Salut,
La colle vinylique sèche en restant un peu souple (beaucoup plus que la cyano ou l’epoxy, cassantes). Tu peux essayer de badigeonner un côté du liège avec un mélange, éventuellement dilué avec un peu d’eau pour qu’elle pénètre bien et ne fasse pas un film trop épais…
Sinon, essayer du liège « vestimentaire » et non pas du liège pour isolation. Tape « tissu liège » sur ton moteur de recherche et tu devrais trouver ce qu’il te faut.
Je me suis récemment posé la question et j'ai trouvé la réponse ici. Ça commence à dater mais cela donne les grandes lignes. En gros, si j'ai bien tout compris, dès qu'on fabrique et met sur le marché des éléments d'ameublement :
- Il faut calculer une éco-participation (il semble y avoir des barèmes) et la faire figurer sur nos factures
- Il faut ensuite la déclarer et la reverser (1 fois par an si tu fais moins de 300 k€ de CA par an )
- C'est une obligation réglementaire (les amendes sont assez dissuasives)
Ensuite, il "ne reste plus qu'à" aller sur le site ecomaison.com/ si on travaille principalement avec des particuliers, et à se plonger avec délice dans ces sujets...
Bonjour,
Personnellement, je n'ai pas d'expérience directe de ces machines. Mais vu le prix, il ne faut pas imaginer quelque chose de très précis.
Pour un atelier amateur sans beaucoup de place, je mettrais plutôt l'argent dans une petite scie à ruban (les Metabo par exemple sont très bien), une petite rabo-dégau d'établi, un aspirateur et des outils à main (ciseaux, scie à déligner, un ou deux rabots). Tu n'en auras pas pour plus cher et tu seras moins frustré par le manque de précision de tes machines.
Bonne réflexion !
C'est vrai que c'est intéressant comme principe.
Apparemment, c'est la marque italienne CLEI qui fait ça (table Wally). De ce que je comprends de leur site, ils ne passent que par des revendeurs et je n'ai pas trouvé les pieds seuls. Le design doit leur appartenir et, vu leur positionnement, ça ne doit pas être donné...
Il y a Alpikord qui fait des plaquages reconstitués sur stratifié, dont des acajous, des érables ondés, de l'aniégré, des ronces de noyer... Je n'ai jamais essayé de les mettre en œuvre mais j'ai hérité d'un nuancier et la qualité semble assez bluffante...
C'est un peu différent de ce que tu cherches mais si tu ne trouves pas ailleurs, on ne sait jamais...
Salut Raspitef
J'ai été dans ta situation il y a quelques années... alors bon courage !
Je vais essayer de répondre aux points 3 et 4 : lorsque j'ai passé l'examen, le process est relativement balisé... On est plusieurs dizaines à passer l'examen en même temps alors ils essaient d'organiser un peu les passages aux machines. Du coup, ça te guide et te donne des indications sur l'endroit où tu devrais en être.
Sur les machines justement : lors de ma session, il y avait des passages aux machines mais pas tant que ça. Là encore, on est nombreux : tu n'es pas livré à toi même face à la machine, tu n'as même pas tous les réglages à refaire. Un des objectifs de l'examen est de vérifier que tu sais utiliser une machine en respectant les règles de sécurité de base. Donc tu es un peu obligé d'y passer.
Il y a même un moment, pendant l'examen, où on t'appelle individuellement pour approfondir un peu ces thèmes. Dans mon cas, c'était à la toupie : comment pointer la machine, régler la vitesse de rotation, régler les joues, l'entraineur, l'aspiration... Je ne crois pas que j'avais eu à usiner ni même à démarrer la bête mais il fallait montrer sur la machine que tu connaissais un peu ton affaire. Mais rien de bien méchant.
Après, les examinateurs / surveillants identifient très vite que tu es candidat libre et, dans mon cas, ils avaient été particulièrement attentionnés et m'expliquaient bien ce qu'ils attendaient de moi à chaque étape.
Voilà, c'est à peu près tout ! Si tu as d'autres questions, n'hésite pas !
Ah et au fait, le jour de l'examen, n'oublie pas tes EPI. Dans l'atelier où je me préparais, ils étaient mis à disposition et, comme ce n'était pas précisé dans la liste du matériel qui allait avec la convocation, je n'y ai pas pensé le premier jour... Quel idiot ! Heureusement, ils m'ont prêté un casque mais en principe, ils n'étaient pas censé le faire et n'auraient pas dû me laisser entrer dans la salle d'examen...
Si je comprends bien l'assemblage entre les pieds et la traverse est réalisé avec des lamellos. Il s'agit d'un assemblage qui est structurel et les lamellos ne sont vraiment pas fait pour ça.
Avec un assemblage d'onglet (à 45) , je ne suis pas sûr que tu arranges les choses.
Il faudrait passer à un autre type d'assemblage plus costaud. Sans vis, tu peux envisager tenon-mortaise voire enfourchement (avec des chevilles pour bloquer).
Et peut-être envisager des traverses entre tes pieds, plus près du sol, pour gagner encore en rigidité / solidité... Ton plateau est haut, les pieds sont fins...
Belle réalisation en tout cas !
Hello !
Pour déligner bien droit, voici quelques points d’attention :
- Utiliser une scie à déligner… et non une scie à tronçonner ou une scie à panneau. Cela peut sembler un détail quand on commence mais la différence est flagrante… si elle est bien affûtée (valable pour tout type de scie)
- Bien se positionner : jambes légèrement fléchies ; pieds en quinconce ; scie, poignet, coude et épaule bien alignés. Un banc de sciage peut aider mais n’est pas indispensable.
- Ne pas forcer et rester souple : ni en serrant fort la poignée, ni en forçant l’outil dans le bois. S’il est bien affûté, il travaille « tout seul ».
- Ne pas s’attendre à ce que la scie te donne une surface « finie » : en général, il est indispensable de la reprendre au rabot pour obtenir un champ bien droit et d’équerre.
Il y en a peut-être d’autres : je laisse le soin aux plus expérimentés de compléter
Après, c’est comme beaucoup de choses : pratique, pratique et encore pratique !
Ça ne répond qu’à une partie de la question mais il existe aussi les cours en ligne, comme par exemple artisanatek.co...pour-mes-sieges
Bonjour skawa29
Belle trouvaille ! C'est courageux de vouloir redonner vie à cette belle endormie :-)
Pour les tables, j'aurais procédé comme suit (testé sur ma SAR Meber et 1984) :
- Ponçage entre 120 et 280 suivant l'état de départ
- Nettoyage des dépôts et vieilles graisses restantes à l'alcool 90
- Passage au WD40 à laisser sécher 24-48h
Pour le passage de 380 à 220 (que j'avais envisagé aussi mais finalement pas fait car j'avais réussi à récupérer le 380), Hetreounepashetre l'a fait aussi avec un variateur pour sa combinée : tu peux regarder les vidéos correspondantes sur sa chaîne Youtube et il pourra peut-être répondre à tes questions restantes ensuite ;-)
Et enfin, pour moi, j'aurais fait des carters de protection (sur les lames, la courroie...) : j'aime trop mes abattis :-)
Bonne restauration !
Bonsoir,
Comme la couleur rose semble suivre les veines du bois, je ne suis pas sûr que ce soit des remontées de tanin, plutôt la couleur naturelle du bois (mais je ne sais pas l'identifier)
Vous avez révélé cette dernière en enlevant l'ancienne finition. Celle-ci devait être oxydée ou teintée (voire les deux) et masquait la couleur naturelle du bois.
Analyse à confirmer par de plus expérimentés...