
Plop.
Je pense qu'il est l'heure d'investir dans un fein
Plus sérieusement tu n'as aucune idée de ce qui se passe dessous ?
Qu'est-ce qui porte le fond de marche ?
Pour le stylobate à la limite tu refabrique avec une surcôte pour masquer le travail.
Pour les marches il faudra également les fabriquer, j'imagine mal les ôter sans dégâts.
Si on est ok sur ce point alors un trou de cloche la dedans pour voir l'arrière des contremarches. Aussi bien tu vois un assemblage évident ou avec un multicut tu atteins les pointes.
La moquette ôtée serait un plus pour le diagnostic.
Bon courage l'ami

Salut.
Dans ma cave y'avait un puit. C'était humide mais pas autant que chez toi.
On à fait des enduits à la chaux, on à surtout installer une vmc et l'arrivée du bois à fini de stabiliser.
Éviter une prochaine inondation bien sur ce serait top mais si c'était prévisible ce genre de choses ça se saurait.
Le sol finira par rendre ce qu'il à pris si ce fût sec
Dur ce genre d'ennui, je compatis.

Salut.
La qualité de séchage du bois à l'origine est importante. A savoir qu'un bois qui est déjà sec à l'emploi et à atteint un certain équilibre hygroscopique sera plus stable par la suite.
Ensuite l'un des boulot du menuisier, amateur comme professionnel c'est d'anticiper les déformations à venir en utilisant les assemblages adéquats.
Alors, prévenir les changements durant le travail et entre l'usinage et l'assemblage est indispensable. Pour ce faire je commande mon bois un petit mois afin de le stocker avant de le travailler à l'atelier.
Ce sont seulement les règles que j'applique, j'imagine qu'il y'en à pleins d'autres à connaître je ne fais que débuter mon activité

Salut.
Effectivement au racloir et à la forme. C'est marrant on en discutait tout à l'heure sur Cette question. et j'utilisais Cet exemple pour illustrer le propos..
Du coup au touret sans bleuir le racloir donc avec de l'eau dans un bac, puis on dresse le chant du racloir proprement à la pierre, puis à l'affiloir une fois morfilé sur la pierre ou le touret selon ton matos.

Salut.
Pour les plans je crois que tu as eu la réponse, les tiens seront les bons.
Pour la courbure en sous-face, je mettrais un racloir à la forme.
Au crayon je trace ma courbe et ensuite je la façonne au touret (un bac de flotte à côté pour éviter de bleuir le racloir), ensuite j'affute le racloir et c'est parti.
Ça demande un petit coup de main mais c'est le plus "simple" je crois. Et le geste est agréable je trouve.
Mais effectivement à toi de nous dire quel est ton outillage, aussi bien tu as des machines qui te feront gagner une journée.

La machine à été achetée. Pas mal de boulot de graissage, des pièces cassées et d'autres tordues mais elle semble tourner proprement et je me lance dans une rénovation/entretien.
Pour le prix ça vaut le coup, si elle reviens parfaitement je serais très content.
Merci à tous pour vos conseils. De bon copeaux

Salut.
Pour Celle-ci j'ai appliqué le vernis Exp de chez Blanchon. Deux couches à mon souvenir.
Les client sont de gros bourrin et pour l'instant ça à pas bougé.
Aujourd'hui j'utilise Celui-ci que je touche à moins de 10€/litre chez eux, faut pas hésiter à les appeler pour demander un prix, le tarif d'origine c'est juste hors de propos.
Ce dernier se tend mieux et est plus résistant. Application au rouleau à poils bleus. Attention à la température. En dessous de 13/14 il commence à avoir des problèmes pour tendre.
Bon courage
Ps : un vitrificateur ça marche aussi, J'utilise celui-ci.

Salut,
Le chantier me semble accessible et gratifiant, cela peut se régler en 2 mois et demi (à deux, trois c'est vraiment mieux, on à toujours besoin d'un mec en bas, tu feras pas tomber ton mètre vingts fois ) avec les bons engins notamment si tu doit retoucher ton faîtage.
Cela peut prendre 18 mois si tu es mal accompagné.
Il te faut donc un conseiller, il y'a trop de choses à savoir et trop de temps à perdre et à gagner.
La toiture c'est un travail particulier, il y'a beaucoup de facteurs à prendre en compte :
marcher sur une charpente c'est un coup à prendre et on est pas tous égaux. Quand j'ai commencé j'étais grimpeur et équilibriste, pourtant j'étais pas fier.
monter et porter des charges en équilibre est un second apprentissage tout aussi exigeant.
les infrastructures de sécurité et engins de levage nécessitent également un apprentissage, j'ai deux Caces (nacelle et grue) et un diplôme d'échafaudeur et pourtant je sais bien peu de choses.
Ils sont indispensables si tu compte lever de grosses sections.le marteau picard, le cordex, le mètre, le crayon de charpentier et la fausse équerre seront tes meilleurs amis. La scie égoïne et une bonne circulaire également. On peut presque faire une toiture complète en maîtrisant l'usage de ces outils uniquement.
il faut absolument aller à son rythme, une blessure et c'est l'arrêt du chantier. Un bon binôme est nécessaire afin de calmer les ardeurs des premières prises de confiance.
La confiance d'ailleurs sera indispensable, c'est comme une coloc, je ferais pas de la toiture avec n'importe qui.les matériaux sont rudes, au début on rentre dans un sale état. Le béton, le bois de charpente, les échardes de la taille d'un baton de réglisse et les tuiles ça bousille bien les mains (et le dos).
Si tout ces points te semblent logiques et pas vraiment effrayant alors il ne te reste qu'à trouver ton conseiller/guide de chantier afin de contrôler/valider point par point ton avancé.
Je te souhaite bon courage mais aussi un bon plaisir, franchement ça présage un chantier super sympa et un projet fini hyper gratifiant. A vue de nez ça à l'air sain et pas très compliqué.
Hésite pas