Echauffé, oui, mais pas du hêtre, au moins ça c'est certain ! 
Un plateau de ponçage monté sur une meuleuse c'est toujours mieux que rien, un minimum souple pour minimiser les traces de bord…
Par contre les disques à meuler c'est clairement à exclure.
C'est à peu près les vitesses de certaines excentriques 150mm.
Mais on est bien d'accord qu'il s'agirait uniquement de dépannages, pas de l'outil idéal
(les meilleures meuleuses ont aussi des vitesses variables, ce qui les rend très polyvalentes, finalement seule l'excentricité fait la différence avec une ponceuse, ergonomie mise à part))
Super, chez quel vendeur ?
Ah, tu as du demander le "service" c'est ça ?
Ce n'est pas proposé de base.
Bon à savoir en tout cas :)
Il n'est pas du tout indispensable de mettre des platines (métal) en plus des plaquettes (bois) , du moment que ces dernières sont suffisamment épaisses (au moins 4mm au doigt mouillé)
Il est intéressant d'adapter le diamètre de l'axe à l'épaisseur de la lame (pas plus fin que l'épaisseur de lame) , le mieux étant un métal dur, inox par exemple (mais on fait surtout avec ce qu'on a…)
on aura un frottement acier sur bois ce qui va entraîner un usure du bois relativement rapidement et donc du jeu dans le mouvement de la lame.
Il faut bien entendu ajouter des rondelles les plus fines et larges possible de part et d'autre de la lame.
Très très sympa, beau travail :)
(le dessin du "cul" n'est pas sans rappeler les productions de feu 10:15… google.com/sea...=1041&dpr=2 )
Je connaissais pas, en effet, pas mal :)
Joli !
Dis-donc, pour la queue ça a du être "coton"… non ?
Oui, avec une boîte à coupe pour rester guidé précisément.
A la scie circulaire ?
Quel type de lame ?
Bravo pour ta démarche et ta présentation bien intéressante (ça m'a fait revenir mes années en Wavehopper)
Il te reste les kayaks de mer ensuite, mais pour des modèles "de bureau" plus que de poche 
dneis
Tu as reproduit le Pitalugue ? 
t'as monté la tête à l'envers !!!
En vrai elle est trop cool 
(sauf la tête 
)
Je sais bien, mais que veux-tu, quand on est puriste pointy-head, on s'étrangle tjrs en voyant une reverse
Les huiles, si appliquées sans siccatif, solvant
Le principe du solvant c'est quand même de disparaître une fois l'huile "sèche" , comme pour les résines, ça pose un souci de sécurité au moment de l'application du produit mais normalement plus du tout après la prise/réticulation/polymérisation/séchage…
Pourquoi ?
Erebor
Du coup certains bois devraient être exclus aussi, notamment ceux contenant de la coumarine, autre substance allergisante soumise à étiquettage… si on veut rester cohérent.
Exit le chêne donc ?
A noter que depuis juillet les bouteilles de vins doivent comporter la mention "contient des protéines d'œuf"
Heureusement que les pâtissiers ne se posent pas la question de savoir s'ils peuvent encore utiliser du blé, du lait, des noisettes ou des œufs
l'ebonisation et ne sert qu'à noircir un bois tannique (chêne, châtaignier...) c'est purement esthétique et n'offre pas de protection.
A voir… pas certain que ça n'ait pas un effet sur certains consommateurs du bois, faudra que je teste (un jour)
dans la mesure où elle est comestible, je ne vois pas où pourrait être le problème
Comme tout aliment : une fois qu'il s'est dégradé il peut devenir toxique. Mangerais-tu de la viande conservée à l'air libre pendant 2 mois ?
L'huile de pépin de raisin rancit. Les composés libérés sont cancérogènes.
Juste pour préciser les choses : on parle bien de jouets de bébés qui vont être mis à la bouche hein, parce qu'à partir de 3 ans (hors handicap) c'est bien moins important, voire plus du tout préoccupant.
Du fait de cette très faible épaisseur de réaction d'ébonisation,
En imprégnant bien la pièce avec une solution tannique et plusieurs applications d'oxyde de fer comme décrit ici
, j'avais quand même obtenu une profondeur d'1 à 1,5mm. On est d'accord que ça dépend bcp du bois et du fil(c'était du bois de fil de coudrier) ainsi que de la mouillabilité de la solution, essayer avec de l'alcool…Il y a aussi des zones qui prendront jamais la teinte sur certains bois comme ici :
En tir à l'arc on avait des blocs de mousse traversés par deux tiges filetées (placées en haut et en bas, en-dehors des zones "théoriques" de tir, ce qui permettait de remplacer les blocs du centre (ou de les intervertir avec les extérieurs). Le tout était maintenu compressé latéralement par deux planchettes et les écrous sur les tiges.
On pourrait imaginer ce système avec les blocs en bois dont les centraux seraient maintenus pas pression des autres, sans collage…
Protège-doigt de tir à l'arc chasse aussi.