Bonjour,
j'ai une Lurem C260n et j'ai eu un problème similaire. Est-ce que la lame s'incline sur ta machine ? Si oui et que c'est comme sur la mienne, j'ai sur ma machine des vis de réglage, en butée à chaque extrémité du le "secteur d'inclinaison" (nom de la pièce dans la notice), qui permettent un réglage précis. J'ai fait ça en plaçant une équerre sur la table le long de la lame, ça a marché.
Bon réglage !
Bonjour,
on m'a appris qu'il fallait toujours plaquer des deux côtés pour équilibrer les tensions provoquées par la colle. Mais sur une petite surface comme ça, avec deux possibilités pour plaquer à l'arrière (soit dans le fond, soit dans le sommet de la feuillure), je ne sais pas... Serait-il possible de contourner le problème en séparant la façade du reste du cadre ? Du coup, façade plaquée sur les deux côtés et le reste du cadre collé par dessus ?
Stéphane
Bonjour,
sur le site de Chemins de faire, dans les notices ouvertes, il y a une transformation de machine à coudre à pédale Singer en pédalier multifonction. Même principe mais pas le même modèle que celui du Low-Tech Lab (ici).
Toujours sur Chemin de faire, il y a un autre pédalier plus puissant mais il faut être 3 pour l'actionner !
Bonjour,
il existe une note réglementaire qui donne les essences autorisées, téléchargeable ici.
Je remets le paragraphe concerné ci-dessous (p. 4) :
"Les essences de bois qui sont admises dans l’arrêté du 15 novembre 1945 sont reprises ci-
dessous :
-pour tout type d’aliments : chêne, charme, châtaignier, frêne, robinier.
-pour les solides alimentaires : noyer, hêtre, orme, peuplier.
Les essences de bois suivantes, traditionnellement utilisées en France et provenant de pays
tempérés européens, sont admises pour le contact alimentaire pour tout type d’aliments :
Sapin, Épicéa, Douglas, Pin Maritime, Pin sylvestre, Peuplier, Hêtre, Platane, Tremble,
Aulne, Olivier, Bouleau.
D’autres essences de bois peuvent être utilisées si la preuve est apportée du respect de
l’article 3 du règlement (CE) n°1935/2004. Il s’agit notamment de preuves de l’absence de
substances naturelles dangereuses pour la santé humaine migrant à partir du bois et de
l’absence d’altération des caractères organoleptiques dans les conditions de contact prévues avec les denrées alimentaires.
Le seul critère de l’essence de bois ne permet cependant pas de statuer sur l’aptitude au
contact alimentaire de l’objet fini en bois. Il s’agit aussi de prendre en compte l’utilisation éventuelle de produits de traitement du bois ainsi que celle de matériaux intermédiaires."