteur déporté, et sous aucun prétexte tu ne te rapproches sans avoir interrompu le circuit (perso je débranche carrément la prise, seul moyen d'être 100% certain de ce qu'on fait)

Pour créer le logement du mécanisme (CrushGrind si je ne m'abuse) tu as utilisé l'outil dédié ( axminstertools...2587_manual.pdf ) ou tu as contourné la difficulté ?
Ara > Il fait quelle pression le serre-joint à pompe ?
Les bons serrent autour de la tonne, dans ton exemple ça en ferait 1 tous les 10cm