Merci beaucoup BerengerDesign !
Merci sylvainlefrancomtois !
Je vais regarder de ce côté. Quand tu parles de traiter, à quoi penses-tu ?
Merci etiennedesthuilliers pour cette suggestion. J'ignorais le nom de ce dispositif et n'y avais pas pensé non plus (alors qu'il y en a à d'autres endroits dans les bâtiments).
Une question : comment s'assemble le chevêtre avec les autres solives ? Par un assemblage à mi-bois ? Si possible, j'aurais aimé évité les équerres métalliques et autres sabots...
Merci Jacquenri ! Déformation due à la pourriture : je prévois de les remplacer.
Merci titimaster !
Merci Neiru : c'est justement parce que cela risque de tomber que je ne veux pas le laisser en l'état
Merci L'Ecorce du Sycomore ! Les anciens construisaient pour des siècles (tant que les constructions, et plus particulièrement la toiture) étaient entretenues et je trouve est toujours instructif de s'inspirer de leurs méthodes.
Merci glaude.
Compte tenu de la hauteur sous plafond au-dessus (1,2 mètre environ), il est très peu probable que ce soit aménagé un jour. En revanche, il ne faut pas qu'on passe au travers si quelqu'un va se balader dans ce grenier. Si pas d'autre solution viable, oui, j'essaierai de trouver des solives sur le bon coin ou ailleurs. Mais j'essaie déjà de faire avec les matériaux à disposition.
Merci Gatos pour la réponse. Dans tous les cas, il va falloir déposer ces deux solives, qui sont mortes, et les remplacer : cela ne posera pas trop de problème en passant par dessus (c'est une couche terre sur des lattes en chêne fendu simplement posées entre les solives).
Je vais probablement m'orienter vers un chevêtre réalisé avec les solives d'époque que j'ai récupérées par ailleurs.
Les solives sont en 100x130 en chêne (et les poutres en orme).
Merci beaucoup sylvainlefrancomtois ! Après de premiers exercices sur ce thème pendant le confinement (mais sans les points), je vais retenter en tenant compte de tes conseils.
Question pour tirer d'épaisseur : on voit parfois (chez les anglo-saxons principalement) chanfreiner les 4 côtés de la pièce puis attaquer par des coup de riflard en diagonale avant de finir dans le sens du bois. Différence de tradition dès qu'on traverse une mer ou manifestation d'une moindre maîtrise du geste ?
Restons français !
Tout à fait d'accord dans le sens où je préfère commencer par explorer et faire vivre notre patrimoine avant d'aller voir ailleurs (qui peut être une très bonne source d'inspiration complémentaire... une fois les bases maîtrisées)
Merci beaucoup pour cette précision en tout cas : j'expérimenterai les deux prochainement et ferai un retour ici.
Bonjour Pickup27
Le sens du fil est le sens dans lequel tu vas coucher les fibres du bois en travaillant avec ton outil. Un peu comme lorsqu'on caresse son chien (ou son chat) : mieux vaut le faire dans le sens du poil qu'à rebrousse-poil (à contre-fil pour le bois).
Dans l'exemple que tu donnes, pour travailler le champ supérieur sur ta photo, j'essaierais de le travailler de gauche à droite :
- jusqu'au milieu de la photo, on voit que le fil fait une vague qui remonte vers le champ : le fil va être couché
- au-delà, le fil semble parallèle au champ et tu pourras donc continuer dans le même mouvement
Pour le champ inférieur, comme il y a un nœud, ce sera plus compliqué : en partant un peu après le nœud, tu devrais pouvoir le travailler de gauche à droite. Sur le nœud, il faudra avoir un outil bien affuté et regarder quelle orientation donne le mieux.
J'ai utilisé le conditionnel car comme souvent avec le bois, il faut faire des essais, ressentir le comportement de l'outil et observer le résultat. En plus, il n'y a ici qu'un petit morceau de ta planche : l'orientation du fil peut évoluer à d'autres endroits. A force d'expérience, on apprend à "lire" le comportement du bois sous l'outil.
Bons essais !
Merci Fof
Merci beaucoup rapabois
Merci MonsieurBella
Merci Guilh63 pour le compliment. Disons qu'elle se démarque ; après, "l'originale" (il en fait tellement) en meranti a quand même de l'allure je trouve.
Et je suis d'accord pour les épaisseurs de Paul Sellers (et je partage ton hypothèse sur les raisons) : ici, je n'ai pas voulu trop jouer avec compte tenu de mon équipement sommaire mais ce sera le cas pour une prochaine fois. En fait, le plus limitant, c'était l'établi : son instabilité et la difficulté à y fixer quoi que ce soit. Son remplacement fera l'objet d'un prochain (très prochain) projet
Merci beaucoup riton. Plus que le temps, je dirai qu'il faut se retrousser les manches et s'y mettre. C'est le premier pas (ou plutôt coup de rabot) qui coûte
Très chouette : j'aime beaucoup !
Deux questions :