Bonjour, pas en chêne pour moi, ni de buis.
Le dessous de la traverse d'assise me fait penser à du frêne, bois souvent utilisé dans les fabriques de sièges.
Mais aucune certitude, d'autant que j'observe aussi la finesse du grain, me faisant penser à d'autres essences.
Il n'y a rien de tel qu'avoir le bois en main, pour "sentir", soupeser, mettre à la lumière pour enfin être sûr de soi
Bonjour, du frêne à première vue, même si les petites taches blanches surprennent...
Le coté rosé est tout à fait possible. Selon les endroits où les bois poussent, le sol apporte sa part de "chimie". J'ai par exemple mes portes et escalier en frêne que j'ai abattu sur un monticule qui était constitué des déblais de petites carrières de fer de mon village. A coté , un frêne blanc fait "pâle figure".
Bonjour, tu as là un rabot de qualité!
Qui dit retapé dit avoir peut-être ciré ou vernis la surface sur laquelle s'appuie le fer, ce qui peut provoquer son glissement....même chose pour le coin et la rainure dans laquelle il se serre...donc, petit coup de PV pour rendre de l'adhérence.
L'écart entre le fer et le contrefer est bien.
Si tu fais un gros copeau, c'est qu'il a trop de prise...donc diminution de la saillie....
Ensuite, comme toute chose, il faut acquérir le geste. En veillant au sens du fil, etc....
Bonjour,
voici 2 images montrants différentes coupes de profils un peu anciens.
Mais ils peuvent t'inspirer pour créer ton propre profil. Maintenant, c'est un peu une petite "aventure" que de fabriquer des fenêtres sans un ensemble d'outils spécifiques. C'est en tout cas comme ça que j'ai fabriqué mes premières fenêtres il y a 35 ans, par contre en enfourchement simple ( faites au ruban) et avec peu de fraises à feuillure.....Pour info., je passes toujours devant et suis content qu'elles tiennent toujours.
Très vite par la suite , j'avais acheté d'occasion un groupe complet d'outils Leitz.
Par contre, un vitrage 4G16, soit 24 mm me semble un peu épais par rapport à tes bois!!! Solution: soit diminuer l'ép. du vitrage ( du 4G12) soit augmenter l'ép. du bois....
Bon courage.
Bonjour, OUI, il faut le laisser se ressuyer.
Donc, quelques semaines sous la flotte, les plateaux bien lattés. Et s'il ne pleut pas, protéger du soleil. Le séchage naturel du bois est un vaste sujet, et il varie selon les essences. Une pratique intéressante est le stockage vertical. Compliqué à mettre en oeuvre mais idéal pour vider le gros volume d'eau.
Je ne suis jamais fan de mettre des planches horizontales lorsqu'elles sont exposées à la pluie.
J'aurai plutôt tendance à glisser 3 lisses horizontales, suffisamment dimensionnées, quitte à "amincir" les extrémités pour qu'elles rentrent das la rainure béton de 35, puis à fixer des planches de 20, 22 mm d'épaisseur cette fois ci verticalement. Et pourquoi pas de chaque coté , avec un décalage. Ce que j'ai déjà fait et qui vieillit bien, c'est la pose de planches brutes mais en clin, ce qui veut dire que la seconde planche verticale( je précise) recouvre la précédente de 15 à 20 mm. L'effet est sympa. De plus, l'espace triangulaire créé entre les planches et les lisses permet l'évacuation de l'eau qui aurait tendance à stagner sur les parties horizontales. L'idéal est aussi de créer une pente sur le dessus des lisses. Me suis-je bien fait comprendre??? Mais se pose la question : de quel coté va-t-on voir les lisses? A négocier avec le voisin. Personnellement, je lui offrirai la plus belle vue!
Je vais essayer de télécharger SU et de faire un croquis, que je joindrai prochainement.
Bonjour, je vais répondre à cette interrogation avec les différentes casquettes que j'ai portées depuis ma jeunesse....
Tout d'abord, ce test de positionnement n'est certainement pas difficile!! L'objectif du centre de formation est "d'avoir" du monde à former.....Les gestes vont passer par un travail de traçage par rapport à un dossier( ça peut n'être qu'une feuille), quelques traits de scie ( bah, il faut apprendre à tenir une scie!), et puis certainement la tenue de ciseaux à bois ( pareil, un peu d'expérimentation pour ressentir la matière, sa dureté ( résistance) son fil (homogène ou pas). Ce qui plait, c'est le coté organisé, sans toutefois être trop "kékette" ( je sais pas si ça se dit en dehors de chez nous!!!, mais ça veut dire l'inverse d'organisé).
Ce qui est important est effectivement d'avoir une certaine habileté dans les gestes professionnels. Ces gestes sont innés pour certains, demandent un peu ou beaucoup d'exercice pour d'autres et pour quelques uns, ils ne s'acquièrent jamais.
J'en fais le constat en tant que prof, avec des ados. J'ai aussi formé des adultes, et dans les groupes, il y avait des gars, qui partant de rien, montraient une capacité extraordinaire à appliquer les consignes et autres enseignements. Ils ont trouvé du travail à l'issue du CAP en 8 mois, soit dans leur entreprise où ils ont effectués leur stage, soit en créant leur boîte!!!
Ce qu'attend un entrepreneur, c'est quelqu'un qui est immédiatement "utile", ce qui veut dire "productif". Donc, il va chercher à reconnaitre en quelqu'un , sa capacité à apprendre vite et bien. Le tuteur, en entreprise ne manquera jamais une occasion de corriger un geste, d'indiquer une méthode, etc. mais en espérant qu'elle soit par la suite appliquée. Le métier PEUT s'apprendre sur le tas: il faut montrer de la curiosité, de la persévérance, du courage.
Ne pas hésiter à demander à son tuteur ses vieux bouquins: ils se lisent comme un livre de chevet. A mon âge ( pas si vieux que ça mais ......) quand j'en trouve un, j'ai plaisir à le lire. Et ces livres sont riches de connaissances. Et on est pas obligé de tout connaître. J'avoue que je me sens tout petit devant des réalisations, pas qu'elles soient compliquées, mais parce qu'elles représentent une somme de travail immense....Attention aussi à l'ouvrier trop lent. Un patron attend de la productivité. Mais quand il y a répétition de geste, l'assurance vient et c'est magnifique la gestuelle qui s'opère.
Je peux pas dire grand chose pour le coté financier: c'est un vaste sujet et chacun cherche son intérêt, mais je reconnais que cela produit des dilemmes.
Bon courage dans le projet!
Bonjour, après en avoir acheté, trouvé, ensuite offert, je garde les 3 ou 4 qui me restent (des tout simple ou à cliquet). Ils sont bien pratiques. Pour en trouver, il faut aller dans les brocantes, ou chez Emmaus, voire chez un brocanteur. Je suis persuadé que ça se trouve encore facilement. Bonne trouvaille!
Si le "cours" du noyer dans votre région est de 1500€/m3, ce qui me parait acceptable, le coût MP est donc d'environ une centaine d'euros. Pour donner un coup de dégau., le vendeur demande 150€, ce qui me parait excessif. Maintenant, il joue certainement sur la rareté ( en tout cas, c'est le cas dans ma région).
Il faut aussi comparer avec d'autres offres.
Bonjour,
jeune apprenant, je ne m'étais pas fait une boite à suif, mais dans le m^me principe une boite pour ma pierre à huile. Le bois choisi à l'époque: un morceau d'érable.
Ne pas hésiter à choisir un bois dur au contraire. ET l'entaille ( le trou) a exécuter tout doucement par enlèvement de copeaux au ciseau à bois. Il y a une méthode, largement éprouvée..... je ne sais si elle a été présentée sur ce site? Si besoin, je pourrai m'étendre. Mais le mieux est une vidéo montrant le geste.
Bonjour, c'est une combinée dégauchisseuse-raboteuse-toupie voire plus, de l'ordre du jouet pour enfant....bien que jamais je n'aurais laissé un enfant s'amuser avec. Bien qu'il n'y ai pas d'objet usuel pour en connaitre les dimensions, j'estime sa longueur à environ 700 mm: à confirmer.
Je n'ai jamais vu ce type de machine miniature en vrai, je n'en connais pas la provenance.
Bonjour, la photo n'est pas assez "bonne" pour distinguer avec précision les essences de bois. Je dis les essences,parce que j'en distingue 3. Apparemment, les 4 pièces carrelets sont en chêne, tout ce qui est traverse , une autre essence et enfin les panneaux un 3ème bois (un résineux? Une photo plus proche avec le nœud aiderait). Et une photo de l'angle aussi...