Je rebondis tardivement (mais je n'ai rejoint le blog qu'aujourd'hui ! ).
Après avoir lu cet article du code civil, j'en arrive à la même conclusion, étant précisé que je m'intéresse à l'ébénisterie, pas à la menuiserie " de gros oeuvre ".
Malgré ce que l'on entend dire, le fait d'accrocher l'ouvrage au bâtiment ne supposerait pas une décennale, si l'on peut dévisser les fixations sans endommager le mur. Je pense qu'il peut être intéressant de garder cette contrainte en tête et de concevoir les ouvrages (notamment les " aménagements ") pour qu'ils reposent, au maximum, sur un support amovible. Le seul risque de détérioration du bâtiment lors du démontage serait d'apporter des finitions telles qu'un enduit de raccord, mais de là à ce qu'un client entame une procédure pour ça...
Je ne sais pas si j'ai juste et aucune interprétation n'est définitive (tout ce droit pour ça...). Mais je vais suivre cette logique !
Je rebondis tardivement (mais je n'ai rejoint le blog qu'aujourd'hui ! ).
Après avoir lu cet article du code civil, j'en arrive à la même conclusion, étant précisé que je m'intéresse à l'ébénisterie, pas à la menuiserie " de gros oeuvre ".
Malgré ce que l'on entend dire, le fait d'accrocher l'ouvrage au bâtiment ne supposerait pas une décennale, si l'on peut dévisser les fixations sans endommager le mur.
Je pense qu'il peut être intéressant de garder cette contrainte en tête et de concevoir les ouvrages (notamment les " aménagements ") pour qu'ils reposent, au maximum, sur un support amovible. Le seul risque de détérioration du bâtiment lors du démontage serait d'apporter des finitions telles qu'un enduit de raccord, mais de là à ce qu'un client entame une procédure pour ça...
Je ne sais pas si j'ai juste et aucune interprétation n'est définitive (tout ce droit pour ça...). Mais je vais suivre cette logique !