L'huile va migrer par capillarité.
Ça concerne le papier en contact avec la surface huilée, moins les BD dont la couverture est plus grande et protège donc.
Sweex59 ce n'est pas exclu mais on exploite peu les réactions chimiques en tournage, contrairement à la poterie.
Plutôt des produits et techniques venant de l'ébénisterie et des arts graphiques, le support étant comparable sinon le même.
Merci pour la découverte 
Me ferait un tel bourdon le jour où je pourrais enfin concrétiser l'envie se suivre un des chemins vers Compostelle.
Après, c'est bien vendu car, au niveau tournage, on n'est pas sur du travail complexe.
Cela dit, l'artisan prend des risques avec son mandrin de tour à métaux 
(le-bourdon-du-...om/fabrication/)
Hello,
Superbe, plus pour exposer que pour utiliser 
Le logo en bas relief était très réussi, pourquoi ne pas l'avoir gardé ?
Question finition, le copal est réputé durcir la gomme-laque, pas en modifier la brillance (ce qui est le cas du sandaraque). Perso, j'ai testé qques mélanges pour en revenir au plus simple : gomme-laque décirée + alcool 95, autour 250g/litre. Mais je l'utilise pour des petites surfaces (tournage) donc moins besoin de résistance. Et pas besoin de huiler le mini-tampon. Dilution à froid sans problème ; des billes dans le flacon aident à la dispersion.
La gomme-laque, c'est magique. Seul (gros) inconvénient : contrairement aux vernis, elle est réversible (terme technique : non siccative ?) donc re-diluable dans l'alcool. Mais ça peut être aussi un avantage...



... et pas indispensable AMHA, le thuya est un beau bois.
Bon début
Par contre, évite l'huile de lin : elle va tacher tes livres.