Oui, le travisher est une wastringue cintrée qui peut être fabriquée de différente façons, soit avec les anciens fers de wastringue à ailes, soit avec des lames cintrées vissées sous la semelle. Outils beaucoup utilisé par les fabricants de sièges Windsor pour creuser les assises. quelques artisans se sont remis à en fabriquer, généralement du modèle à lame vissée sous la semelle.
handtoolwoodwo...com/travishers/
woodsmith.co.u...-and-travishers
cminihanwoodwo...vishers_26.html
A ma connaissance les anciens fers à aile de wastringue ne sont plus fabriqués, ils étaient fabriqués à Sheffield jusque dans les années 70 et on les trouvait encore chez les quincaillers du faubourg dans 8 ou 10 courbes différentes! Ils étaient beaucoup utilisés par tous les artisans qui travaillaient la courbe, je l'ai ai utilisé en cour du soir d'escalier pour débillarder des dessous de main courante. Si la jeune génération de taillandiers pouvait se pencher sur le problème de la forge de ces fers ç serait bien!
On peut trouver pour pas cher des vieilles paumelleuses d'occase sur lbc, sinon Virutex en fait une très bien et pas trop chère. Paumelleuse Virutex
Bonjour, c'est une technique japonaise appelée "kigoroshi" et c'est la partie tenon que l'on martèle avec la panne ronde du marteau. Les assemblages japonais, surtout en charpente, sont assemblés très serrés, le martelage compresse le tenon et permet la mise dedans, les fibres compressées reprennent leur volume et donnent un assemblage très serré qui absorbe mieux les vibrations sismiques, quelquefois on vaporise l'assemblage pour aider le bois à décompresser.
Pourquoi s’embêter à fabriquer de l'acétate de fer alors que les vapeurs d'ammoniaque font très bien ça toute seule! Une tente en polyane au dessus de l'ouvrage, une coupelle remplie d'ammoniaque en dessous et oublier pour la nuit, pas d'application ,de ressuyage et on peut doser l'effet avec la durée d'exposition.
Les erreurs dans les traités anciens sont assez courantes, elles venaient souvent du fait que les planches étaient gravées par un graveur qui n'était pas l'auteur des planches, donc on pourrait parler d'erreurs de copiste! Certaines erreurs ont été relevé dans des traités plus récents, elles sont sans doute le fait d'erreurs de relecture. Un charpentier américains, Chris Hall, malheureusement disparu, avait relevé une erreur dans une des premières planche de l'encyclopédie de la menuiserie de l'association ouvrière! La complexité des planches de trait et le temps passé à la relecture vérification par des compagnons sans doute en plus de leur journée de travail peux sans doute expliquer beaucoup de choses. En tout cas bravo de t'attaquer aux travaux des grands anciens!