Pour moi, le titre du post est inexact car le tourne à gauche sert à maintenir un taraud pour ensuite effectuer un taraudage. Cet outil sert à donner de la voie. Perso. je lui donne le nom de pince à avoyer mais c'est inexact puisque c'est un modèle qui ne pince pas la dent pour la tordre. Son vrai nom devrait être "outil à avoyer".
Au temps pour moi, le titre est exact .j'ai réagi au post et à son titre de façon spontanée parce que convaincu qu'un tourne à gauche ne pouvait servir qu'à tarauder, mais sans aller chercher plus loin des références fiables. Xyloweb a réagi en indiquant des références, mais j'avoue que comme elles ne me contentaient pas, j'ai pris un de mes plus vieux bouquins ( le Tome 2 de Technologie par Lombard et Masviel chez Dunod et Pinat, édition 1912) et j'ai trouvé page 168 dessin et appellation comme telle de l'outil. Sans complexe, j’appellerai ainsi à l'avenir cet outil....
La photo que je voie montre du robinier et j'en suis tellement certain que j'en mettrais une de mes planches à couper!
Sur une des premières photos, on voie un noeud en "patte de mouche" très caractéristique du robinier.
La traverse tenonnée est sans conteste du robinier!
Il est vrai que le bois de bout peut laisser penser à de l'orme. Pour confirmer, une photo, bien éclairée d'un plat et d'un chant rabotés permettra de trancher.
Le soucis dans cet exercice tient dans le mélange des "échantillons" et photos. Une des premières photos montre des petits bois, sales, non rabotés. Y aurait-il dedans un petit orme???? Une autre photo mal éclairée pourrait montrer de l'orme, mais. et d'autres photos montrent sans conteste du robinier! Peut-être pour éviter toute confusion, serait-il judicieux de faire des repéres au feutre sur les bois.
Non, pas de l'orme, je distingue plutôt un exotique ( du coté Indonésie) mais je n'arrive pas à le nommer. Je devine une bonne densité (8 à 900 kgs /m3????) A calculer.
Donc masse volumique de 671 "kgs"...ce qui est déjà pas mal.
François suggère de l'iroko: oui probablement. Du coup ça me fait penser aussi au teck d'Asie. L'aubier très blanc peut-il être un indice? Dans les 2 cas, la masse volumique correspond!
Et AFFIRMER quelque chose lorsque l'on n'a pas d'élément sous la main est aussi périlleux. D’où l'intérêt de donner des pistes et/ou de rester prudent. Quant à l'initiation à la reconnaissance des bois, elle se fait naturellement chez le marchand. En ce qui concerne les bois que l'on utilise le moins ( les BER en ce qui me concerne), je constate que l'on perd ses marques et que l'on se retrouve démuni devant certaines essences ( encore plus devant des photos)
Début années 80, nos fournisseurs de vitrage prescrivaient un mastic de pose des DV. Peu de temps après, nous avions des retours clients très mécontents. ON a pu observer ce défaut d'aspect pendant des années , également sur des bâtiments publics. Je pense que nous avons été nombreux à mal mettre en oeuvre ce joint en omettant (peut-être) de rajouter un joint silicone de calfeutrement. En tout cas, j'ai perso très vite abandonné cette technique de pose, d'autant que j'avais dû aller déposer les pare-closes, les DV, retirer cette m....., nettoyer le gras et reposer le tout en collant au silicone. (Je dois dire que ça tient toujours, je passe régulièrement devant un de mes chantiers d'époque!!)
Quant au mastic à base d'huile de lin, eh oui, on a dû en retirer, sans abimer le bois, avec un outil spécial, parfois avec facilité, souvent non et puis remastiquer avec une feuille de sauge ( je l'ai toujours). Et comme pour tout, il faut attraper la bonne gestuelle...
Charger un fourgon est toujours compliqué si pas de chariot avec fourche. Le mieux est la remorque 2 essieux ou la location d'un petit camion plateau. On arrive par au dessus et on dépose! J'ai toujours manipulé mes machines de façon à ce qu'elles restent horizontales. Jamais je n'ai pris le risque de les riper sur une rampe, avec tous les risques de basculement, etc... essayer de connaitre la masse "précise" de la machine, une remorque simple essieu peut suffire! Bon courage!
Bonjour à tous,
au premier regard, les 2 traverses basses formant piétement me contrariaient....je pensais à l'appui au sol. J'avais envie de proposer de les incurver en creux, créant ainsi 4 points de contact mais aussitôt j'ai imaginé les incurver en bosse, créant ainsi un fauteuil basculant: ce qui pourrait être une belle variante. Maintenant, on observant bien le second dessin, il me semble voir l'incurvation en creux: évidemment, vous l'aviez prévu.
Quant à la solidité de la liaison de l'ensemble assise/dossier avec les 2 cadres formant piétement, je ne suis pas trop inquiet, à condition d'utiliser une fixation mécanique fiable. Le guignochage évoqué ne devrait pas survenir à la longue.
Bravo pour cette implication dans tous ces événements! Bonne continuation. Vincent
J'ai visité cette usine à l'Est de la Tchéquie il y a quelques années (c'est donc ouvert au public sur réservation), c'était captivant de voir le ballet des ouvriers au poste de cintrage qui avaient une cadence plus "infernale", mais j'avoue que j'en ai vu un peu plus dans ce film, tout au moins en ce qui concerne la fabrication de cette seule fameuse chaise. Leurs machines effectivement pas banales!
Merci pour ce film!