L'Air du Bois est une plateforme Open Source de partage collaboratif ouverte à tous les amoureux du travail du bois. (En savoir plus)

Rejoindre l'Air du Bois Se connecter

116 commentaires
Tarazhilt
( Modifié )

J'ai visité cette usine à l'Est de la Tchéquie il y a quelques années (c'est donc ouvert au public sur réservation), c'était captivant de voir le ballet des ouvriers au poste de cintrage qui avaient une cadence plus "infernale", mais j'avoue que j'en ai vu un peu plus dans ce film, tout au moins en ce qui concerne la fabrication de cette seule fameuse chaise. Leurs machines effectivement pas banales!
Merci pour ce film!

par xyloweb il y a 1 an
Tarazhilt
Je suis d'accord

Oui, d'accord pour ce nom, après quelques discussions et apports de preuves de documentations anciennes.

il y a 1 an
Tarazhilt

Pour moi, le titre du post est inexact car le tourne à gauche sert à maintenir un taraud pour ensuite effectuer un taraudage. Cet outil sert à donner de la voie. Perso. je lui donne le nom de pince à avoyer mais c'est inexact puisque c'est un modèle qui ne pince pas la dent pour la tordre. Son vrai nom devrait être "outil à avoyer".

Tarazhilt

Au temps pour moi, le titre est exact .j'ai réagi au post et à son titre de façon spontanée parce que convaincu qu'un tourne à gauche ne pouvait servir qu'à tarauder, mais sans aller chercher plus loin des références fiables. Xyloweb a réagi en indiquant des références, mais j'avoue que comme elles ne me contentaient pas, j'ai pris un de mes plus vieux bouquins ( le Tome 2 de Technologie par Lombard et Masviel chez Dunod et Pinat, édition 1912) et j'ai trouvé page 168 dessin et appellation comme telle de l'outil. Sans complexe, j’appellerai ainsi à l'avenir cet outil....

Tarazhilt

Merci Dneis pour ce lien, et donc, oui, définitivement, appelons-le lui AUSSI, tourne à gauche. Je note, que l’appellation est encore discutée, je vais accéder à la requête de l'auteur en validant.
Je ne suis pas parvenu à télécharger ce catalogue 1932. Est-ce possible?

Tarazhilt
Je suis d'accord

C'est effectivement la meilleure solution pour tracer un cintre surbaissé ou une portion d'arc.

Tarazhilt

La photo que je voie montre du robinier et j'en suis tellement certain que j'en mettrais une de mes planches à couper!
Sur une des premières photos, on voie un noeud en "patte de mouche" très caractéristique du robinier.

Tarazhilt

La traverse tenonnée est sans conteste du robinier!
Il est vrai que le bois de bout peut laisser penser à de l'orme. Pour confirmer, une photo, bien éclairée d'un plat et d'un chant rabotés permettra de trancher.
Le soucis dans cet exercice tient dans le mélange des "échantillons" et photos. Une des premières photos montre des petits bois, sales, non rabotés. Y aurait-il dedans un petit orme???? Une autre photo mal éclairée pourrait montrer de l'orme, mais. et d'autres photos montrent sans conteste du robinier! Peut-être pour éviter toute confusion, serait-il judicieux de faire des repéres au feutre sur les bois.

Tarazhilt

D'où provient cette photo montrant en bout,des carrelets collés à plat joint, posés sur une traverse avec semble-t-il un tenon percé?
Ces 2 pièces différentes existent-elles encore? Une photo montrant le plat des uns et le bout de l'autre m'agréerait!

Tarazhilt

c'est l'inverse: robinier ou faux-acacia!

Tarazhilt
Je suis d'accord

Aucunement pour des rubans... la forme de la meule m'a fait penser aussi à l'affutage des barres de coupe. Une photo vue de devant pourrait confirmer!

Tarazhilt

Non, pas de l'orme, je distingue plutôt un exotique ( du coté Indonésie) mais je n'arrive pas à le nommer. Je devine une bonne densité (8 à 900 kgs /m3????) A calculer.

Tarazhilt

Donc masse volumique de 671 "kgs"...ce qui est déjà pas mal.
François suggère de l'iroko: oui probablement. Du coup ça me fait penser aussi au teck d'Asie. L'aubier très blanc peut-il être un indice? Dans les 2 cas, la masse volumique correspond!

Tarazhilt

Et AFFIRMER quelque chose lorsque l'on n'a pas d'élément sous la main est aussi périlleux. D’où l'intérêt de donner des pistes et/ou de rester prudent. Quant à l'initiation à la reconnaissance des bois, elle se fait naturellement chez le marchand. En ce qui concerne les bois que l'on utilise le moins ( les BER en ce qui me concerne), je constate que l'on perd ses marques et que l'on se retrouve démuni devant certaines essences ( encore plus devant des photos)

Tarazhilt
Je suis d'accord

C'est complétement ça. Nécessité d'avoir une pince spéciale et aussi une bague en laiton qui permet de suivre la "queuteuse";

Tarazhilt

Début années 80, nos fournisseurs de vitrage prescrivaient un mastic de pose des DV. Peu de temps après, nous avions des retours clients très mécontents. ON a pu observer ce défaut d'aspect pendant des années , également sur des bâtiments publics. Je pense que nous avons été nombreux à mal mettre en oeuvre ce joint en omettant (peut-être) de rajouter un joint silicone de calfeutrement. En tout cas, j'ai perso très vite abandonné cette technique de pose, d'autant que j'avais dû aller déposer les pare-closes, les DV, retirer cette m....., nettoyer le gras et reposer le tout en collant au silicone. (Je dois dire que ça tient toujours, je passe régulièrement devant un de mes chantiers d'époque!!)

Quant au mastic à base d'huile de lin, eh oui, on a dû en retirer, sans abimer le bois, avec un outil spécial, parfois avec facilité, souvent non et puis remastiquer avec une feuille de sauge ( je l'ai toujours). Et comme pour tout, il faut attraper la bonne gestuelle...

Tarazhilt
Je suis d'accord

C'est aussi la réponse que je donnerais, au vu des griffes laissées par l'avoyage. C'est un outil fait maison.

Tarazhilt

Des produits en phase aqueuse, c'est parfait. D'autant que c'est un petit volume et que l'on a le nez quasiment sur les parois. Perso. mon aménagement en CP peuplier a reçu simplement 2 couches de vernis " à l'eau" en satiné transparent.

Tarazhilt
( Modifié )

Charger un fourgon est toujours compliqué si pas de chariot avec fourche. Le mieux est la remorque 2 essieux ou la location d'un petit camion plateau. On arrive par au dessus et on dépose! J'ai toujours manipulé mes machines de façon à ce qu'elles restent horizontales. Jamais je n'ai pris le risque de les riper sur une rampe, avec tous les risques de basculement, etc... essayer de connaitre la masse "précise" de la machine, une remorque simple essieu peut suffire! Bon courage!

Tarazhilt

Bonjour à tous,
au premier regard, les 2 traverses basses formant piétement me contrariaient....je pensais à l'appui au sol. J'avais envie de proposer de les incurver en creux, créant ainsi 4 points de contact mais aussitôt j'ai imaginé les incurver en bosse, créant ainsi un fauteuil basculant: ce qui pourrait être une belle variante. Maintenant, on observant bien le second dessin, il me semble voir l'incurvation en creux: évidemment, vous l'aviez prévu.
Quant à la solidité de la liaison de l'ensemble assise/dossier avec les 2 cadres formant piétement, je ne suis pas trop inquiet, à condition d'utiliser une fixation mécanique fiable. Le guignochage évoqué ne devrait pas survenir à la longue.
Bravo pour cette implication dans tous ces événements! Bonne continuation. Vincent

par glaude il y a 3 ans
Tarazhilt
Je suis d'accord

Tout y est pour affirmer