Salut Cyril.
Je vais être franc. C'est impossible à dire.
As tu du talent ? Des contacts ? De la trésorerie ? De la détermination ?
Un échantillon minime des multiples critères qui rendront ton histoire possible ou non.
Et quand bien même tu saurais chiffrer ces différents éléments, il n'existe aucune formule capable de te donner un résultat fiable à ta question.
Par contre ce que je peux te dire, c'est qu'en tentant le coup tu découvriras à coup sûr si c'était fait pour toi ou non.
Et peut-être que tu t'épargnera des regrets toute une vie.
A vaincre sans péril tousSa.
A mon sens ça se passe dans le fond de nos têtes, à l'endroit ou les rêves rencontrent la rage de vivre. De nos frustrations et de nos espoirs jaillissent ces projets d'émancipation de soi. Et ça ça ne répond à aucune règle, ça ne dépend d'aucun prévisionnel, on ne saurais l'anticiper.
Il faut le vivre...
Ps : je n'ai jamais touché un panneau de Mélaminé à mon compte. Si tu demandes à des menuisiers modernes c'est une hérésie. A chacun son histoire.
Salut.
Peut-être pourrais-tu stipuler sur quel modèle de l'Erika vous partiriez.
J'ai bossé avec la CS70 en charpente quelques années, c'était trop léger pour cet usage. Le piétement s'est mis a prendre du jeu et la table à montrer des signes d'usure très vite.
Si on s'en sert pour des terrasses, bardages, pergolas etcaetera j'aurais tendance à faire confiance à la robustesse des machines Mafell rétrospectivement.
Pour un usage de menuiserie pur et dur la CS70 fait le boulot.
Salut.
Je suis désolé je vais ajouter une référence, j'ai entre autres les MHG de chez Bordet. Tu peux les trouver Sur le site dans la section ciseaux et je trouve le rapport qualité/prix excellent !
Je les ai croisé chez d'autres pros tout aussi satisfaits.
Salut.
Le trois plis c'est trois épaisseurs relativement égales, croisées qui offre un matériau stable et non sujet à la perce (excès de ponçage laissant apparaître l'âme du matériau)
Le latté c'est une âme en bois de peuplier souvent, plaqué d'une essence plus noble en fine épaisseur. C'est plutôt stable, plus fragile et souvent plus joli.
Pour quel usage ?
Ah oui le hêtre, autrement appelé "bois fou" nécessite d'être ressuyer (un petit 3 semaines de repos dans ton atelier minimum) puis travailler et contraint dans la foulée (assemblé ou sous presse) si l'on ne veut pas avoir ce genre de surprise.
Edit: Propos non judicieux, se référer à la réponse de Bonbonveronbi !
C'est normal. Ça fait partie de l'apprentissage.
Cade : bois dense et très résistant, notamment aux parasites, d'une teinte orangée il peut virer au rose voire au rouge ou au brun une fois sec.
L'aubier est bien distinct et beige. Son écorce est fine.
Son odeur pourrait se rapprocher de certains résineux dans son intensité et il offre de magnifiques motifs.