Oui! cet assemblage présente le double avantage de rompre la monotonie des assemblages classique à coupe d'onglet en alternant bois de fil bois debout ,et si l’ensemble est monté astucieusement un éventuel démontage devrait se pratiquer sans difficultés.
Alternative à soumettre à l'utilisateur: un assemblage visible(pas ostensible)type papillons ou chevilles en noyer ,essence qui se marie bien avec le frêne.
Tu voudras bien me pardonner cette erreur. la section des pieds et traverses est 60×40mm
Ah ce n'est plus ce que c'etait mon bon Monsieur.
Attention! La rectification relative à la section des bois indique 60X40mm et non 40*20mm. Pour plus de précision, j'ai débâché ma toupie remonté le plateau à tenonner et le chariot voila comment j'avais fait à ce moment là. Attention! Ici j'ai fait abstraction des "martyrs" et autres pare-éclats.
Par ailleurs concernant les traverses basses de ton coffre tu peux t'inspirer de l'assemblage traverse dossier de chaise Pierre Chapo. Et puis, si tu souhaite réellement respecter le style "Chapo" à l'extérieur; rien ne t'empêche à l'intérieur du coffre de dissimuler des traverses, des étrésillons,ou des croisillons collés.
Précision: Dans cet assemblage, l'épaulement garanti une certaine "rigidité" de l'ensemble.
""J'ai découvert ce site que je trouve très intéressant, qui permet de partager toutes les ficelles de ce métier assez complexe quand même.""
J'ai lu cette phrase dans ta présentation.
romaindu19 dans cette réalisation, je cherche "le partage des ficelles de ce métier assez complexe"
Il s'agit de l'église de Viroflay dans les Yvelines Merci pour cette vidéo que je ne connaissais pas Elle me rappelle mon jeune temps, Même si je n'y suis pour rien. Par contre jusqu'à ma cessation d'activité j'ai côtoyé Robert Lourdin Qui avait à l'époque fait les calculs de résistance Faut dire qu'au départ la structure était en béton! le prix du coffrage étant le même que celui du voile .Il est apparu grâce à Raoul Vergez qu'il était plus économique et aussi pérenne de faire un beau coffrage et d'en rester là. . Souvent nous évoquions Raoul Vergez.
Quelques temps avant la fin Il faisait encore des pompes dans le bureau de Robert Lourdin pour montrer qu'il était encore en forme.
Et puis le crabe l'a emmené vers l'orient éternel.....
à un moment de cette émission Raoul Vergez évoque ses débuts sur le chantier de la Samaritaine Bâtiment construit en charpente métallique en poutres composées. Les assemblages sur place étaient rendus difficiles du fait d'une erreur de tracé des "bandelettes" pour aligner les trous pour le passage des rivets il fallait "Brocher" Évidemment le premier a poser son rivet avait beaucoup moins de mal que celui à l'autre bout de la poutre. C'est de là qu'est né l'expression certes un peu grasse ""le premier qui broche encule l'autre""
J'ai retrouvé les documents relatifs à la construction de la Samaritaine ainsi que certaines anecdotes dont cette dernière, dans les archives de la société Scwartz entreprise chargée des travaux. .
Dans un premier temps, oublions consoles,jambes de force.... Ne comprenant pas tout des dessins fait a l'ordinateur, quelques questions.Tu souhaites réaliser une passerelle pour desservir ce qui me semble être une porte au milieu du pignon? Pourquoi ne pas tourner ton escalier contre ce pignon et desservir la porte par un palier de 1000*1000 ?
Plus sérieusement j’imagine que c'est parce que c'est ton choix.
L'escalier: est à créer? comment sera-t-il fait ? qui le fait? Le palier est-ce une dalle? un plancher? Ou bien il s'appuie sur la passerelle?
La passerelle: 4m c'est de l'angle de mur a gauche jusqu’à la droite de la porte? Cette porte me parait bien large, quel est la taille actuelle de la baie quel sera la taille se la porte? Qu'envisages-tu de faire passer sur cette passerelle? Je parle de poids! il est arrive que dans un hangar on fasse la fête ou autres et que sans que l'on y pense on se retrouve a 15 personnes sur le balcon.... qui sautent toutes en même temps.....
Un petit arrêt sur les consoles: la fixation du bas travaille au cisaillement celle du haut à l'arrachement avec un porte a faux de 1000 compte tenu de ce que j'évoque plus haut ça mérite une réflexion.
revenons à la passerelle: Peut-on imaginer de la suspendre a la charpente soit avec un ou plusieurs tirants en fer rond (qui peut être fin) mode opératoire à définir. sou à deux "poutres" disposées de part et d'autres du bâtiment à la hauteur de la sablière sur le mur entre l'extrémité de l'entrait et en scellement de part et d'autres de la porte? Ou bien encore : ta passerelle fait 40001000 on imagine qu'on la divise en 4 carrés de 10001000 Premier carré à gauche d'un côté sceller une "poutre" sur le mur de gauche à 1000 du mur pignon et de l'autre sur le mur pignon a 1000 du mur de gauche. on a une diagonale solide. Sceller une "poutre" dans l'angle formé par les deux murs pignon et gauche reposant sur la première "poutres" formant la deuxième diagonale. L’extrémité du porte à faux soutenant l’extrémité d' une diagonale du deuxième carré par l'intermédiaire d'une tige fileté parfaitement invisible traversant les les deux "poutres" l'autre extrémité va en scellement.......et ainsi de suite. Il faut maintenant repartir du 4ème carré. Compte tenu qu'il n'y a pas de mur il faut sceller une "poutre" perpendiculairement au pignon en bas a droite de la baie il serait intéressant de la caler avec un poteau (certes surdimensionné) servant de montant d'huisserie. et reparti comme pour le premier carré.
C'est une façon de faire.