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70 mm des deux côtés pour moi.

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Un OSB de bonne qualité ?


C'est résistant et ça se balaie bien. La "rugosité" de surface est de moins de 0.1 mm.

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Lames PEGAS : outils-profess...geblaetter.html

Des lames de qualité comme celles-là font effectivement une GROSSE différence...

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par Samuel17 il y a 6 mois
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Je dirais que c'est du noyer.

Faudrait continuer à enlever la peinture et avoir de meilleures photos. Par contre, le noyer n'est pas forcément très dur et lourd... Il a une odeur bien particulière à l'usinage, mais pas facile à décrire...

Sinon, c'est un exotique, et je ne connais pas...

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par Girafon84 il y a 7 mois
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Bonjour,

Pourquoi pas ici ? lairdubois.fr/annonces/

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J'ai acheté ce genre de bois, en amateur qui veut se constituer un stock de bois dans lequel piocher au gré des envies et des besoins.

Donc (même si ça dépend de la localisation, etc.), je te conseillerais de le vendre à quelques centaines d'euros le m3 (peut-être entre 300 et 500), et les moins belles planches, tu les donnes pour débarrasser...

Souvent, on voit du bois à des prix exorbitants sur LBC, parfois plus cher que du bois de bonne qualité chez un pro. C'est de la folie (et la raison pour laquelle je deviens réticent à acheter ce type de bois), car il faut savoir qu'il y a beaucoup d'aléatoire et de perte...

Il faut bien se rendre compte que les gens qui se tournent vers ce type d'offres cherchent des prix réduits.

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Sans certitudes, mais j'ai du poirier qui ressemble pas mal à ça (notamment la maille).

Voir la cheminée ici (mais huilée) :

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Tu peux essayer ce produit : acheter-rubio....in-remover.html

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Probablement une table de sortie trop haute par rapport aux fers :

par Partita31 il y a 9 mois
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Tous mes vœux de bon rétablissement et toute mon affection Sylvain !

Courage à vous 2.

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Pour contourner le problème, tu peux faire des queues arrêtées :

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Une approche analytique (non itérative) fournissant une discrétisation continue sur [E1, E2] et accessoirement à dérivée continue en E1 et E2 (à supposer que ce soit le cas avant discrétisation), avec une évolution régulière des longueurs d'arcs de cercle entre E1 et E2 fonction de la courbure locale (plus d'arcs de cercle là où il faut afin d'approcher au plus près le profil elliptique à moindre coût).

Définition du problème

Via les transformations appropriées, on exprime le problème dans le repère de l'ellipse : axes principaux alignés avec x et y, centre en (0,0), et on normalise le rayon selon x ; le rayon selon y devient "a" (histoire de ne pas se promener des rapports de rayons dans les équations). Pour cela, on applique les transformations successives : translation en (0,0), rotation de l'ellipse (des points E1 et E2), puis normalisation (il faudra appliquer les transformations inverses, en sens inverse après la résolution afin de se replacer dans la configuration réelle : "dé-normalisation", rotation inverse, translation en C). Les points E1 et E2 deviennent e1 et e2.
On définit également une "erreur" (maxi) pour la discrétisation, "e", comme la distance maximale entre la discrétisation en arcs de cercles et l'arc d'ellipse.

Résolution

(On peut travailler en coordonnées polaires dans un premier temps, mais les coordonnées curvilignes semblent plus appropriées.)

  1. On calcule la courbure le long de l'arc d'ellipse (solution analytique)
  2. On distribue des points le long de ce profil en fonction de C, avec une densité proportionnelle à la courbure (une approche exacte existe).
    Les points définissent les lieux d'intersection entre l'arc d'ellipse et les arcs de cercle.
  3. En chaque point, on calcule le cercle de courbure (solution analytique)
  4. On calcule les points d'intersection des cercles de courbure voisins (solution analytique, il y en à 2, il faut prendre le bon)
    Les arcs de cercle définissent la discrétisation de l'arc d'ellipse. On remarque que puisque les rayons des cercles de courbure sont d'autant plus petits que la courbure est localement importante, les intersections sont "du côté" où la courbure locale est la plus grande, ce qui donne bien une discrétisation plus fine là où la courbure est la plus grande.
  5. Pour chaque point d'intersection, on calcule la distance minimale à l'arc d'ellipse (il doit aussi y avoir une solution analytique), c'est l'"erreur" en ce point, qui est localement le plus éloigné de l'arc d'ellipse ; c'est donc bien l'erreur maximale. Grâce à l'étape 2, les points devraient avoir des erreurs similaires, ce qui est ce que l'on recherche.

Si l'erreur est supérieure à l'erreur maximale fixée (e), alors c'est qu'il n'y a pas assez de points. On recommence avec un nombre plus grand. Sinon, on peut diminuer le nombre de points.

En creusant, il doit être pouvoir de connaître l'erreur (et donc le nombre de points) a priori. Sinon, on commence avec un ou quelques points internes.

La méthode implique qu'il y aura au moins un point intermédiaire. Le cas d'un seul arc de cercle est à traiter séparément... Sinon, réviser l'approche pour considérer les points comme les extrémités des arcs de cercle plutôt que leurs points d'intersection avec l'arc d'ellipse.

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par Nicoel il y a 1 an
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Meilleure réponse

Divise le diamètre du cercle par racine carrée de 2, soit 1.41421356.

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Oui, c'est malheureusement classique sur ce genre de machine, car la table n'est pas rectifiée... J'avais la 7492.