Bonjour,
je rajoute que l'appui béton doit être dimensionné à ce qu'il permette que le rejingot se trouve en arrière de la face intérieur du mur, de façon à ce que l'eau coulant le long du cochonnet et du tableau soit canalisée vers l'extérieur par le rejingot. Bien veiller à coller le compriband , sans interruption ,sur au moins 20 cm de haut sur le plat des montants dormants et sur la sous face de la pièce d'appui. Il y a donc 2 "virages" à négocier"!!!!
Pour la question de feuillure ou pas, oui, créer cette feuillure semble apporter un casse-goute supplémentaire, mais d'abord, il en existe déjà un! L'inconvénient, est qu'il diminue la hauteur entre l'appui béton et la sous-face de la pièce d'appui bois, ce qui participe à l'esthétique, certes, mais qui ne facilite pas la pose de produits de finition ( lasures, peintures) dans le cadre de l'entretien...
~~Je ne parviens pas à me déterminer: je ne suis pas convaincu que ce soit du chataignier, la planche de gauche étant "rosatre", qui me ferait penser à du frêne, mais sans plus.
D'autres photos,avec des lumières différentes seraient les bienvenues. Il ne reste pas une partie avec écorce et aubier????~~
Bonjour,
le "tasseau" entouré en rouge est plutôt ce qu'on appelle une traverse. Elle sert essentiellement à créer un écartement précis et aussi à maintenir le coté droit de l'établi qui n'est formé que d'un panneau et dont la liaison avec le plateau de dessus serait fragile . D'ailleurs, le meuble de droite est conçu de la même façon...
Pour la conception, il y a plein de "recettes". Je pense que chacun doit se lancer, avec ses propres observations, des croquis, fruits de réflexions. Une bibliographie participe grandement à ces études de cas... y compris les bouquins de bricolage qui se trouvent dans les brocantes et autres dépot/vente..
Il faut aussi accepter de passer par des erreurs de conception et aussi tenir compte de son propre équipement.
Bon courage
Bonjour, le mieux est de faire une copie de ce qui existe....c'est ce que j'ai fait il y a une trentaine d'année dans mon village, même s'ils étaient constitués de 4 ou 5 panneaux d'environ 1,8 m x 0,6 de large inclinés ( de mémoire à 45°) et recouverts de zinc. Heureusement, c'est un couvreur qui s'est occupé de la pose de cette vingtaine de px sur les 4 façades. Et à l'époque, SANS échafaudage extérieur!!!
Les photos montrent des abats-sons en "persiennes". L'angle courant est de 40°.
Bon courage!
Bonjour,
le débit le plus simple et souvent le plus efficace. Attention cependant à la libération des tensions du bois et là, bienvenue dans le club de ceux qui n'obtiennent pas du premier coup ce qu'ils attendent du bois!!!!
Dans ce cas, si l'ép. de l'avivé est suffisant pour extraire le 50 mm de large du profil (donc du 54 mm bien plat!), j'effectuerai le débit de gauche, en délignant à 24+4ou5 mm de plus pour effectuer le corroyage.
Le délignage au ruban a tendance a moins libérer ces fameuses tensions, bien que.....
Il n'y a plus qu'à se lancer!!!
Bonjour, je ne vois aucune restriction: les variations dimensionnelles ne vont pas compromettre l'assemblage des différents éléments, les "panneaux" étant dans le même sens. L'épaisseur du bois participe à la bonne tenue également. Privilégier des plateaux de bois en faux et/ou (vrai) quartier .
Bonjour, je lis bien qu'avec d'autres rubans, il n'y pas de "danse", donc on écarte un problème de machine.Il reste, pour moi, 2 explications, dont la première a été écartée: la présence d'une crique ( mot employé par chez nous pour parler d'une fissure) ou alors un dos non aligné comme suggéré plusieurs fois. Je n'ai pas vu de proposition de méthode de contrôle comme celle que voici.
Poser le ruban sur un établi, la lame bien à plat et maintenir en hauteur l'autre brin. Cela dégage la place pour observer la rectitude du dos de la lame avec une règle (d'environ 1 m et idéalement métallique) posée contre et au niveau de la soudure. Il est possible que le soudeur n'aie pas vérifié le résultat de son travail, que son ban soit défectueux, etc.. Si c'est le cas, c'est un lot à retourner..
Bonjour, nous nous retrouvons dans les problèmes de langage...
Le chainage consiste à "rigidifier" un mur et surtout à solidariser chaque mur par leur angle.
En maçonnerie, il consistera à couler un béton périphérique, renforcé par un ferraillage.
En OB ( ossature bois), une lisse supplémentaire viendra lier tous les éléments composant ces murs, comme le montre le croquis de Oak. J'ai tendance à rajouter un feuillard allant chercher dans chaque angle un peu de résistance au cisaillement.
Etienne évoque les ancrages (tirants bloquès par des platines en fonte ou en fer forgé: la date de construction de la maison est parfois indiquée avec ces derniers.) Cette rigidification est importante à prévoir selon le mode constructif.
Mais, dans la question, il manque une information: cette structure porteuse de 5m² va-t-elle être posée sur ou entre 4 murs.
Quant au contreventement, c'est à aborder également selon l'environnement de pose...
Il est donc bienvenu de décrire plus complétement le projet et/ou de mettre des photos.
Bonjour,
c'est tout à fait réalisable. Je vois un contreplaqué inséré dans une cadre. C'est ce dernier qui donne la solidité. Un ensemble de profils en BER ( bois exotique rouge) tels que présentés sur 2ème schéma peut convenir.
Acheter un double vitrage de l'épaisseur du CP, ou juste inférieur.
Idéalement, les 4 profils extérieures collés au CP ( du 15 mm????), et les profils intérieurs vissés à travers tout ( sans dépasser!!). Un vitrage comme ça, pour faire simple, collé au silicone de part et d'autre.
Le coût: ridicule par rapport à une porte neuve.
Bon travail!
Bonjour, une mérule: je ne pense pas. Cette dernière est plutôt une planquée ( entre un lambris et un mur), elle se compose de filaments et "dénature" le bois .....
Ce champignon là semble "consistant", un peu comme peut l'être une mousse de polyuréthane....
Quant au bois, ce n'est pas du peuplier. Peut-on avoir une autre photo, y compris à distance?
Bonjour, si je comprends bien, le cadre ( bati) sera en fer sur lequel seront fixés des lames de bois? En ce cas, même un "résineux" fera l'affaire, comme du douglas.
Ensuite, cela dépend du degré de "beauté" que l'on veut donner à l'ensemble. Je suis personnellement plus favorable à aucune finition particulière, laissant la nature grisailler tout doucement le bois. Un faux acacia (robinier) prendra lui aussi une belle teinte grise et aura une durabilité certaine. Ensuite, si le portail doit être "magnifique", cela demandera des interventions régulières de lasurage, de peinture. En ce cas, réaliser le plus possible d'arêtes arrondies et une conception empéchant l'eau de stagner.
Pour info, j'ai osé un bardage en peuplier brut de sciage, en pose verticale, recouvert de 2 couches de peinture acrylique ( genre scandinave), et cela il y a 8 ans : ça ne bouge pas! Donc, pourquoi pas aussi pour un portail?
Bon choix!